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Documents TiO2 / Dioxyde de titane 8 résultats

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- n° 469
Cote CLER : B1
Les cellules à colorant, ou cellules de Graetzel, ont été conçues dans les années 1990 par Michael Graetzel de l'EPFL. Elles sont constituées d'un matériau poreux (du dioxyde de titane) recouvert d'un colorant, lui-même imbibé par une solution électrolytique. Sous l'action de la lumière, le colorant est excité et transfère un électron au dioxyde de titane, générant ainsi un courant. Les cellules à colorant présentent deux avantages majeurs. D'une part, elles peuvent fonctionner sous une lumière de faible intensité, et, d'autre part, elles sont peu onéreuses à produire. En effet, les matériaux employés sont peu coûteux et leur procédé de fabrication est simple. Cependant, leur rendement reste assez faible, de l'ordre de 11% alors que celui des cellules au silicium est autour de 15%. Deux colorants pour une cellule de Graetzel Pour les améliorer, les équipes ont donc ajouté d'autres colorants, des pérylènes, à ceux employés traditionnellement, les phtalocyanines. Alors que la sensibilité des phtalocyanines se restreint à la couleur rouge, les pérylènes étendent la gamme à d'autres couleurs, comme le bleu et le vert. Les pérylènes seuls ne génèrent pas directement de charges électriques, mais ils transmettent leur énergie aux phtalocyanines qui, elles, induisent un courant. Cette technique, inspirée de la photosynthèse, augmente le rendement de plus de 25%. BE Suisse numéro 22 (18/09/2009) - Ambassade de France en Suisse / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/60537.htm[-]
Les cellules à colorant, ou cellules de Graetzel, ont été conçues dans les années 1990 par Michael Graetzel de l'EPFL. Elles sont constituées d'un matériau poreux (du dioxyde de titane) recouvert d'un colorant, lui-même imbibé par une solution électrolytique. Sous l'action de la lumière, le colorant est excité et transfère un électron au dioxyde de titane, générant ainsi un courant. Les cellules à colorant présentent deux avantages majeurs. ...[+]

Capteur teinté / coloré ; Cellule de Gratzel ; Cellule photovoltaïque ; Coût de production ; Innovation ; Recherche ; Rendement ; Suisse ; TiO2 / Dioxyde de titane

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- n° 1635
Cote CLER : B2
"Des chercheurs japonais ont mis au point un ""photocondensateur"", capable à la fois de créer et de stocker de l'électricité photovoltaïque"

Cellule photovoltaïque ; Innovation ; Solaire photovoltaïque ; Stockage électricité ; TiO2 / Dioxyde de titane

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- n° 4
Cote CLER : B4
L'énergie du rayonnement solaire qui parvient annuellement à la surface de la terre vau 6 500 fois les besoins de ses 6 milliards d'habitants. Pourtant dans la production mondiale la part du solaire n'excède pas des 0,02% Les cellules : couches minces, nanocristallines (Ti02 : gratzel)

Cellule photovoltaïque ; Couche mince ; Gisement solaire ; International ; Production d'électricité ; Solaire photovoltaïque ; Technologie ; TiO2 / Dioxyde de titane

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- n° 200604
Cote CLER : B5
http://www.konarkatech.com/ Konarka, une start-up basée dans une friche industrielle transformée en pépinière high-tech à Lowell, au nord de Boston, se propose de changer. Si son fondateur arbore une croix blanche sur son bonnet, ce n‚est donc pas seulement parce son épouse est suisse. Lui s‚est mis en tête de conquérir le marché du solaire aux Etats-Unis avec les cellules à colorant développées depuis une quinzaine d‚années par le professeur Michael Graetzel à l‚EPFL. A-t-il des chances? En tout cas, il arrive bien. Peut-être en réaction à Bush et à son pétrole, le momentum des énergies renouvelables a considérablement augmenté récemment, aux Etats-Unis. General Electric est devenu numéro un mondial des éoliennes et, symboliquement, le gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger vient de faire équiper ses Hummer de piles à combustible. Comme c‚est ruineux (on parle de 400.000 dollars∑), nombre d‚ingénieurs, de scientifiques et de start-up comme Konarka tentent d‚apporter une solution technique et économique pour rendre tangible le leitmotiv de «l‚indépendance énergétique des Etats-Unis». Un temple du soleil à Orissa Les cellules Graetzel tombent donc à pic dans ce contexte. Howard Berke, qui en est à sa seizième start-up, en est persuadé. C‚est même ce qui lui inspire le modèle d‚affaires de Konarka (dont le nom est celui d‚un temple du soleil en Inde en hommage à l‚un des fondateurs disparu). Depuis sa création, l‚entreprise accumule les droits de licence dans le solaire. Les premiers venaient de l‚Université du Massachusetts à Lowell. Ils s‚articulent désormais autour de deux types de cellules solaires souples: les cellules en polymères d‚Alan Heeger et celles à colorant de Michael Graetzel. Des deux, les secondes sont les plus proches du marché. Jusqu‚à présent, les cellules solaires qui ont été développées industriellement sont venues du monde solide des semi-conducteurs. Ce sont ces panneaux rigides que l‚on voit ˆ rarement. Comme les puces des ordinateurs, leurs structures cristallines hyper-pures doivent être produites dans des environnements exigeants, de type salle blanche et sous vide. Ces procédés mobilisent beaucoup de capitaux. Cela se répercute sur les prix et limite l‚expansion du solaire électrique. Le procédé de fabrication développé par Konarka ne nécessite, lui, ni salle blanche, ni vide, ni four à haute température, ni presse coûteuse. Développé par d‚anciens ingénieurs de Polaroid et protégé par un brevet couvrant environ 150 réclamations, il est très comparable à l‚impression par dépôts des films photos. Comme le dit Howard Berke, «ça aussi, ça tombe bien.» Avec le passage à la photo numérique, les fabricants de films traditionnels voient en effet leur production s‚effondrer. Imprimer des cellules photovoltaïques avec seulement quelques petites modifications de leurs usines a donc quelque chose de la planche de salut pour les Kodak, Agfa et autres. Même EDF est monté dans la barque D‚autant que, selon Daniel Patrick McGahn, le résultat du cocktail technico-économique de Konarka est qu‚«au faible coût des cellules Graetzel ˆ 70% de moins que celui des cellules en silicium ˆ s‚ajoute l‚avantage de n‚avoir plus qu‚un cinquième de l‚investissement à consentir pour la production». Certes, les cellules de Konarka n‚ont qu‚un rendement de 7% par rapport aux 12 à 14% des cellules en silicium. Mais elles sont stables et appelées à s‚améliorer (les prototypes de Michael Graetzel atteignent entre 11 et 12%). En l‚état, le modèle économique et les chances sur le marché de Konarka sont apparus déjà suffisamment forts aux venture capitalists pour qu‚ils injectent 15 millions de dollars. Parallèlement, l‚entreprise développe des partenariats technologiques. Elle a signé un contrat de recherche de 6 millions de dollars avec Darpa (la Defense Advanced Research Project Agency du Pentagone) pour développer des fibres et des tissus capables de produire de l‚énergie et de remplacer les batteries que transportent les fantassins. Inutile de préciser que chez Konarka on pense aussi au fil à fil du cadre supérieur capable d‚alimenter son téléphone portable. Certes, par rapport aux tuiles solaires, qui sont la priorité de Konarka, de telles applications ont du chemin à parcourir. Mais voir le Pentagone s‚intéresser de près aux énergies renouvelables donne une idée de l‚évolution de la question énergétique actuellement aux Etats-Unis.[-]
http://www.konarkatech.com/ Konarka, une start-up basée dans une friche industrielle transformée en pépinière high-tech à Lowell, au nord de Boston, se propose de changer. Si son fondateur arbore une croix blanche sur son bonnet, ce n‚est donc pas seulement parce son épouse est suisse. Lui s‚est mis en tête de conquérir le marché du solaire aux Etats-Unis avec les cellules à colorant développées depuis une quinzaine d‚années par le professeur ...[+]

Capteur teinté / coloré ; Cellule photovoltaïque ; EDF ; Recherche ; Solaire photovoltaïque ; Technologie ; TiO2 / Dioxyde de titane

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- n° 1039
Cote CLER : C2
Cinq fois plus chèree que le nucléaire ou le chabon, l'énergie solaire a peu de chance se s'imposer... pourl'instant. Car des cellules photocoltaiques révolutionnaires pourrainet bien changer la donne. Leur secret? Elles fonctionnent sans silicium, ce semi-conducteur qui, au coeur de la plus part des panneaux solaires, n'en finit pas de gonfler leur cout. DE quoi répandre le soleil sur terre

Cellule photovoltaïque ; CIS / Cuivre Indium Selenium ; Couche mince ; Coût de production ; Innovation ; Procédé de fabrication ; Recherche ; Silicium ; Silicum monocristallin ; Silicum polycristallin ; Solaire photovoltaïque ; TiO2 / Dioxyde de titane

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- n° 1621
Cote CLER : B2
Une cellule photovoltaique (en dioxide de titane) moins couteuse que les cellules en sillicium vient de prouver sa résistance à la chaleur

Cellule photovoltaïque ; Solaire photovoltaïque ; TiO2 / Dioxyde de titane

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- n° 2888
Cote CLER : C4
Trop chères pour une utilisation généralisées, les cellules photovoltaiques à base de silicium devront faire face à de futures concurentes. CElles-ci visent des couts de production de 50 à 80% inférieurs : la cellule à couche mince, la cellule nanocristalline , cellule de McFarland

Cellule photovoltaïque ; Couche mince ; Semiconducteur ; Silicium ; Solaire photovoltaïque ; TiO2 / Dioxyde de titane

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