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Penser des datacenters moins énergivores | 14/09/2023 H

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Cote CLER : EN LIGNE
EN LIGNE
Alors que le volume de données numériques croît à une vitesse vertigineuse, le projet Genesis explore de nouvelles pistes pour réduire leur impact énergétique.

CNRS ; Efficacité énergétique ; Technologie Information Communication - TIC ; Impact environnemental

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ARTICLE EN LIGNE
Le collège doctoral de Sciences et Techniques de Nara (NAIST, Japon), l'École polytechnique et le CNRS s'associent pour créer un laboratoire international associé (LIA) dédié aux cellules solaires à perovskite à haut rendement. Cet accord de partenariat facilitera également les échanges d'étudiants, professeurs et scientifiques.

International ; Laboratoire ; Ingénieur ; Énergie solaire ; Japon ; Recherche ; Formation ; Capteur solaire ; Région française administrative ; CNRS ; Ecole Polytechnique

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- n° 459 - p.14 à p.15
Nombre d'États mènent une politique énergétique reposant sur des subventions. Le système est aujourd'hui critiqué et menacé de suppression

Politique énergétique ; Indépendance énergétique ; Energie fossile ; Production d'énergie ; Consommation d'électricité ; Consommation d'énergie ; CNRS

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- n° 458
Cote CLER : B1
"Selon Sylvain Goiran, responsable de l'étude IP Overview : ""En 2007, les leaders du secteur photovoltaïque ont investit 1.6 milliards d'euros en R&D afin d'éliminer la concurrence des plus petits fournisseurs. Mais dans cette guerre économique, il existe désormais un nouveau front - celui de la propriété industrielle."" En photovoltaïques « organique & hybride », l'arrivée de nouveaux acteurs industriels et institutionnels Chinois et surtout Coréens bouleverse le paysage brevet de la filière. Les acteurs Coréens détiennent 14% des brevets déposés en 2006, soit autant que les américains. Le KIPO l'équivalent Coréen de l'Office Européen des brevets, a annoncé une explosion des dépôts de brevets concernant le domaine photovoltaïque +60% entre 2004 et 2008. Le KERI (Korea Electrotechnology Research Institute) possède désormais le troisième portefeuille brevet institutionnel derrière l'AIST (Agency of Industrial Science and Technology) et le CAS (Chinese Academy of Sciences). Dans la filière « couche mince », l'américain First Solar leader du marché, n'entre pas dans le classement des 20 premiers déposants – ""il est fort probable que la société préfère maintenir secret son savoir-faire et licencier les technologies auprès des universités et notamment du NREL (National Renewable Energy Laboratory)"" précise Sylvain Goiran. Dernière illustration, les premières assignations en justice commencent à voir le jour dans le secteur : En 2008, Oerlikon a mené une action juridique contre l'entreprise allemande Sunfilm AG. La division Oerlikon Solar estimait jouir en exclusivité mondiale du brevet EP0871979 – brevet concédé en licence par l'Université de Neufchatel pour des systèmes de production de films fins de silicium de cellules solaires sur verre. Dernier rebondissement, l'Université de Neufchâtel a vu son brevet révoqué en juin dernier par l'Office Européen des brevets suite à l'opposition engagée par Sunfilm AG, Q-Cells et Kaneka. L'Université a fait appel de la décision en août dernier. L'information brevet offre donc une autre vision de la filière photovoltaïque. En l'éclairant sous un jour nouveau, les études ""IP Overview"" permettent un benchmark technique et juridique de la filière. NB : Les ""IP Overviews"" photovoltaïque sont disponibles à la vente sur le site: http://www.frinnov.fr http://www.fist.fr/fr/ip-overview/index.html"[-]
"Selon Sylvain Goiran, responsable de l'étude IP Overview : ""En 2007, les leaders du secteur photovoltaïque ont investit 1.6 milliards d'euros en R&D afin d'éliminer la concurrence des plus petits fournisseurs. Mais dans cette guerre économique, il existe désormais un nouveau front - celui de la propriété industrielle."" En photovoltaïques « organique & hybride », l'arrivée de nouveaux acteurs industriels et institutionnels Chinois et surtout ...[+]

Aspect juridique ; Brevet ; Budget ; Capteur solaire hybride ; Cellule organique ; Cellule photovoltaïque ; CNRS ; Corée ; Couche mince ; États Unis ; Région française administrative ; International ; Marché mondial ; Recherche ; Silicium ; Silicium amorphe ; Solaire photovoltaïque

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- n° 160409
Cote CLER : A2
Depuis plusieurs années, l'hydrogène compte parmi les sujets de recherche privilégié. Ce gaz non toxique dont la combustion est très énergétique cristallise en effet les espoirs de bénéficier prochainement d'un carburant non polluant, abondant et peu cher. L'hydrogène intéresse dans le sens où il permet de produire de la chaleur par combustion directe mais surtout de produire de l'électricité dans les piles à combustible (PAC), avec comme seul résidu de l'eau. Problème, si l'atome d'hydrogène lié à l'oxygène est très abondant sous forme d'eau, les molécules d'hydrogène, elles, ne se trouvent pas à l'état pur. Il faut donc les produire. À l'heure actuelle, 90% de la production d'hydrogène provient de combustibles fossiles (pétrole, gaz, charbon). Cette technique qui entraîne la libération de CO2, n'est donc valable sur le plan environnemental que si le CO2 est stocké. D'autres formes de production sont donc à l'étude et notamment celles qui s'inspirent des réactions chimiques intervenant dans la nature comme la photoélectrolyse. Sous l'effet de la lumière, certains micro-organismes produisent de l'hydrogène à partir de l'eau. Pour reproduire et adapter ces processus, les chercheurs ont donc mis au point des systèmes moléculaires capables de capter l'énergie lumineuse et d'utiliser l'énergie collectée pour « casser » les liaisons oxygène-hydrogène des molécules d'eau. Ces dispositifs font l'objet de recherches approfondies notamment au Centre National de Recherche Scientifique (CNRS) en association avec le Commissariat à l'Énergie Atomique (CEA). Des résultats prometteurs pour l'électrolyse : D'autres équipes du CNRS travaillent quant à eux sur l'amélioration de la technique de l'électrolyse de l'eau. Aujourd'hui maîtrisée, cette technique présente toutefois des inconvénients majeurs : son rendement ne dépasse pas 80 %, son coût de production est trop élevé et certains matériaux utilisés sont polluants. Pour pallier à ces défauts, plusieurs spécialistes mènent depuis 2004 un programme de recherche sur la production massive d'hydrogène propre : quatre équipes du CNRS se sont ainsi associées aux entreprises AREVA NP, filiale du groupe AREVA, et SCT, l'un des leaders mondiaux dans l'association métal-céramique. Après plusieurs années de travail, les chercheurs viennent de publier un brevet pour une nouvelle technique de production d'hydrogène plus efficace et plus économique. Les chercheurs ont choisi d'améliorer le rendement de l'électrolyse en concevant un dispositif capable d'étudier in situ les matériaux constituant l'électrolyseur puis, en mettant au point deux électrolyseurs instrumentés, c'est-à-dire comportant des capteurs de température, de pression, de mesure de l'intensité du courant produite. Les scientifiques ont ainsi pu déterminer avec précision les conditions requises pour obtenir de l'hydrogène en grande quantité et de façon fiable. L'une de leurs idées novatrices a été d'effectuer l'électrolyse sous pression (entre 50 et 100 bars). Les principaux paramètres des électrolyseurs s'en sont trouvés améliorés. Les premiers essais effectués permettent d'atteindre des quantités d'hydrogène notables, avec un niveau de courant bien supérieur à ce qui avait été fait précédemment par leurs concurrents étrangers, explique le CNRS. De plus, les chercheurs précisent que cette nouvelle technologie abaisse de près de 200°C la température de fonctionnement par rapport aux solutions déjà existantes et permet l'usage d'alliages commerciaux, ce qui diminue le coût de l'hydrogène produit. Ces premiers résultats laisse donc espérer le développement de technologies rentables et économiques même si des efforts sont encore nécessaires avant de produire de l'hydrogène massivement et à bas coût.[-]
Depuis plusieurs années, l'hydrogène compte parmi les sujets de recherche privilégié. Ce gaz non toxique dont la combustion est très énergétique cristallise en effet les espoirs de bénéficier prochainement d'un carburant non polluant, abondant et peu cher. L'hydrogène intéresse dans le sens où il permet de produire de la chaleur par combustion directe mais surtout de produire de l'électricité dans les piles à combustible (PAC), avec comme seul ...[+]

CNRS ; Coût de production ; Région française administrative ; Pile à combustible ; Production d'hydrogène ; Recherche

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- n° 1635
Cote CLER : B2
A Strasbourg, une plate forme d'essais permet de tester les innovations dans le domaine du solaire thermique Egalement le portrait d'un chercheur du CNRS spécialisé dans l'energie solaire

Alsace ; Centre de démonstration ; CNRS ; Vitrage ; Laboratoire ; Recherche ; Solaire thermique

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- n° 1633
Cote CLER : B2
Le CNRS s'est associé à des laboratoires européens pour relancer la recherche sur les centrales solaires.

Allemagne ; Association ; Centrale solaire ; CNRS ; Espagne ; Région française administrative ; Laboratoire ; Pile à combustible ; Prix de l'énergie ; Production d'hydrogène ; Recherche

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- n° 78
Cote CLER : C4
Le CNRS, en association avec des équipes espagnoles, allemande et suisse, vient de créer, à Font-Romeu ( Pyrénées-Orientales ), le SolLab.

Centrale solaire ; CNRS ; Énergie solaire ; Laboratoire ; Midi Pyrénées

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- n° 41
Cote CLER : C5
SOLLAB : Le CNRS, avec des équipes espagnole, allemande et suisse, vient de créer SolLab, alliance de laboratoires européens pour la recherche et les technologies des systèmes solaires à concentration. Cette création, annoncée le 20 octobre par le CNRS à Odeillo (Pyrénées orientales), a pour objectif de coordonner les efforts de recherche de quelques175 chercheurs, ingénieurs et techniciens. http://www.imp.cnrs.fr

CNRS ; Concentrateur solaire ; Europe ; Laboratoire

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- n° 271004
Cote CLER : B5
France Energie. Projet de réhabilitation de l'ancienne centrale solaire en centre de recherches. Themis pourrait retrouver de son éclat ien n'a bougé. Comme si, autour de l'ancienne centrale solaire de Targasonne (Pyrénées-Orientales), construite en 1983 et abandonnée par EDF en 1986, le temps s'était figé. La longue tour domine toujours de son oeil sévère les 170 miroirs solaires (ou héliostats) qui l'irradiaient d'autant de soleils. Jusqu'à cette année, des physiciens avaient profité de ce site au ciel exceptionnellement pur pour conduire des expériences d'astronomie gamma. Cette fois, tout le monde est parti. Mais une poignée de chercheurs espère redonner à Themis le lustre d'antan. A la pointe. Le vent, la neige, le soleil, rien ne semble avoir affecté ces étranges miroirs. «Seuls leurs mécanismes de rotation sont à changer, explique Alain Ferrière, chargé de recherche au CNRS. A part ça, tout est prêt à fonctionner à nouveau.» Car tel est bien le rêve que nourrissent aujourd'hui les 40 chercheurs de Promes, le laboratoire de recherche sur les énergies solaires dépendant du CNRS, installé depuis quarante ans à l'arrière du four solaire d'Odeillo, à quelques kilomètres de Targasonne : relancer Themis, non pour en refaire une centrale électrique solaire, comme à son origine, mais pour créer un centre français de recherches et d'expérimentations sur les systèmes solaires à concentration. Contrairement aux capteurs voués au chauffage solaire (basse température) ou aux panneaux photovoltaïques (production directe d'électricité), ces systèmes à concentration utilisent soit une tour chauffée par des miroirs plans qui suivent le soleil, soit des capteurs en forme d'auge dotés d'un tube sous vide. Ils permettent d'atteindre des températures élevées (entre 400 °C et 3 000 °C) et donc d'alimenter des turbines par de la vapeur d'eau sous pression. Au début des années 80, avec la construction d'une des toutes premières centrales solaires à tour à Targasonne, la France s'était placée à la pointe de cette nouvelle technologie. Pour l'abandonner presque immédiatement : complètement investie dans sa politique nucléaire, EDF avait trouvé «trop chers» les deux mégawatts produits à Targasonne. Or, aujourd'hui, face au problème crucial des gaz à effet de serre, on assiste à un timide retour du balancier en faveur de l'énergie solaire (voir ci-dessous). Avec une priorité : la réduction des coûts de production. «Or, pour cela, argumente Gilles Flamant, directeur du Promes, nous avons besoin de nouveaux programmes de recherche.» Débouchés. L'Espagne, très en avance dans ce domaine, dispose déjà, à Almeria (Libération du 11 septembre), d'un grand laboratoire d'expérimentation du type de ce que pourrait devenir Themis. Mais ce centre d'essais est déjà saturé. «La réhabilitation de Themis viendrait à point, dans une vision européenne globale, pour compléter Almeria», insiste Gilles Flamant. Avec des perspectives de débouchés industriels importants, où l'on verrait des centrales solaires jaillir dans des pays inondés de soleil - par exemple au Maghreb - grâce à de la technologie française. Rentabilité. La question du lancement du projet de laboratoire à Themis est essentiellement politique. Le 20 octobre, l'équipe de Promes a organisé un forum à Odeillo, dont le but avoué était de présenter aux responsables des différentes collectivités territoriales les alléchantes perspectives de l'énergie solaire concentrée. Bernard Equer, représentant du ministère de la Recherche, a eu le mérite de la franchise : «Si votre projet est bien ficelé, il n'y a pas de raison que le ministère le rejette. Ce qui ne veut pas dire qu'il y mette les moyens.» Côté département, Alain Siré, directeur des services économiques du conseil général des Pyrénées-Orientales (propriétaire du site de Themis), est venu expliquer qu'il n'avait «rien contre l'idée d'une reconversion partielle de Themis en centre de recherche», mais qu'il désirait qu'«une partie des héliostats soit réservée à la production d'électricité photovoltaïque», dont la rentabilité économique est bien plus immédiate. Quant à la région Languedoc-Roussillon, dirigée depuis mars par les socialistes et les Verts, elle n'a envoyé aucun représentant. Conscients de l'enthousiasme limité des institutions pour leur projet, les chercheurs du CNRS d'Oreillo ont promis d'investir dans la résurrection de Themis une énergie «renouvelable à l'infini».  http://www.liberation.fr/page.php?Article=248887[-]
France Energie. Projet de réhabilitation de l'ancienne centrale solaire en centre de recherches. Themis pourrait retrouver de son éclat ien n'a bougé. Comme si, autour de l'ancienne centrale solaire de Targasonne (Pyrénées-Orientales), construite en 1983 et abandonnée par EDF en 1986, le temps s'était figé. La longue tour domine toujours de son oeil sévère les 170 miroirs solaires (ou héliostats) qui l'irradiaient d'autant de soleils. Jusqu'à ...[+]

Centrale solaire ; CNRS ; Concentrateur solaire ; Laboratoire ; Languedoc Roussillon ; Recherche ; Rénovation

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