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Documents Choc pétrolier 20 résultats

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- p.54 àp.59
Fédérations et organisations professionnelles du solaire, du bâtiment et des secteurs connexes (équipements électriques et agriculture), associations de collectivités et ONG, groupements divers, en tout,, dix-neuf entités ont partagé leur point de vue sur les propositions à mettre en branle pour sensibiliser les pouvoirs publics et les citoyens français aux enjeux et opportunités liés au développement du secteur photovoltaïque en France. Ces Etats généraux du Solaire qui viennent de publier leurs synthèses proposent une vision du solaire PV en France d'ici à 2020.[-]
Fédérations et organisations professionnelles du solaire, du bâtiment et des secteurs connexes (équipements électriques et agriculture), associations de collectivités et ONG, groupements divers, en tout,, dix-neuf entités ont partagé leur point de vue sur les propositions à mettre en branle pour sensibiliser les pouvoirs publics et les citoyens français aux enjeux et opportunités liés au développement du secteur photovoltaïque en France. Ces ...[+]

Solaire photovoltaïque ; Fédération / Syndicat ; Choc pétrolier ; Région française administrative ; Four solaire ; Politique énergétique ; Nucléaire ; Réseau électrique ; Croissance / Augmentation ; Emploi

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- n° 354
Cote CLER : A4
"À l'occasion de la sorti de son livre, ""Pétrole, apocalypse"", Y. ochet, député de Pars et ancien ministre, revient sur la théorie du pic de Hubbert et expose quelques-unes des orientations politiques qu'il faudrait lmettre en place dans l'urgence."

Choc pétrolier ; Pétrole ; Prix du pétrole ; Réserve / Ressource energétique

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- n° 324
Cote CLER : A4
Souvent sur le devant de la scène pour alerter et informer les gouvernements, l'Agence internationale de l'énergie vient de publier une étude sur les 30 drnières années de consommation d'énergie. Le principal enseignement à en tirer est que les deux chocs pétroliers des années 70 ont eu une influence plus importante sur la réduction de la consommation d'énergie que toutes les politiques énergétiques mises en place depuis les années 1990.

Organisme ; Changement climatique ; Choc pétrolier ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Consommation d'énergie ; Coût externe ; Demande en énergie ; Efficacité énergétique ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Norme ; Perspective ; Politique énergétique ; Recherche ; Technologie

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- n° 90304
Cote CLER : B5
"LE MONDE | 06.03.04 | 14h50  •  MIS A JOUR LE 06.03.04 | 20h20 http://www.iea.org/Textbase/press/pressdetail.asp?PRESS_REL_ID=123 Et si l'OPEP était l'association écologiste la plus efficace du monde ? En maîtrisant les prix du brut, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole se révèle être l'agent le plus convaincant pour encourager - ou démobiliser - les politiques de maîtrise de l'énergie. C'est la conclusion paradoxale que l'on peut tirer de la publication, le 2 mars, par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) d'une étude analysant trente ans de consommation énergétique. En effet, alors que les deux chocs pétroliers de 1973 et 1979 ont entraîné des progrès très nets dans l'efficacité énergétique des pays développés, le retour du prix du pétrole à des niveaux modérés à partir de 1986 a incité les pays riches à relâcher leurs efforts. Ainsi, l'étude de l'AIE (30 Years of Energy Use In IEA Countries) met en exergue une rupture des tendances autour de 1990 : entre 1973 et 1990, les pays couverts par l'Agence connaissent une croissance limitée de la consommation d'énergie (+ 0,4 % par an), tandis qu'à partir de 1990 cette augmentation passe à 1,4 %. Ce phénomène n'est pas dû à la croissance économique elle-même. On pourrait en effet penser que si l'économie tourne fort, la consommation d'énergie doit suivre. Mais, en fait, tout dépend des efforts d'économies d'énergie. Ceux-ci se traduisent par un découplage entre consommation d'énergie et produit intérieur brut (PIB) : on produit une même unité de PIB avec moins d'énergie. La vigueur de ce découplage est mesurée par la baisse de l'intensité énergétique (quantité d'énergie nécessaire pour produire une unité de PIB). Or, cette intensité, qui avait baissé au rythme de 2,5 % par an entre 1973 et 1982 dans les pays de l'AIE, ne diminue plus que de 1,5 % par an entre 1983 et 1990, avant que l'effort ne se relâche totalement (- 0,7 % depuis). La corrélation est assez étroite avec le prix du baril de pétrole, qui donne le ""la"" à l'ensemble des prix de l'énergie : en prix réel, c'est-à-dire corrigé de l'inflation, le baril de pétrole a atteint des sommets dans les années 1970, déclinant ensuite lentement, puis franchement en 1986. Il s'est depuis lors stabilisé à un niveau bas, proche de celui qui existait avant le choc pétrolier de 1973. Aujourd'hui encore, malgré la hausse enclenchée en 2000, il reste au même prix qu'en 1973. Ainsi, la contrainte économique n'a plus stimulé la maîtrise énergétique. Cela dit, tous les acteurs sociaux n'ont pas évolué de la même manière. L'industrie, qui avait fourni les plus grands efforts dans les années 1970, s'est laissée aller à partir de 1986 : son intensité énergétique n'a dès lors plus décliné que de 0,6 % par an. C'est ailleurs qu'il faut chercher la responsabilité. Premier accusé : le transport automobile et aérien. Ils ont tous les deux explosé - le nombre de passagers par avion a triplé depuis 1973, celui d'automobiles a doublé -, tirant la demande de pétrole. Certes, les moteurs se sont améliorés, mais ce progrès technique a été plus que compensé, d'une part par l'augmentation du trafic, d'autre part, pour les automobiles, par le passage à des véhicules plus lourds et plus consommateurs d'énergie en raison de leur équipement en climatisation et autres gadgets. Le transport de marchandises par camion a lui aussi crû sans contrôle, doublant de ce fait la consommation d'énergie de ce secteur. Dans un autre domaine, les particuliers sont aussi responsables de l'augmentation de la consommation énergétique : la quantité d'équipements électriques - électroménager, audio-vidéo, ordinateurs, etc. - s'est multipliée, tirant largement la consommation d'électricité. Soulignant que des possibilités très importantes d'économies d'énergie existent encore, l'Agence appelle les gouvernements à mener des politiques pour les favoriser. Mais l'absence de telles politiques dans la décennie passée, alors que la conjoncture économique était plus facile, rend douteux que l'appel de l'AIE soit entendu. D'autant plus qu'il va à l'encontre des politiques menées par ailleurs, qui encouragent le développement des échanges et la baisse du prix de l'électricité, jugée comme un stimulant économique. Dans ce contexte, sans doute vaut-il mieux attendre d'une hausse continue du prix du pétrole une baisse de la consommation d'énergie et des émissions de CO2. Hervé Kempf ------------------------------------------------------------------------ La Chine exemplaire... pour l'instant La Chine a connu depuis trente ans une évolution spectaculaire de ses émissions de gaz carbonique - reflet d'une maîtrise efficace de l'énergie. Son niveau d'émission rapporté au PIB est passé, selon l'AIE, de 2 kg de CO2/$ en 1974 à 0,7 kg/$ en 2000. A la différence des pays occidentaux, ce progrès a continué au même rythme pendant les années 1990. Les émissions de CO2 par habitant restent aussi très inférieures en Chine au niveau des pays de l'OCDE : environ 2 tonnes par tête contre plus de 10 tonnes. Ces résultats ont été obtenus par une modernisation rapide de l'économie et par une substitution partielle au charbon d'autres sources d'énergie moins polluantes. Cependant, les statistiques chinoises ne sont pas absolument fiables, et semblent être enjolivées. Par ailleurs, la tendance à la baisse des émissions s'est inversée depuis 2000, en raison de la croissance économique rapide et du trafic automobile. La production de voitures particulières est passée de 700 000 unités en 2001 à 2 millions en 2003 et pourrait atteindre 2,8 millions cette année. • ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 07.03.04 "[-]
"LE MONDE | 06.03.04 | 14h50  •  MIS A JOUR LE 06.03.04 | 20h20 http://www.iea.org/Textbase/press/pressdetail.asp?PRESS_REL_ID=123 Et si l'OPEP était l'association écologiste la plus efficace du monde ? En maîtrisant les prix du brut, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole se révèle être l'agent le plus convaincant pour encourager - ou démobiliser - les politiques de maîtrise de l'énergie. C'est la conclusion paradoxale que l'on peut ...[+]

Organisme ; Chine ; Choc pétrolier ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Gaz à Effet de Serre / GES ; International

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- n° 8342
Cote CLER : B1
La France arrive au terme d'une époque marquéee par 2 chocs pétroliers et la réalisation en retour d'un ambitieux programme nucléaire. Alors que le parc de centrales approche de la limite d'age, l'heure est désormais à l'ouverture des marché du gaz et de l'électrcité et à la maîtrise des émissions de gaz à effet de serre.

Bilan énergétique ; Choc pétrolier ; Région française administrative ; Généralité énergie ; Libéralisation énergétique ; Marché de l'électricité ; Marché du gaz ; Nucléaire ; Politique énergétique ; Protocole de Kyoto

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Cote CLER : MDE0400
La vraie demande : des services requérant de l'énergie Institutions et réseaux d'acteurs Evolutions institutionnelles en France : de l'économie à la maitrise

Organisme ; Organisme ; Choc pétrolier ; CLER ; Client / Usager ; Club ; Consommation d'énergie ; Économie d'énergie ; Efficacité énergétique ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Maitrise De l'Énergie - MDE ; Organisation internationale

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