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Documents JACQUES MAUDOUX [LETTRE D'INFORMATION DE] 926 résultats

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- n° 111007
Cote CLER : B5
http://www.enviro2b.com/environnement-actualite-developpement-durable/5334/article.html   Un nouveau service en ligne, permet à tous ceux qui souhaitent se lancer dans la mise en place d'une installation solaire, de calculer l'ensoleillement de leurs maisons simplement. Acheter un bien immobilier aujourd'hui ne se résume plus à un simple coup de cœur. Dans l'avenir, il semble évident que chacun devra, un jour ou l'autre, recourir aux énergies renouvelables, comme par exemple l'énergie solaire. Comment savoir alors, en achetant sa maison ou son appartement, si cet investissement est exploitable, pour un mode de chauffage écologique ?   Pourra-t-on profiter des après-midi ensoleillés pour chauffer un salon ou une chambre grâce à la baie vitrée ? Devra-t-on songer, à installer des stores de protection contre les rayons solaires ? Des questions importantes qu'il faut se poser. Des questions auxquelles le nouveau site Internet Sun-Time va pouvoir répondre.   Rapide, ludique et simple   Service unique en son genre, Sun-Time permet de déterminer l'ensoleillement des biens immobiliers, au moyen de la géo-position par satellite et des calculs astronomiques. Rapide, ludique et simple d'utilisation, ce nouveau service en ligne, disponible à l'heure actuelle en français, le sera prochainement en anglais, allemand et espagnol, afin de répondre à une forte demande internationale.   En seulement trois clics, Sun-time fournit des informations précises, et en temps réel, sur le nombre annuel d'heures d'ensoleillement d'un lieu précis, que ce soit une façade, un balcon, un jardin, une fenêtre, une piscine ou encore un toit. Mais Sun-Time permet également d'obtenir la position du soleil dans le ciel visible depuis un lieu précis, en fonction de la date et de l'heure de son choix et même de comparer la situation avec le potentiel d'ensoleillement de la région où se situe le bien. Perfectionné, cet outil a même pour option l'affinage des données en fonction des obstacles potentiels qui pourraient cacher le soleil, comme une colline ou un immeuble. http://www.sun-time.org/[-]
http://www.enviro2b.com/environnement-actualite-developpement-durable/5334/article.html   Un nouveau service en ligne, permet à tous ceux qui souhaitent se lancer dans la mise en place d'une installation solaire, de calculer l'ensoleillement de leurs maisons simplement. Acheter un bien immobilier aujourd'hui ne se résume plus à un simple coup de cœur. Dans l'avenir, il semble évident que chacun devra, un jour ou l'autre, recourir aux énergies ...[+]

Calcul énergétique ; Région française administrative ; Gisement solaire ; International ; Site Internet

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- n° 110807
Cote CLER : B5
http://www.paysan-breton.fr/article/7549/energie--a-la-scea-%94amzer-zo%93-a-credin.html Les radians d'un des poulaillers et le système de chauffage d'eau pour les veaux de boucherie étaient à renouveler. Je me suis renseigné sur les énergies renouvelables et plus particulièrement sur la filière bois pour remplacer le chauffage au gaz existant ». Soucieux d'abaisser sa facture énergétique et de valoriser le bois de l'exploitation, Antoine, gérant de la SCEA, a pris contact avec l'association Aile (Association d'initiative locale pour l'énergie et l'environnement). Les références des installateurs du secteur, les différentes marques de chaudière et surtout les adresses de producteurs de veaux ayant déjà investi dans le chauffage au bois lui ont été communiquées. « J'ai visité deux installations en veaux de boucherie qui fonctionnaient bien. Par contre, en poulaillers, je n'ai fait aucune visite faute de précédent dans la région à ma connaissance. Je me suis contenté des données recueillies sur internet ». Antoine semble néanmoins convaincu par cette énergie renouvelable et opte pour une chaudière de marque allemande, Heizomat. « Le prix de la chaudière était de 20 000 euros supérieure à certaines de ses concurrentes mais cette marque offre la possibilité de brûler différents types de combustibles sans modification de la structure tels que plaquettes, sciures, copeaux, paille, blé, coques de noisettes, miscanthus ». L'installation est réalisée par la société Thermo Freeze de Rohan (56).   Un investissement rapidement amorti   L'investissement total s'élève à 150 000 euros répartis entre le bâtiment de stockage des sciures (32 000 euros) et l'installation en elle même (118 000 euros). La Région, le Conseil Général et l'Ademe subventionnent à hauteur de 57 800 euros dans le cadre du programme bois-énergie. « J'ai effectué deux emprunts bancaires. Le premier occasionne des annuités de 9 000 euros pendant 5 ans. Le second, 7 000 euros pendant 7 ans. Les besoins sont de 400 m3 de bois sur l'année ce qui représente environ 4 000 euros ». Antoine exploite le bois des talus sur l'exploitation. 150 m3 sont broyés par Cuma. Le reste est acheté dans une scierie des environs et dans une peupleraie déclassée. La chaudière, garantie sur 5 ans, a une durée de vie minimale de 15 ans et nécessite peu d'entretien. « Le coût total de l'opération, qui avoisine 20 000 euros par an pendant les cinq premières années en tenant compte des annuités liées à l'investissement, est à comparer avec les 18 000 euros de charges de combustible annuelles (gaz propane) des trois dernières années ». Antoine entend optimiser la chaudière en séchant les 200 tonnes de maïs produites sur l'exploitation dès la prochaine récolte. « J'espère 20 euros de valorisation supplémentaire par tonne séchée ce qui me permettra de couvrir le coût de l'ensemble de l'installation même pendant la durée de l'amortissement ». Au niveau zootechnique, le recul n'est pas très important car l'installation est en fonctionnement depuis l'hiver dernier mais il n'y a, selon Antoine, aucun problème. « Dans les poulaillers, il faut une heure pour élever la température de 17°C à 33°C et trois heures environ pour l'élever de 5°C à 33°C ». Les deux poulaillers de 1000 m2 sont équipés de deux aérothermes placés au centre du bâtiment et dirigés en sens inverse pour une répartition homogène de la température.[-]
http://www.paysan-breton.fr/article/7549/energie--a-la-scea-%94amzer-zo%93-a-credin.html Les radians d'un des poulaillers et le système de chauffage d'eau pour les veaux de boucherie étaient à renouveler. Je me suis renseigné sur les énergies renouvelables et plus particulièrement sur la filière bois pour remplacer le chauffage au gaz existant ». Soucieux d'abaisser sa facture énergétique et de valoriser le bois de l'exploitation, Antoine, ...[+]

Bretagne ; Chaudière bois ; Chaudière polycombustible ; Chauffage bois ; Coût d'investissement ; Élevage animal ; Milieu agricole ; Réalisation

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- n° 10907
Cote CLER : B5
"http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20070831.FAP3868/le_stade_geoffroyguichard_transforme_en_centrale_solair.html La plus importante centrale photovoltaïque de France métropolitaine, constituée de 2 600 mètres carrés de panneaux solaires installés sur le toit du stade Geoffroy-Guichard, qui va accueillir trois rencontres de la Coupe du monde de rugby, a commencé à produire de l'énergie verte à Saint-Etienne. ""La production d'électricité, qui a débuté faiblement mercredi à cause de la météo maussade, a depuis pris son rythme de croisière"", a expliqué vendredi Roland Goujon, vice-président de Saint-Etienne Métropole en charge du Sport. L'agglomération présidée par Michel Thiollière a choisi l'approche de la Coupe du monde de rugby, dont trois rencontres se dérouleront à Saint-Etienne (les 9, 26 et 29 septembre), pour faire connaître à l'extérieur son engagement en faveur des énergies vertes dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique. La centrale solaire installée sur le toit de la tribune (ouest) officielle du mythique ""Chaudron vert"" alimente le réseau basse tension d'EDF. Elle représente un investissement de 1,85 million d'euros, financé à 72% par la SECP, une société constituée à parité de la Caisse des Dépôts et Consignations et du constructeur de panneaux photovoltaïques Ténésol (détenu par EDF et Total). Elle a été créée pour gérer le site pendant 20 ans, dans le cadre d'un bail emphytéotique administratif de cette durée. Le reste de l'investissement est financé par Saint-Etienne Métropole, avec des subventions de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'energie), d'EDF et de la région Rhône-Alpes. La SECP se rémunérera par la revente de l'électricité produite à EDF, au tarif de 0,55 centime d'euro le KWh. Sur la base d'un ensoleillement prévisible de 960 heures par an, cet équipement doit produire annuellement 205.000 KWh, soit la consommation électrique moyenne (hors chauffage et eau chaude) de 60 foyers, tout en évitant le rejet dans l'atmosphère de 70 tonnes de CO2. Dans les prochaines semaines, un panneau didactique affichera les chiffres de la production électrique instantanée, cumulée et l'économie de rejet de CO2 dans l'atmosphère. L'opération, à l'initiative de la collectivité, s'accompagnera d'un ""diagnostic énergétique du stade Geoffroy-Guichard, en collaboration avec l'Ademe, pour y planifier une série d'actions d'économie d'énergie"", selon le sénateur-maire de Saint-Etienne, Michel Thiollière (UMP-Rad). Jusqu'alors, la plus grande installation de ce type en France métropolitaine se trouvait à Chambéry (Savoie), avec toutefois une superficie 10 fois inférieure aux 10.000 mètres carrés de celle inaugurée fin 2006 à La Réunion. "[-]
"http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20070831.FAP3868/le_stade_geoffroyguichard_transforme_en_centrale_solair.html La plus importante centrale photovoltaïque de France métropolitaine, constituée de 2 600 mètres carrés de panneaux solaires installés sur le toit du stade Geoffroy-Guichard, qui va accueillir trois rencontres de la Coupe du monde de rugby, a commencé à produire de l'énergie verte à Saint-Etienne. ""La production ...[+]

Aide financière ; Centrale photovoltaïque ; Centre sportif ; Chiffre clé ; CO2 evité ; Commune / Ville ; Consommation d'énergie ; Coût d'investissement ; Diagnostic ; Financement ; Région française administrative ; Production d'électricité ; Puissance installée ; Raccordé réseau ; Réalisation ; Record ; Rhône Alpes ; Solaire photovoltaïque

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- n° 70907
Cote CLER : B5
Nucléaire : financement du démantèlement - éthique, mise en oeuvre, incertitudes http://www.nea.fr/html/rwm/reports/2007/nea5997-demantelement.pdf Rapport de synthèse ISBN 978-92-64-99029-6. 44 pages (159 ko).

Coût du nucléaire ; Démantèlement ; Financement ; Nucléaire

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- n° 70907
Cote CLER : B5
"http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/50814.htm Le lancement des travaux de construction d'une tour solaire thermoélectrique de recherche unique en son genre a été inauguré à Jülich le 31 août 2007 par le secrétaire d'Etat parlementaire au Ministère de l'environnement, Michael Müller (SPD). Elément clef de cette centrale électrique innovante, le récepteur solaire a été développé et breveté par le centre de recherche aérospatiale allemand (DLR). Cette installation de recherche et de démonstration doit servir de base pour le développement d'une technologie d'avenir : ""La technologie innovante qui doit être testée ici à Jülich, est unique au monde. Son développement doit servir à des applications dans les pays du sud à fort ensoleillement. C'est ainsi que l'on consolidera l'avance allemande dans la production thermoélectrique solaire"", a déclaré le secrétaire d'Etat. Couvrant une surface au sol d'environ 16 ha (l'équivalent de 3 terrains de football) et totalisant une surface réfléchissante de près de 20.000 mètres carrés, l'installation expérimentale se présente sous la forme de 2.500 héliostats qui renvoient et concentrent le rayonnement solaire sur un récepteur de 22 mètres carrés placé au sommet d'une tour de 50 mètres de haut. Ce récepteur est constitué d'éléments céramiques poreux. En circulant à travers ces éléments céramiques, l'air environnant se réchauffe jusqu'à atteindre une température d'environ 700°C. Cette chaleur est ensuite transférée à une chaudière de récupération, où l'eau qu'elle contient est alors transformée en vapeur. Cette vapeur actionne une turbine, convertissant ainsi l'énergie thermique en courant électrique. En fonctionnement nominal, la centrale fournira une puissance de 1,5MWe. Un accumulateur de chaleur servira à palier aux aléas du rayonnement solaire (lors du passage de nuages) pour assurer une production d'électricité moins fluctuante. Au total, 1.000MWhe devraient ainsi être produits chaque année et injectés sur le réseau électrique. La tour expérimentale sera l'occasion inédite de tester, démontrer et optimiser une nouvelle technologie allemande. Les résultats de cette expérimentation doivent servir de référence aux futurs projets commerciaux sur les marchés du sud de l'Europe et de l'Afrique du Nord, zones géographiques où réside le plus gros potentiel des centrales solaires thermiques. La mise en service est prévue pour la fin 2008, suivie de deux ans de fonctionnement expérimental. A la fin du projet, la tour continuera à être exploitée pour la production d'électricité solaire. En vue d'améliorer continuellement la compétitivité de cette technologie, le projet s'accompagnera d'un programme de recherche de plusieurs années au cours desquelles seront développées diverses méthodes d'optimisation (exemple : modèle informatique dynamique de l'installation pour une optimisation en temps réel). Le projet, d'un coût total de 23 millions d'euros, est cofinancé par le Ministère fédéral de l'environnement (BMU) à hauteur de 4,1 millions d'euros. Depuis 2001, 36 millions d'euros ont été alloués par le BMU pour le financement de projets dans le domaine de l'énergie solaire. Harald Pandl - Deutsches Zentrum für Luft und Raumfahrt (DLR), Presse und Offentlichkeitsarbeit - tél : +49 711 6862 480, fax : +49 711 6862-636 - email : harald.pandl@dlr.de - http://www.dlr.de - - - - - Note : voir http://www.ecolo.org/documents/documents_in_french/solaireThermodynRivoire/solaireThermodynRivoire.html "[-]
"http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/50814.htm Le lancement des travaux de construction d'une tour solaire thermoélectrique de recherche unique en son genre a été inauguré à Jülich le 31 août 2007 par le secrétaire d'Etat parlementaire au Ministère de l'environnement, Michael Müller (SPD). Elément clef de cette centrale électrique innovante, le récepteur solaire a été développé et breveté par le centre de recherche aérospatiale ...[+]

Allemagne ; Expérimentation ; Innovation ; Production d'électricité ; Réalisation ; Solaire thermodynamique ; Technologie ; Tour solaire ; Turbine à vapeur

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- n° 70907
Cote CLER : B5
"http://web.worldbank.org/WBSITE/EXTERNAL/ACCUEILEXTN/NEWSFRENCH/0,,contentMDK:21462895~menuPK:1082606~pagePK:34370~piPK:34424~theSitePK:1074931,00.html Grâce à une initiative du Groupe de la Banque mondiale, 250 millions d'habitants d'Afrique subsaharienne qui vivent sans électricité vont désormais pouvoir s'éclairer. L'initiative Éclairer l'Afrique rassemble la Banque mondiale, la Société financière internationale, d'autres organisations de développement, les fournisseurs de produits d'éclairage et les prestataires de services locaux et le secteur commercial international de l'éclairage. Elle tirera parti des technologies de pointe telles que les ampoules fluocompactes (CFL) et les diodes électroluminescentes (LED), et s'appuiera sur des appareils alimentés par des énergies renouvelables — par exemple solaire, éolienne et gazière — ainsi que par des moyens mécaniques — appareils à manivelle ou à pédales — pour éclairer les habitations, les entreprises, les services de santé et d'autres sites et qui ne sont pas raccordés au réseau électrique. Elle ouvrira la voie à un éclairage portable, durable, moins coûteux, moins dangereux et plus propre que celle offerte par les appareils reposant sur la combustion de pétrole ou d'autres combustibles fossiles. Cette initiative de la Banque mondiale permettra d'apporter une aide dans les zones laissées pour compte par le secteur privé. Elle favorisera la constitution de partenariats où la Banque mondiale et la SFI fourniront des financements en vue de la production et de la commercialisation de produits et de services d'éclairage ainsi que des microfinancements. L'objectif visé, à savoir 250 millions de personnes ayant accès à l'éclairage, est fixé à 2030. Ce chiffre représente la moitié des habitants d'Afrique subsaharienne qui devraient vivre dans des zones non raccordées aux réseaux à cette date. Environ 1,7 milliard de gens dans le monde vive sans électricité. C'est en Afrique subsaharienne que cette pénurie est la plus sévère, avec quelque 500 millions de gens sans accès à l'électricité, et dans les zones rurales, les personnes qui en bénéficient représentent seulement deux pour cent de la population. Pour les plus pauvres des pauvres, l'éclairage est souvent le poste le plus coûteux des dépenses d'énergie, puisqu'il représente habituellement de 10 à 15 pour cent du revenu total des ménages. Cependant, tout en absorbant une forte proportion de leurs maigres revenus, l'éclairage à base de combustible a un rendement médiocre. Étant donné que les dépenses annuelles d'éclairage au moyen de combustible sont estimées à 38 milliards de dollars, ce nouveau segment du marché est susceptible d'intéresser les entreprises internationales de fabrication de produits d'éclairage, tout en permettant d'éclairer les consommateurs, de stimuler le commerce local, de créer des emplois, d'accroître les revenus, de purifier l'air et d'améliorer la santé et la qualité de vie. « En partenariat avec le secteur privé, la SFI va mettre au point des modèles d'entreprise viables permettant d'offrir un éclairage de qualité aux plus pauvres des pauvres d'Afrique, » a déclaré Lars Thunell, vice-président exécutif et directeur général de la SFI. « Notre objectif est d'apporter aux familles et aux petits entrepreneurs des solutions propres, modernes et accessibles en remplacement des lampes à combustible ». L'initiative Éclairer l'Afrique améliorera la vie et les moyens de subsistance des populations visées en permettant aux petites et moyennes entreprises d'allonger la journée de travail, ce qui favorisera l'augmentation de la production, le développement des occasions rémunératrices et l'amélioration des conditions de travail. Cette initiative contribuera aussi à améliorer les prestations de santé, et donc à réduire les pertes de productivité dues à la maladie. Cette initiative permettra en outre d'améliorer la sécurité des particuliers, des entreprises et du voisinage grâce à un éclairage extérieur. En matière d'éducation, Éclairer l'Afrique viendra créer des conditions propres à attirer les enseignants, maintenir les élèves à l'école, donner plus de temps aux élèves pour lire et étudier, relever le niveau des notes et améliorer les taux de rétention scolaire ; parallèlement, elle va permettre la création de programmes d'alphabétisation des adultes et de programmes d'enseignement supérieur. « Un éclairage moderne, cela signifie un air de meilleure qualité et plus sûr pour des millions de gens en Afrique, » a ajouté S. Vijay Iyer, directeur du programme d'assistance à la gestion du secteur énergétique en Afrique de la Banque mondiale. « Cela signifie un allongement des heures de lecture pour les étudiants et des heures de travail pour les petites boutiques et les services communautaires ». « Éclairer l'Afrique contribue directement à la réalisation des objectifs de développement pour le millénaire ; c'est un élément fondamental du Cadre d'investissement pour les énergies propres au service du développement, et du Programme d'élargissement de l'accès à l'énergie de l'Afrique de la Banque mondiale », a encore déclaré M. Iyer. La phase initiale comprend trois volets: • L'organisation d'un concours du Development Marketplace qui a pour thème la mise au point et l'offre de produits d'éclairage à faible coût, de bonne qualité et non dépendants des combustibles fossiles au profit des consommateurs pauvres d'Afrique subsaharienne. Des prix seront attribués aux meilleurs projets pour une somme totale de 2,5 millions de dollars.La réalisation d'études de marché au Kenya, au Ghana, en Tanzanie et en Zambie afin de mieux comprendre la demande des consommateurs, en termes de comportements et de préférences. Les recherches porteront également sur l'offre locale, la commercialisation et les filières de distribution. Les résultats seront disponibles en janvier 2008. • La mise en place d'un portail web permettant des contacts directs entre entreprises par lequel les fabricants, fournisseurs et commerçants du monde entier pourront constituer des partenariats, réaliser des transactions en ligne et accéder aux informations commerciales les plus récentes. • En reliant les opérations de prêt de la Banque mondiale en faveur de l'énergie rurale, le soutien de la SFI au secteur privé et l'esprit d'entreprise inhérent à l'Afrique, Éclairer l'Afrique peut favoriser l'expansion rapide de ces services sur tout le continent africain. Les principaux parrains de l'initiative Éclairer l'Afrique sont le Fonds pour l'environnement mondial, le programme conjoint PNUD/Banque mondiale d'assistance à la gestion du secteur énergétique, le Mécanisme de conseil à l'appui de la formation de partenariats public-privé dans le secteur des infrastructures, la Commission européenne, les gouvernements de la Norvège et du Luxembourg, Good Energies Inc., et le Fonds pour la maîtrise de l'énergie et les énergies renouvelables. « Le FEM était présent d'emblée lorsque nous avons financé le projet Systèmes d'éclairage pour les populations défavorisées qui est devenu la marque distinctive du programme Éclairer l'Afrique, » a déclaré Monique Barbut, directrice générale et présidente du Fonds pour l'environnement mondial. « Nous sommes également fiers d'avoir contribué à financer de nombreux projets d'énergie renouvelable visant l'électrification des zones rurales africaines et qui profitent aux plus pauvres des pauvres. Nous demeurons tous acquis aux efforts engagés en ce sens par nos partenaires du développement, aujourd'hui et dans les années à venir. » « Le marché de l'éclairage rural, à l'instar de nombreux marchés desservant les populations à faible revenu dans les pays en développement, n'est pas très bien connu ni exploré, » a indiqué Gerard Kleisterlee, président et PDG de Philips. « Il est essentiel que les pouvoirs publics et les organisations internationales telles que la Banque mondiale, les ONG et diverses entreprises s'unissent au sein d'un réseau pour élaborer les modèles d'entreprise appropriés. » Plus de 350 entreprises ont déjà exprimé un intérêt pour cette initiative. « Le concours du Development Marketplace offre aux entreprises africaines une occasion unique de participer à la mise au point de produits et de services d'éclairage adaptés aux besoins et aux conditions du marché local, » a ajouté Vincent Loh, président de l'Association pour l'énergie renouvelable du Kenya. Ce concours, qui fait partie intégrante de l'initiative, s'adresse à une vaste gamme d'innovateurs du monde entier, notamment les entreprises privées, les organisations non gouvernementales, les universités, les organismes publics et les personnes privées. Par les concours qu'il organise dans le monde, le Development Marketplace appuie nombre de projets d'éclairage basés sur des technologies nouvelles (a), notamment en Asie. Les propositions doivent être présentées au plus tard le 31 octobre 2007, à 22 heures en temps universel. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site web de l'initiative Éclairer l'Afrique à l'adresse suivante : http://www.lightingafrica.org   Permanent URL for this page: http://go.worldbank.org/KPGRX788N0   "[-]
"http://web.worldbank.org/WBSITE/EXTERNAL/ACCUEILEXTN/NEWSFRENCH/0,,contentMDK:21462895~menuPK:1082606~pagePK:34370~piPK:34424~theSitePK:1074931,00.html Grâce à une initiative du Groupe de la Banque mondiale, 250 millions d'habitants d'Afrique subsaharienne qui vivent sans électricité vont désormais pouvoir s'éclairer. L'initiative Éclairer l'Afrique rassemble la Banque mondiale, la Société financière internationale, d'autres organisations de ...[+]

Afrique ; Éclairage ; Lampe basse consommation ; LED / Diode ; Programme de développement ; Site isolé ; Solaire photovoltaïque ; Petit éolien

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- n° 60607
Cote CLER : B5
Les galettes impropres à être utilisées pour la fabrication des processeurs sont recyclées par l'industrie photovoltaïque, y compris en France. Une véritable manne pour les fondeurs. Vous ne savez pas quoi faire de votre collection de vieux PC ? Pourquoi ne pas récupérer les processeurs pour en faire un panneau solaire ? L'idée est séduisante. En réalité, les choses sont plus compliquées, mais cet exemple un peu simpliste n'est pas si éloigné de la reconversion que l'on observe aujourd'hui sur le marché du silicium. Une évolution qui va permettre la création d'une usine en Provence. Dans un article publié par nos confrères de News.com, on apprend en effet que le fabricant de puces Texas Instruments a revendu un million de tranches de silicium défectueuses aux industriels américains, japonais et allemands de l'énergie solaire. Ces « gaufrettes », ou wafers, selon le mot anglais consacré pour désigner la galette de silicium, servent de support à la fabrication des circuits intégrés mais aussi des capteurs photovoltaïques permettant la production d'électricité à partir de l'énergie solaire. Une source de revenus importante : «La densité de transistors par unité de surface est tellement élevée de nos jours que la fabrication de microprocesseurs nécessite un silicium extrêmement pur, sans aucun défaut. Alors que la fabrication de panneaux solaires réclame de grandes surfaces de silicium mais pas forcément de bonne qualité», explique Roland d'Authier, responsable de la société Axum, spécialisée dans la fabrication de matériel solaire pour les particuliers et les entreprises. Résultats : les galettes défectueuses connaissent une seconde vie et sont recyclées chez les industriels de l'énergie solaire. Les wafers abîmés sont passés en quelques années de l'état de déchets à celui de source de revenus importante. Texas Instruments a tiré de cette revente environ un million de dollars en un an. Il espère également élargir le processus dans ses usines de Taïwan et réfléchit au recyclage des déchets de silicium produits lors de l'élaboration des wafers. Mais il n'est pas le seul : AMD et Intel disposent d'un programme similaire. Ce dernier nous a confirmé qu'il revendait également un million de wafers chaque année aux fabricants de panneaux photovoltaïques. «De grosses incitations fiscales» : «Depuis 2004, il y a de grosses tensions sur le marché du silicium. Pour pallier ce problème, nous avons nous-même recours à une forte politique de stock», avoue Roland d'Authier, qui se fournit chez le constructeur d'électronique japonais Sharp. Il faut dire que l'Europe mène une politique visant à imposer 20 % d'énergie renouvelable. Le marché allemand est devenu un marché de volume, le marché espagnol aussi et la France prend actuellement le train en marche. «Il y a de grosses incitations fiscales, notamment 50 % de crédit d'impôt sur l'installation», poursuit-il. Première usine au monde dédiée au silicium : Pour pallier la pénurie en la matière, la première usine de silicium spécifiquement consacrée à l'industrie photovoltaïque devrait bientôt voir le jour à Digne-les-Bains. Baptisé Silpro (Silicium de Provence), ce projet ambitieux est conduit par un consortium constitué par trois entreprises : la société française Photon Power Technologies (PPT), le groupe néerlandais spécialisé dans la fourniture d'énergie Econcern et la start-up norvégienne Norsun. Cette usine sera la première au monde à être dédiée exclusivement à la production de silicium polycristallin pour l'industrie photovoltaïque. En mars dernier, François Loos, alors ministre délégué à l'Industrie, s'était rendu sur le site pour le lancement du projet. http://www.01net.com/article/350264.html[-]
Les galettes impropres à être utilisées pour la fabrication des processeurs sont recyclées par l'industrie photovoltaïque, y compris en France. Une véritable manne pour les fondeurs. Vous ne savez pas quoi faire de votre collection de vieux PC ? Pourquoi ne pas récupérer les processeurs pour en faire un panneau solaire ? L'idée est séduisante. En réalité, les choses sont plus compliquées, mais cet exemple un peu simpliste n'est pas si éloigné de ...[+]

Cellule photovoltaïque ; Déchet électronique/électrique ; Provence Alpes Côte d'Azur ; Silicium ; Usine de fabrication/production

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- n° 60607
Cote CLER : B5
"Le bureau d'études Elioth et le cabinet d'architectes Encore Heureux ont peut-être trouvé la solution à l'insertion paysagère des parcs éoliens. Ils viennent en effet de développer un concept d'intégration des éoliennes dans les pylônes électriques. Ces pylônes deviendraient alors eux-mêmes producteurs d'une énergie renouvelable directement raccordée au réseau. Ainsi, selon une étude réalisée par Elioth, ""l'équipement d'un tiers des pylones sur le territoire permettrait de générer environ 15TWh par an"". Ce concept est présenté jusqu'au 9 septembre dans le cadre de l'exposition ""So Watt! Du design dans l'énergie"", qui se tient à Paris, espace EDF Electra. Voir : http://www.enviro2b.com/info/3147/article.html "[-]
"Le bureau d'études Elioth et le cabinet d'architectes Encore Heureux ont peut-être trouvé la solution à l'insertion paysagère des parcs éoliens. Ils viennent en effet de développer un concept d'intégration des éoliennes dans les pylônes électriques. Ces pylônes deviendraient alors eux-mêmes producteurs d'une énergie renouvelable directement raccordée au réseau. Ainsi, selon une étude réalisée par Elioth, ""l'équipement d'un tiers des pylones ...[+]

EDF ; Éolien ; Éolienne ; Intégration paysagère ; Pylône électrique ; Raccordé réseau

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- n° 60607
Cote CLER : B5
Soutenu par l'ANR (Agence Nationale de la Recherche), le projet SHAMASH de l'INRIA a pour objectif de produire a l'horizon 2010, à partir de micro-algues non OGM, 50 litres d'un biocarburant au rendement 30 fois supérieur a celui du colza. Il s'agit donc d'évaluer la viabilité à la fois technique et économique d'une telle filière de production pour un marché potentiel évalué à 17 millions de m3 en Europe d'ici 3 à 4 ans. SHAMASH est à ce jour le seul projet français consacre à ce sujet. Il rassemble des chercheurs issus de différents établissements de recherche, dont le CNRS, le CIRAD, le CEA et l'IFREMER, au sein d'une équipe coordonnée par Olivier Bernard, chargé de recherche à l'INRIA... Lire la suite de cet article sur le web a l'url : http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/43111.htm[-]
Soutenu par l'ANR (Agence Nationale de la Recherche), le projet SHAMASH de l'INRIA a pour objectif de produire a l'horizon 2010, à partir de micro-algues non OGM, 50 litres d'un biocarburant au rendement 30 fois supérieur a celui du colza. Il s'agit donc d'évaluer la viabilité à la fois technique et économique d'une telle filière de production pour un marché potentiel évalué à 17 millions de m3 en Europe d'ici 3 à 4 ans. SHAMASH est à ce jour le ...[+]

Algue ; Biocarburant ; Région française administrative ; Recherche

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- n° 30507
Cote CLER : B5
Si, en France, les énergies renouvelables ont longtemps été marginales, les réalisations en cours dans les régions et les entreprises, à base de géothermie, biomasse, éolien, photovoltaïque et solaire thermique, témoignent de l'émergence d'une nouvelle industrie. Dans les villes et régions : - En Savoie, Montmélian, pour chauffer la piscine municipale et les douches du centre nautique, a installé des capteurs thermiques, qui, associés à des travaux d'isolation, permettent une économie annuelle de 27000 euros de gaz. A Chambéry, la centrale photovoltaïque des Monts avec ses 1000 m2 de capteurs installés en 2005 produit annuellement 120000 kWh, soit la consommation de 50 familles. Du photovoltaïque équipe aussi la Maison des énergies et des établissements scolaires de Chambéry. - Le « plan Energies pour l'Isère » du Conseil Général de l'Isère sur 2005-2020 donne la priorité aux filières bois et énergie solaire. 164 nouvelles installations de chauffage (de la petite installation de 50 kW aux réseaux de chaleur de 2000 kW) ont été créées par des maîtres d'ouvrage publics. Le Conseil réfléchit à la mise en place d'une aide pour le petit éolien et travaille avec la Préfecture à la réalisation d'un atlas éolien pour l'Isère. - D'autre part, La Savoie et L'Isère sont associées dans le projet Alliance PV (avec Photowatt, l'INES - Institut National de l'Energie Solaire- et le CEA), pour développer une filière de fabrication de cellules photovoltaïques de rang mondial qui permettra d'abaisser les coûts du silicium. - Chalon sur Saône a engagé en 2002 le 1er plan Climat local français (avec le WWF, l'Ademe et le programme européen Privilèges). Une chaufferie au bois alimente 1000 logements. Ce plan a été étendu en 2006 aux 37 communes de l'agglomération du Grand Chalon. - A Besançon, 350 m2 de panneaux photovoltaïques installés sur les toits du centre technique municipal approvisionnent les 35 véhicules électriques de la ville (42 MWh). Bilan : 12800 tonnes de CO2 évitées en 2005. Une chaufferie au bois (inaugurée en octobre 2006 dans le quartier de Planoise), permet d'économiser près de 3300 tonnes de fuel et 10000 tonnes de CO2 par an. - La Bretagne a adopté en octobre 2006 un schéma éolien qui vise à fournir 8% des besoins en électricité de la région. 600 à 800 nouvelles éoliennes devraient être installées d'ici à 2010, assurant une production de 1000 MW. - La région Poitou-Charentes a inscrit dans son programme régional une réduction de 800000 tonnes équivalent CO2 de ses émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2010 : soutien aux énergies renouvelables (bois-énergie, solaire et agrocarburants), construction de 1000 maisons en bois à faible conso d'énergie. Réalisation du « Lycée Kyoto », le 1er lycée d'Europe 100% énergies propres. Au programme : 1000 m2 de panneaux photovoltaïques, isolation en chanvre, toitures végétalisées et récupération des eaux de pluie. Investissement : 26 millions d'euros HT. Consommation visée : 7 kWh/m2/an de chauffage et 2 kWh/M2/an d'électricité. Il regroupera un lycée hôtelier et un lycée agricole et ouvrira ses portes en septembre 2009. - L'Alsace, à travers le programme Energivie, a développé une politique de promotion des énergies renouvelables dans l'habitat. Résultat : Plus de 32900 m2 de capteurs solaires installés et 602 chaudières au bois. Le lycée des métiers du bâtiment Gustave Eiffel à Cernay, siège du CIFEER (Centre d'Initiative et de Formation à l'Energie et aux Energies Renouvelables), prévoit la construction d'un nouveau bâtiment en 2008 dédié à l'expérimentation pédagogique. Equipements : géothermie (sonde, forage, nappe), solaire thermique sur le toit et photovoltaïque en façade. Plusieurs lycées de la région sont équipés de chauffage au bois et/ou de panneaux solaires. - L'Ile-de-France a un bon gisement en géothermie, en particulier la nappe d'eau du Dogger (entre 1500 et 2000 mètres de profondeur, la température de l'eau est entre 55 et 85°). Aujourd'hui, plus d'une trentaine d'exploitations fournissent environ 1200 GWh aux réseaux de chaleur qui alimentent en chauffage et en eau chaude plus de 150000 logements. Ces équipements fournissent 10% de l'énergie distribuée par les réseaux de chaleur en Ile-de-France et évitent 400 000 tonnes de CO2. - La Réunion a inauguré fin 2006 la plus grande centrale photovoltaïque de France sur un bâtiment industriel. De 10 000 m2, elle produit 1 300 000 kWh/an, soit la consommation moyenne de 300 clients EDF. Coût : 5 millions d'euros. La vente d'électricité produite générera 520 000 euros de recettes par an. Les entreprises En 2005, Aéroports de Paris a signé un contrat avec Electrabel (Groupe Suez) et a choisi AlpEnergie 25, l'offre d'électricité verte 100% renouvelable pour un quart de l'approvisionnement des aéroports de Roissy-Charles de Gaulle et Orly. L'électricité est issue de la production hydroélectrique de la Cie Nationale du Rhône. A La Défense à Paris, la tour Phare, commanditée par le groupe foncier Unibail (300 mètres de haut, achèvement en 2012) prévoit à son sommet un parc de turbines éoliennes qui permettra de climatiser l'immeuble la moitié de l'année. L'immeuble Euromed à Marseille s'est équipé de panneaux photovoltaïques fournissant intégralement ses besoins en électricité pour l'éclairage, la climatisation et l'ascenseur Les Papeteries de Giroux en Auvergne ont opté pour une chaufferie au bois (7MW) dans un soucis d'épargne : Le coût de la tonne vapeur est plus faible avec des déchets de bois qu'avec du gaz. En prime, une économie de 4500 Tep. A Chambéry, le centre commercial Chamnord qui abrite un Carrefour, a inauguré en avril dernier 200 m2 de panneaux photovoltaïques sur ses toits. L'électricité produite est consommée par le centre. Sur le même site, un projet de 1500 m2 supplémentaires est en cours. L'expérience pourrait servir de modèle aux 220 hypermarchés Carrefour en France. Et les particuliers ne sont pas en reste... Selon une enquête IPSOS pour EDF, les particuliers pourraient bien accélérer l'adoption de ces énergies. Constat : un recul des énergies fossiles au profit des énergies renouvelables dans les choix d'équipements domestiques. Prisés : l'eau chaude solaire (63% des intentions d'achat) et les systèmes de pompes à chaleur (34% des intentions d'achat). Plus généralement, l'électricité recule légèrement en passant de 54 à 50% de part de marché entre 2005 et 2006 (le gaz diminue aussi de 24 à 18% sur la même période). Interrogés sur les équipements qu'ils privilégieraient avec un budget plus important, les ménages mentionnent en priorité : - un chauffage par géothermie - l'eau chaude sanitaire solaire - les tuiles photovoltaïques Ces équipements sont cités devant une piscine, des sanitaires plus luxueux ou une cuisine équipée. De bonnes nouvelles pour la planète, susceptibles de doper notre économie et de créer plusieurs dizaines de milliers d'emplois en France.[-]
Si, en France, les énergies renouvelables ont longtemps été marginales, les réalisations en cours dans les régions et les entreprises, à base de géothermie, biomasse, éolien, photovoltaïque et solaire thermique, témoignent de l'émergence d'une nouvelle industrie. Dans les villes et régions : - En Savoie, Montmélian, pour chauffer la piscine municipale et les douches du centre nautique, a installé des capteurs thermiques, qui, associés à des ...[+]

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