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Comment la Mise en récits peut-elle soutenir la transition des territoires ? C'est la question qui a guidé les deux communautés apprenantes dédiées au sein de la Fabrique des transitions. Depuis 2021, la communauté apprenante « Mise en récits » réunit une centaine d'acteur·ices divers·es des transitions pour partager leurs expériences et tirer des enseignements communs. En 2023, la communauté apprenante « Territoires narratifs » est créée avec des binômes d'élu·es et d'agent·es de grandes collectivités françaises pour explorer plus spécifiquement les enjeux de l'approche narrative au sein des collectivités à partir de leurs expérimentations.

Le pacte climat Lyon 2030 est le fruit du travail de l'Agora, communauté d'acteur·ices lyonnais·es animée par la municipalité. Installée début 2023, elle rassemble 65 structures représentatives de la diversité des acteur·ices locaux·ales, prêtes à co-construire une vision partagée pour atteindre la neutralité climatique en 2030 à l'échelle de la ville.[-]

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Comment la Mise en récits peut-elle soutenir la transition des territoires ? C'est la question qui a guidé les deux communautés apprenantes dédiées au sein de la Fabrique des transitions. Depuis 2021, la communauté apprenante « Mise en récits » réunit une centaine d'acteur·ices divers·es des transitions pour partager leurs expériences et tirer des enseignements communs. En 2023, la communauté apprenante « Territoires narratifs » est créée avec des binômes d'élu·es et d'agent·es de grandes collectivités françaises pour explorer plus spécifiquement les enjeux de l'approche narrative au sein des collectivités à partir de leurs expérimentations.

Le pacte climat Lyon 2030 est le fruit du travail de l'Agora, communauté d'acteur·ices lyonnais·es animée par la municipalité. Installée début 2023, elle rassemble 65 structures représentatives de la diversité des acteur·ices locaux·ales, prêtes à co-construire une vision partagée pour atteindre la neutralité climatique en 2030 à l'échelle de la ville.[-]

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Compte rendu du soutien à la photographie documentaire 2021 : Depuis vingt ans, les photographies travaillent d'Olivier de Sépibus cherchent à "à ré-actualiser l'imaginaire des Alpes en prenant en compte les questions de mouvement, de transformation de la montagne mais aussi d'échelle. Avec la notion d'anthropocène, les humains ont changé d'échelle dans leurs rapports à la biosphère. Ces rapports reconfigurent aussi nos manières de définir les entités naturelles que je qualifie ici comme un paysage vivant sujet."[-]

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En 2021, en France métropolitaine, 17,4 % des ménages sont en situation de vulnérabilité énergétique liée au logement. Ces presque 5 millions de ménages doivent consacrer une part particulièrement élevée de leurs revenus aux dépenses énergétiques, par rapport aux autres ménages, s'ils veulent maintenir un confort thermique standard dans leur logement. Ces résultats sont issus d'un rapprochement original mené par l'Insee entre données fiscales et données issues des diagnostics de performance énergétique. Ils permettent de constater que les ménages aux revenus modestes, mais aussi ceux résidant dans des logements mal isolés, avec des modes de chauffage peu efficaces, sont particulièrement concernés par la vulnérabilité énergétique. La moitié des foyers vulnérables énergétiquement sont des personnes seules âgées de plus de 60 ans. Le taux de vulnérabilité des ménages varie fortement selon les territoires, notamment en fonction de la rigueur du climat, mais aussi de la densité de l'habitat ou des revenus des résidents. Les espaces ruraux, dont le parc résidentiel est organisé autour de l'habitat individuel, souvent de grande superficie, avec un recours au fioul encore fréquent, ont en général des taux de vulnérabilité énergétique plus élevés. Dans le rural non périurbain, se conjuguent en outre fréquemment revenus modestes et logements insuffisamment isolés.[-]