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- n° 100806
Cote CLER : B5
"Nigéria : 'L'énergie solaire apporte un soulagement aux villageois' http://www.ipsnews.net/fr/_note.asp?idnews=3215 LAGOS, 9 août (IPS) - Petite île de pêche et de sculpture de pirogue dans l'océan Atlantique au large de Lagos, la capitale économique tentaculaire du Nigeria, Bishop Kodji est devenue le premier village à être électrifié sous à partir du projet pilote d'énergie solaire du gouvernement de l'Etat de Lagos. Avant la mise en place du projet, le village qui compte une population de 5.000 habitants, n'a pas connu l'électricité depuis son existence. Pour fournir des services à l'île, ce qui ne peut être réalisé que par bateau, le gouvernement a décidé d'y lancer le projet solaire en mai. Dix-neuf autres villages reculés bénéficieraient également du projet avant la fin de l'année, selon des officiels du gouvernement de l'Etat. ""Le climat tropical fait de l'énergie solaire la source alternative d'énergie renouvelable la plus viable au Nigeria. Exploiter l'énergie du soleil pour produire du courant est un impératif pour les zones rurales où l'espoir d'être connecté au réseau national est très limité et extrêmement coûteux"", a déclaré Kadiri Hamzat, commissaire de l'Etat de Lagos pour la science et la technologie, en juin à Ikeja, la capitale de cet Etat. Il faisait un briefing aux journalistes sur les activités de son ministère pendant l'année écoulée. Hamzat a dit que la technologie de l'énergie solaire est moins coûteuse que l'énergie générée par le nouveau 'Power Holding Company of Nigeria' (PHCN) qui a remplacé l'Autorité nationale d'énergie électrique (NEPA), bien que la fourniture de l'énergie se soit dégradée depuis sa création. En principe, seul le nom a changé, le personnel de NEPA travaille toujours dans la nouvelle compagnie. Hamza a indiqué : ""Cela coûte environ 150 millions de naira (environ 1,2 million de dollars) pour connecter chaque village au réseau national, tandis que le projet d'énergie solaire coûte seulement environ 10 millions de naira (à peu près 83.000 dollars) par village"". Un projet similaire lancé en 2002 par le gouvernement nigérian, grâce à l'assistance du gouvernement japonais, a éclairé 200 communautés rurales dans les Etats d'Imo, Ondo et Jigawa ainsi qu'à Abuja, la capitale de la nation. Au cours d'une visite à Tokyo, au Japon, en septembre 2001, le président Olusegun Obasanjo a demandé au gouvernement japonais d'aider le Nigeria avec de l'énergie solaire bon marché pour améliorer la fourniture d'électricité du pays. Au Nigeria, l'énergie solaire est utilisée pour une variété d'applications comme l'électrification villageoise, le pompage d'eau et l'irrigation des champs. Au village de Bishop Kodji dont l'activité principale est la pêche et la construction de bateau, les habitants sèchent maintenant du poisson par un séchoir alimenté à l'énergie solaire et suivent les programmes de télévision dans l'unique hall de la communauté, pendant que les églises, les mosquées ainsi que l'artère principale ont été éclairées. ""Le projet nous a procuré une grande joie et nous a apporté un grand soulagement. Il a rapproché la gouvernance plus près de nous et nous avons maintenant accès à l'information plus qu'avant quand nous dépendions de la radio alimentée par des piles. Nous pouvons maintenant regarder la télévision et charger nos téléphones portables"", a dit à IPS, Solomon Hennu, le secrétaire de l'Association de développement de la Communauté de Kodji, lors d'une visite sur l'île vers fin-juin. Ezekiel Huehunmey, qui est en charge de la seule école primaire du village de Bishop Kodji, est optimiste qu'il y aura une amélioration dans l'inscription des écoliers et de leur présence à l'école. ""La plupart de nos enfants voyagent en haute mer pour pouvoir fréquenter en ville à cause de l'insuffisance des classes. Avec l'électricité et plus de classes, le risque de voir les pirogues transportant nos enfants se renverser sera réduit. Nous pouvons maintenant inscrire plus d'écoliers et gérer deux équipes -- la journée et la soirée"", a-t-il dit. Mais le système solaire n'est pas sans défaut. La machine est tombée en panne récemment pendant deux jours sur l'île. ""Les officiels du gouvernement nous avaient dit, quand ils étaient venus pour la réparation, que c'était parce que le système était surchargé qu'il avait cédé. Ils l'ont remis en service, mais ont conseillé les résidents de ne plus le surcharger"", a expliqué Huehunmey. Les villageois jouissent maintenant de l'électricité solaire la plupart du temps pendant que leurs homologues à Orile, une banlieue de Lagos, connectée à la fourniture de PHCN, continuent d'expérimenter de fréquentes pannes de courant. ""Depuis janvier cette année, nous n'avons pas eu de courant à plein temps dans cette zone. Tout le monde utilise maintenant un générateur"", a dit Sunday Onyema, un résident d'Orile. Un générateur de courant coûte environ 66 dollars. Mais les générateurs aussi viennent avec un prix : le feu. Propriétaire de boutique, Onyema a déclaré à IPS que l'un des occupants a brûlé une maison à un étage après avoir laissé un générateur portatif allumé la nuit, ce qui a rasé tout le bâtiment à la mi-juin. Ilebrick, une pauvre banlieue de Lagos, a aussi été touchée par un feu de minuit le 9 juillet, lorsqu'un co-habitant de l'une des chambres a essayé de remplir à nouveau un générateur portatif. Au Nigeria, la fourniture d'électricité a été irrégulière durant les 20 dernières années, à cause principalement de la négligence du secteur de l'énergie par les régimes militaires qui ont gouverné le pays dans la plus grande partie des années 1980 et 1990. Le Nigeria a commencé par jouir de la démocratie à partir de 1999 après que la seconde tentative d'un régime démocratique (1979-1983) a été tronquée par les militaires qui, en 1966, avaient organisé un coup d'Etat qui avait renversé la première République. Sixième exportateur mondial de brut, selon l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), basée à Vienne, le Nigeria dépend encore de l'importation des produits raffinés. Ses quatre raffineries, avec une capacité combinée de 445.000 barils par jour, opèrent en deçà de leur capacité à cause d'un équipement vieillissant. Le Nigeria consomme 30 millions de litres de pétrole raffiné par jour alors que ses raffineries produisent ensemble environ 18 millions de litres par jour, laissant un manque de 12 millions de litres à importer, selon le Département des ressources pétrolières, le bras gouvernemental de l'industrie pétrolière. Plus de 60 pour cent des usines au Nigeria, selon un sondage publié en mai par l'Association nigériane des industriels (MAN), dépendent des générateurs pour la fourniture de leurs principales sources d'énergie et cela, dit-il, a augmenté le coût des produits manufacturés, qui est répercuté sur le consommateur. Ceci a un effet négatif sur la compétitivité des produits locaux, indique la MAN. Bashir Borodo, le nouveau président de la MAN, a déclaré aux journalistes, à Lagos au début de juillet, qu'ils planifiaient d'installer un générateur indépendant pour fournir de l'électricité aux industries. ""L'expérience des membres avec la fourniture nationale du courant a atteint un niveau frustrant. La situation de l'électricité qui empire a conduit le secteur de la fabrication au bord de l'effondrement"", a souligné Borodo. Le générateur est supposé démarrer l'année prochaine. Borodo expliqué à IPS : ""Le système solaire sera trop coûteux pour les compagnies industrielles; donc nous ne pensons pas à l'énergie solaire comme une option pour fournir de l'électricité aux firmes. Le générateur indépendant que nous planifions devra utiliser le gaz abondant du Nigeria pour faire fonctionner les turbines et générer de l'électricité"". Le Bureau des entreprises publiques (BPE), créé par le gouvernement pour liquider les actifs publics occasionnant des pertes, estime les pertes financières découlant de la fourniture irrégulière d'énergie à environ un miliard de dollars par an. Seulement moins de 36 pour cent des Nigérians ont accès à l'électricité. "[-]
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Électrification rurale ; Ile ; Nigéria ; Pompage solaire ; Séchage solaire ; Site isolé ; Solaire photovoltaïque

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- n° 100806
Cote CLER : B5
Energies renouvelables : Enjeux de l'utilisation des équipements solaires http://www.lefaso.net/article.php3?id_article=14692&id_rubrique=3 La consommation d'électricité est devenue incontournable dans le monde. Les sources traditionnelles de cette énergie (pétrole, gaz, charbon) ne sont pourtant pas inépuisables. La production d'énergies renouvelables telle le solaire, la biomasse et la géothermie est donc une nécessité, surtout pour les pays qui en sont favorisés par la nature comme le Burkina Faso. La fabrication d'équipements solaires y est une réalité et ses enjeux méritent que l'on s'intéresse à ce secteur. A Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, il est possible de trouver dans certains magasins, des équipements fonctionnant à base d'énergie solaire. Les plus courants sont les séchoirs, les pompes à eau, les chauffe-eau et les lampes. Cela montre que le rayonnement solaire peut être converti en chaleur (solaire thermique) ou en électricité (solaire photo- voltaïque) au bénéficie des populations. Le Centre écologique Albert Scheitzer (CEAS) créé en 1982 à Ouagadougou par la Fondation CEAS basée en Suisse a décidé d'exploiter cette richesse naturelle. Grâce à son département de technologies appropriées, il forme les artisants locaux à la fabrication de matériels solaires, monte les plaques ou panneaux solaires et procède à leur installation. Charles Didace Konseibo, responsable du département, affirme que le CEAS, convaincu de l'avenir prometteur du photovoltaïque, s'est lancé dans le secteur en 2004. Selon lui, les personnes qui s'intéressent aux équipements solaires sont issues de plusieurs catégories socio-professionnelles : fonctionnaires, entrepreneurs, artisans, organisations non gouvernementales (ONG)... Toutefois poursuit-il, les prestations du Centre s'adressent essentiellement aux artisants (soudeurs, menuisiers, mécaniciens, etc.) qui ont un minimum de connaissances dans leurs domaines d'activité et qui possèdent leurs ateliers. Le responsable de l'atelier d'innovation technique ligne, fabrication, construction (INTELFAC), un bénéficiaire des prestations du CEAS, Sib Prospère Barry a confié que la plupart de ses clients sont des ruraux, des ONG et des associations. En effet, le besoin d'électrification se fait plus sentir dans les campagnes. Cependant, la hausse du prix des hydrocarbures amène de plus en plus de citadins à acheter des équipements solaires dont les coûts d'installation sont généralement élevés. Le prix minimum d'un frigo solaire est de trois millions de F CFA. Celui d'une lampe solaire est compris entre 7 500 et 30 000 F CFA. Le consommateur doit débourser au moins 300 000 F CFA pour acquérir un séchoir solaire d'une capacité de 20 kg. Quant aux chauffe-eau utilisant la même énergie, leur installation nécessite au moins 500 000 F CFA. Le soleil, une alternative au déficit énergétique Même si les équipements ont une durée de vie assez longue (10 à 20 ans), on ne peut pas dire que leur prix sont à la portée du citoyen moyen burkinabè, ce qui expliquerait le fait que leur achat se fait généralement de manière groupée ou avec l'appui de bailleurs de fonds (ONG, Etat). Selon M. Konseibo, l'importation des constituants élémentaires des équipements solaires justifie ces coûts élevés. La fabrication des cellules de panneaux solaires, dit-il, relève de la haute technologie, toute chose dont le Burkina ne dispose pas. Le pays sera dépendant des producteurs de cellules constitutifs des panneaux solaires s'il décide de développer le secteur photovoltaïque. Et même si la fabrication des cellules est maîtrisée, il se poserait, de l'avis de l'ingénieur, un problème d'énergie. En effet, la désintégration du silicium qui donne les cellules en question nécessite une quantité importante d'énergie tirée à partir des sources traditionnelles de production d'énergie dont le Burkina ne dispose pas. Par ailleurs, les générateurs ne sont compétitifs par rapport aux générateurs diesel que pour de faibles demandes d'énergie en région isolée. De plus, la fiabilité et les performances du système photovoltaïque restent équivalentes pour autant que la batterie et les composantes soient judicieusement choisies. M. Barry et M. Konseibo avancent toutefois que les technologies solaires présentent de nombreux avantages pour le pays. « Le solaire thermique a un coût quasiment nul par rapport au bénéfice qu'en tirent les utilisateurs », clament-ils. Une fois l'équipement acquis et installé chez le demandeur, poursuivent-ils, l'usage est gratuite et s'étale sur une longue période. L'entretien également est relativement peu coûteux. Le recours au photovoltaïque se justifie aisément d'après eux dans les situations où il est irrationnel d'installer un réseau de transfert d'électricité conventionnel, comme dans les zones isolées. En outre, le caractère modulaire des plaques permet un montage simple et adapté à des besoins énergétiques divers. Du reste, les technologies solaires sont non polluantes, silencieuses et n'entraînent aucune perturbation du milieu si ce n'est l'occupation de l'espace par les installations de grande dimension. Plusieurs fournisseurs d'équipements solaires ou photovoltaïques affirment n'entretenir aucune relation avec la Société nationale burkinabè d'électricité (SONABEL). « La SONABEL n'est jamais intervenue dans nos activités hormis le fait qu'elle nous approvisionne en électricité », a laissé entendre M. Konseibo. « Le soleil, ajoute-t-il, bien qu'étant la plus grande richesse du Burkina, ne peut remplacer totalement les sources d'énergie traditionnelle ». « Ces dernières années, les taxes sur les équipements solaires ont baissé », a confié M. Konseibo. Pour lui, cela traduit la volonté de l'Etat de favoriser leur expansion. En 1996, le gouvernement avait initié des études sur un projet de développement de l'électricité. Une politique d'électrification rurale décentralisée a été mise en place depuis lors. D'ailleurs, un cadre stratégique sur les énergies renouvelables a été élaboré par le pouvoir de la IVe République. Mme Nabantougou/Nanéma Louise, propriétaire du magasin « Energie Plus » tout comme M. Barry soutiennent que le secteur du solaire a de beaux jours devant lui, surtout le solaire thermique. « L'Etat doit, soit effectuer des baisses supplémentaires et conséquentes sur les taxes des équipements solaires soit subventionner ceux-ci s'il souhaite les vulgariser », a suggéré Mme Nabantougou. Et M. Konseibo de renchérir : « C'est par ce système que les pays développés comme le Japon et l'Allemagne ont pu amener leur population à adopter les équipements solaires ». Tout compte fait, étudier et repenser les besoins des Burkinabè et y adjoindre l'usage des énergies renouvelables ne serait-il pas une façon de prémunir efficacement le pays face à d'éventuelles crises énergétiques ? Séraphine SOME (serasome@yahoo.fr)[-]
Energies renouvelables : Enjeux de l'utilisation des équipements solaires http://www.lefaso.net/article.php3?id_article=14692&id_rubrique=3 La consommation d'électricité est devenue incontournable dans le monde. Les sources traditionnelles de cette énergie (pétrole, gaz, charbon) ne sont pourtant pas inépuisables. La production d'énergies renouvelables telle le solaire, la biomasse et la géothermie est donc une nécessité, surtout pour les pays ...[+]

Burkina Faso ; Chauffe eau solaire ; Pompage solaire ; Séchage solaire ; Solaire photovoltaïque

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- n° 686
Cote CLER : A3
Le comptoir du solaire : http://www.comptoirdusolaire.com

Cuiseur solaire ; Gadget solaire ; Pompage solaire ; Site Internet ; Système photovoltaïque ; Petit éolien

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- n° 169
Cote CLER : C3
Bénéficiant de 300 jours d'ensoleillement par an, l'Inde est le candidat parfait pour l'énergie photovoltaïque. Cependant, comme ailleurs, la filière photovoltaïque indienne dépend des aides gouvernementales, faibles et mal distribuées. Les industriels locaux se tournent vers le secteur privé et l'export pour soutenir leur activité.

Aide financière ; Cellule photovoltaïque ; Chargeur solaire ; Électrification rurale ; Entreprise ; Gisement solaire ; Inde ; Module photovoltaïque ; Pays En Développement ; Pompage solaire ; Signalisation / Balisage ; Solaire photovoltaïque ; Télécommunication ; Usine de fabrication/production

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- n° 166
Cote CLER : C3
Principalement développé sur le littoral, le réseau électrique guyanais ne dessert pas les villages situés à l'intérieur des terres. C'est le cas d'Ayawandé, un village amérindien qui souhaite relancer un projet d'électrification solaire en le jumelant à un projet d'écotourisme.

Électrification rurale ; Guyane ; Pompage solaire ; Solaire photovoltaïque

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- n° 46
Cote CLER : C5
TEMASOL filiale marocaine de Total Energie, Total Maroc, et EDF, vient de remporter son second marché d'électrification rurale. Elle devra équiper 37.000 foyers par énergie solaire avant la fin 2007. Temasol avait déjà été retenu lors d'une précédente consultation pour 16.000 foyers. Temasol alimentera également en pompage solaire une quinzaine de villages. Plus d'infos.

Électrification rurale ; Fournisseur / Distributeur ; Maroc ; Pompage solaire ; Projet

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- n° 61
Cote CLER : A1
L'exploitant agricole a parfois besoin d'électricité pour des applications ponctuelles. Les panneaux solaires photovoltaÏques fournisent suffisament d'énergie, nécessite peu d'entretien, ne consome pas de combusible et coûte moins cher qu'une ligne EDF.

Batterie ; Coût d'investissement ; Exploitation agricole ; Franche Comté ; Pompage solaire ; Régulateur de charge ; Solaire photovoltaïque

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