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Cote CLER : EN LIGNE
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Après l'Espagne, l'Islande ou la Nouvelle-Zélande, la très libérale Grande-Bretagne expérimente la semaine de quatre jours. En ce mois de juin, 3000 employés, issus de 60 entreprises britanniques vont travailler sur quatre jours, sans perte de salaire. Au Japon aussi, l'idée fait son chemin, tout comme en France avec plus de 400 entreprises qui ont déjà spontanément franchi ce pas. Les atouts de cette nouvelle organisation sont nombreux, à condition toutefois de bien préparer la transformation, prévient Dominique Méda, sociologue du travail. Au Japon aussi les entreprises se tournent de plus en plus vers cette nouvelle organisation du travail. "Une situation autrefois impensable dans un pays dont la prospérité d'après-guerre reposait sur une main-d'œuvre prête à sacrifier la vie familiale pour le bien de l'entreprise", écrit ainsi le quotidien Asahi Shimbun.
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Après l'Espagne, l'Islande ou la Nouvelle-Zélande, la très libérale Grande-Bretagne expérimente la semaine de quatre jours. En ce mois de juin, 3000 employés, issus de 60 entreprises britanniques vont travailler sur quatre jours, sans perte de salaire. Au Japon aussi, l'idée fait son chemin, tout comme en France avec plus de 400 entreprises qui ont déjà spontanément franchi ce pas. Les atouts de cette nouvelle organisation sont ...
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Islande ; Bretagne ; Espagne ; Aspect social ; Nouvelle-Zélande ; Aspect économique ; Collectivité locale ; Entreprise ; Japon ; International
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- n° 380
Cote CLER : B1
"L'étude a été menée sur un Boeing 747-400 construit par Rolls-Royce. Le vol d'essai réalisé en décembre 2008 été alimenté par un carburant composé à 50 % de carburant issu de jatropha, en complément au traditionnel JetA1. Les tests ont été conduits au sol et en vol, à différentes altitudes et dans des conditions de vol variées. Le moteur et les composants ont été étudiés. L'utilisation de ce mélange sur un vol de 12 heures réduirait de 1,2% la consommation de l'avion, soit 1,43 tonnes de carburant. Sur de plus courtes distance, l'économie de consommation serait de 1%. Du point de vue des émissions de CO2, la réduction serait de 4,5 tonnes, soit 60 à 65% de moins qu'avec un carburant conventionnel. ""Il est certain que les données de notre vol d'essai au biocarburant constitue une composante critique destinée à aider les biocarburants à devenir un carburant aérien certifié"" s'est félicité le Commandant David Morgan. ""Actuellement, notre équipe recherche différentes options de biocarburants. Nous restons fidèles à notre ambition de répondre à hauteur de 10% aux besoins de carburants en 2013 par l'usage de carburants alternatifs, mais reconnaissons qu'il existe plusieurs étapes à franchir par les experts dans d'autres domaines."" a-t-il ajouté. L'initiative était réalisée conjointement par Air New Zealand, Boeing, Rolls-Royce, et Honeywell UOP. "
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"L'étude a été menée sur un Boeing 747-400 construit par Rolls-Royce. Le vol d'essai réalisé en décembre 2008 été alimenté par un carburant composé à 50 % de carburant issu de jatropha, en complément au traditionnel JetA1. Les tests ont été conduits au sol et en vol, à différentes altitudes et dans des conditions de vol variées. Le moteur et les composants ont été étudiés. L'utilisation de ce mélange sur un vol de 12 heures réduirait de 1,2% la ...
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Biocarburant ; Expérimentation ; Jatropha ; Nouvelle-Zélande ; Réalisation ; Transport aérien
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- n° 201108
Cote CLER : A2
Boeing, Air New Zealand et UOP ont collaboré étroitement avec les producteurs et le développeur du projet Terasol Energy pour identifier du jatropha durable disponible en quantités suffisantes pour procéder à des essais complets avant le premier vol, ont indiqué les Groupes dans un communiqué. Selon la compagnie aérienne, le jatropha, qui peut être cultivé dans des conditions très variées, produit une graine contenant une huile lipidique non comestible, dont l'extraction permet de fabriquer du carburant. Chaque graine peut produire 30% à 40% de sa masse en huile. L'huile utilisée pour créer le carburant destiné au vol d'Air New Zealand provient de terres non arables situées en Inde et dans des pays du sud-est de l'Afrique (Malawi, Mozambique et Tanzanie), a précisé la compagnie.
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Boeing, Air New Zealand et UOP ont collaboré étroitement avec les producteurs et le développeur du projet Terasol Energy pour identifier du jatropha durable disponible en quantités suffisantes pour procéder à des essais complets avant le premier vol, ont indiqué les Groupes dans un communiqué. Selon la compagnie aérienne, le jatropha, qui peut être cultivé dans des conditions très variées, produit une graine contenant une huile lipidique non ...
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Agrocarburant ; Biocarburant ; Expérimentation ; Huile végétale ; Nouvelle-Zélande ; Transport aérien
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