En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents Nigéria 6 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 172
Cote CLER : A1
À l'heure des grands défis énergétiques, l'Afrique s'interroge - comme tous les autres continents - sur la place à donner aux biocarburants. Actuellement, 1% de la production mondiale de carburants végétaux est d'origine africaine. Les projets en cours sur le continent noir font principalement appel au jatropha, à l'huile de palme et à la canne à sucre, et ce, le plus souvent à des fins de consommation locale. Mais quelques investisseurs étrangers viennent frapper à la porte.[-]
À l'heure des grands défis énergétiques, l'Afrique s'interroge - comme tous les autres continents - sur la place à donner aux biocarburants. Actuellement, 1% de la production mondiale de carburants végétaux est d'origine africaine. Les projets en cours sur le continent noir font principalement appel au jatropha, à l'huile de palme et à la canne à sucre, et ce, le plus souvent à des fins de consommation locale. Mais quelques investisseurs ...[+]

Afrique ; Afrique du Sud ; Biocarburant ; Canne à sucre ; Côte d'Ivoire ; Ghana ; Huile végétale ; Jatropha ; Madagascar ; Mali ; Mozambique ; Nigéria ; Sénégal ; Tanzanie

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 100806
Cote CLER : B5
"Nigéria : 'L'énergie solaire apporte un soulagement aux villageois' http://www.ipsnews.net/fr/_note.asp?idnews=3215 LAGOS, 9 août (IPS) - Petite île de pêche et de sculpture de pirogue dans l'océan Atlantique au large de Lagos, la capitale économique tentaculaire du Nigeria, Bishop Kodji est devenue le premier village à être électrifié sous à partir du projet pilote d'énergie solaire du gouvernement de l'Etat de Lagos. Avant la mise en place du projet, le village qui compte une population de 5.000 habitants, n'a pas connu l'électricité depuis son existence. Pour fournir des services à l'île, ce qui ne peut être réalisé que par bateau, le gouvernement a décidé d'y lancer le projet solaire en mai. Dix-neuf autres villages reculés bénéficieraient également du projet avant la fin de l'année, selon des officiels du gouvernement de l'Etat. ""Le climat tropical fait de l'énergie solaire la source alternative d'énergie renouvelable la plus viable au Nigeria. Exploiter l'énergie du soleil pour produire du courant est un impératif pour les zones rurales où l'espoir d'être connecté au réseau national est très limité et extrêmement coûteux"", a déclaré Kadiri Hamzat, commissaire de l'Etat de Lagos pour la science et la technologie, en juin à Ikeja, la capitale de cet Etat. Il faisait un briefing aux journalistes sur les activités de son ministère pendant l'année écoulée. Hamzat a dit que la technologie de l'énergie solaire est moins coûteuse que l'énergie générée par le nouveau 'Power Holding Company of Nigeria' (PHCN) qui a remplacé l'Autorité nationale d'énergie électrique (NEPA), bien que la fourniture de l'énergie se soit dégradée depuis sa création. En principe, seul le nom a changé, le personnel de NEPA travaille toujours dans la nouvelle compagnie. Hamza a indiqué : ""Cela coûte environ 150 millions de naira (environ 1,2 million de dollars) pour connecter chaque village au réseau national, tandis que le projet d'énergie solaire coûte seulement environ 10 millions de naira (à peu près 83.000 dollars) par village"". Un projet similaire lancé en 2002 par le gouvernement nigérian, grâce à l'assistance du gouvernement japonais, a éclairé 200 communautés rurales dans les Etats d'Imo, Ondo et Jigawa ainsi qu'à Abuja, la capitale de la nation. Au cours d'une visite à Tokyo, au Japon, en septembre 2001, le président Olusegun Obasanjo a demandé au gouvernement japonais d'aider le Nigeria avec de l'énergie solaire bon marché pour améliorer la fourniture d'électricité du pays. Au Nigeria, l'énergie solaire est utilisée pour une variété d'applications comme l'électrification villageoise, le pompage d'eau et l'irrigation des champs. Au village de Bishop Kodji dont l'activité principale est la pêche et la construction de bateau, les habitants sèchent maintenant du poisson par un séchoir alimenté à l'énergie solaire et suivent les programmes de télévision dans l'unique hall de la communauté, pendant que les églises, les mosquées ainsi que l'artère principale ont été éclairées. ""Le projet nous a procuré une grande joie et nous a apporté un grand soulagement. Il a rapproché la gouvernance plus près de nous et nous avons maintenant accès à l'information plus qu'avant quand nous dépendions de la radio alimentée par des piles. Nous pouvons maintenant regarder la télévision et charger nos téléphones portables"", a dit à IPS, Solomon Hennu, le secrétaire de l'Association de développement de la Communauté de Kodji, lors d'une visite sur l'île vers fin-juin. Ezekiel Huehunmey, qui est en charge de la seule école primaire du village de Bishop Kodji, est optimiste qu'il y aura une amélioration dans l'inscription des écoliers et de leur présence à l'école. ""La plupart de nos enfants voyagent en haute mer pour pouvoir fréquenter en ville à cause de l'insuffisance des classes. Avec l'électricité et plus de classes, le risque de voir les pirogues transportant nos enfants se renverser sera réduit. Nous pouvons maintenant inscrire plus d'écoliers et gérer deux équipes -- la journée et la soirée"", a-t-il dit. Mais le système solaire n'est pas sans défaut. La machine est tombée en panne récemment pendant deux jours sur l'île. ""Les officiels du gouvernement nous avaient dit, quand ils étaient venus pour la réparation, que c'était parce que le système était surchargé qu'il avait cédé. Ils l'ont remis en service, mais ont conseillé les résidents de ne plus le surcharger"", a expliqué Huehunmey. Les villageois jouissent maintenant de l'électricité solaire la plupart du temps pendant que leurs homologues à Orile, une banlieue de Lagos, connectée à la fourniture de PHCN, continuent d'expérimenter de fréquentes pannes de courant. ""Depuis janvier cette année, nous n'avons pas eu de courant à plein temps dans cette zone. Tout le monde utilise maintenant un générateur"", a dit Sunday Onyema, un résident d'Orile. Un générateur de courant coûte environ 66 dollars. Mais les générateurs aussi viennent avec un prix : le feu. Propriétaire de boutique, Onyema a déclaré à IPS que l'un des occupants a brûlé une maison à un étage après avoir laissé un générateur portatif allumé la nuit, ce qui a rasé tout le bâtiment à la mi-juin. Ilebrick, une pauvre banlieue de Lagos, a aussi été touchée par un feu de minuit le 9 juillet, lorsqu'un co-habitant de l'une des chambres a essayé de remplir à nouveau un générateur portatif. Au Nigeria, la fourniture d'électricité a été irrégulière durant les 20 dernières années, à cause principalement de la négligence du secteur de l'énergie par les régimes militaires qui ont gouverné le pays dans la plus grande partie des années 1980 et 1990. Le Nigeria a commencé par jouir de la démocratie à partir de 1999 après que la seconde tentative d'un régime démocratique (1979-1983) a été tronquée par les militaires qui, en 1966, avaient organisé un coup d'Etat qui avait renversé la première République. Sixième exportateur mondial de brut, selon l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), basée à Vienne, le Nigeria dépend encore de l'importation des produits raffinés. Ses quatre raffineries, avec une capacité combinée de 445.000 barils par jour, opèrent en deçà de leur capacité à cause d'un équipement vieillissant. Le Nigeria consomme 30 millions de litres de pétrole raffiné par jour alors que ses raffineries produisent ensemble environ 18 millions de litres par jour, laissant un manque de 12 millions de litres à importer, selon le Département des ressources pétrolières, le bras gouvernemental de l'industrie pétrolière. Plus de 60 pour cent des usines au Nigeria, selon un sondage publié en mai par l'Association nigériane des industriels (MAN), dépendent des générateurs pour la fourniture de leurs principales sources d'énergie et cela, dit-il, a augmenté le coût des produits manufacturés, qui est répercuté sur le consommateur. Ceci a un effet négatif sur la compétitivité des produits locaux, indique la MAN. Bashir Borodo, le nouveau président de la MAN, a déclaré aux journalistes, à Lagos au début de juillet, qu'ils planifiaient d'installer un générateur indépendant pour fournir de l'électricité aux industries. ""L'expérience des membres avec la fourniture nationale du courant a atteint un niveau frustrant. La situation de l'électricité qui empire a conduit le secteur de la fabrication au bord de l'effondrement"", a souligné Borodo. Le générateur est supposé démarrer l'année prochaine. Borodo expliqué à IPS : ""Le système solaire sera trop coûteux pour les compagnies industrielles; donc nous ne pensons pas à l'énergie solaire comme une option pour fournir de l'électricité aux firmes. Le générateur indépendant que nous planifions devra utiliser le gaz abondant du Nigeria pour faire fonctionner les turbines et générer de l'électricité"". Le Bureau des entreprises publiques (BPE), créé par le gouvernement pour liquider les actifs publics occasionnant des pertes, estime les pertes financières découlant de la fourniture irrégulière d'énergie à environ un miliard de dollars par an. Seulement moins de 36 pour cent des Nigérians ont accès à l'électricité. "[-]
"Nigéria : 'L'énergie solaire apporte un soulagement aux villageois' http://www.ipsnews.net/fr/_note.asp?idnews=3215 LAGOS, 9 août (IPS) - Petite île de pêche et de sculpture de pirogue dans l'océan Atlantique au large de Lagos, la capitale économique tentaculaire du Nigeria, Bishop Kodji est devenue le premier village à être électrifié sous à partir du projet pilote d'énergie solaire du gouvernement de l'Etat de Lagos. Avant la mise en place du ...[+]

Électrification rurale ; Ile ; Nigéria ; Pompage solaire ; Séchage solaire ; Site isolé ; Solaire photovoltaïque

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 62
Cote CLER : en ligne
ETUDE EN LIGNE
Le Nigéria, première puissance économique d'Afrique, deviendra probablement le troisième pays du monde par sa population au cours de ce siècle.
Son dynamisme est réel et son potentiel de développement immense. La croissance actuelle sera cassée si le problème de l'électricité n'est pas réglé.
La situation est intenable.
Le pays n'a besoin ni d'aides financières (il existe une clientèle solvable et des investisseurs sont prêts), ni de conseils (les analystes locaux sont compétents) pour le résoudre.
Le problème est la gouvernance et relève d'abord de l'ordre public et de la corruption,
ensuite, de prises de décisions et de leurs mises effectives en ∏uvre.
Ceci ne signifie pas que l'aide extérieure n'est pas utile, ni souhaitable... [-]
ETUDE EN LIGNE
Le Nigéria, première puissance économique d'Afrique, deviendra probablement le troisième pays du monde par sa population au cours de ce siècle.
Son dynamisme est réel et son potentiel de développement immense. La croissance actuelle sera cassée si le problème de l'électricité n'est pas réglé.
La situation est intenable.
Le pays n'a besoin ni d'aides financières (il existe une ...[+]

Nigéria ; Consommation d'électricité ; Production d'électricité ; Électrification rurale ; Afrique ; Aspect social ; Aspect économique

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 80 p.
Cote CLER : EN LIGNE
EN LIGNE
Ce document présente une méthode d'évaluation des impacts du changement climatique sur les systèmes énergétiques, catalogue les impacts prévisibles sur les principaux systèmes et détaille les mesures d'adaptation possibles.Il présente également les analyses faites dans dix pays de l'Afrique subsaharienne en utilisant cette méthodologie. Pays étudiés : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Kenya, Mali, Nigeria, Ouganda, République Démocratique du Congo, Sénégal et Tanzanie. Les politiques énergétiques actuelles des pays industrialisés sont essentiellement déterminées par la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre.Toutefois,les mesures adoptées dans le cadre du Protocole de Kyoto en vue de modérer les effets sur le climat de la production d'énergie n'ont pas réussi à prendre en compte les conséquences pleines et entières d'une variabilité climatique de plus en plus importante, notamment les inondations, les sécheresses saisonnières, la multiplication des tempêtes,les glissements de terrain,les vents aux vitesses extrêmes,les conditions glaciaires et les vagues de chaleur. Il est donc nécessaire et urgent de mettre en œuvre des efforts d'adaptation, et ce, non seulement dans des régions géographiquement vulnérables comme le Bangladesh,l'Afrique centrale ou le Tuvalu,mais également,compte tenu de la nature planétaire du changement climatique,partout dans le monde. En comparaison avec les mesures d'atténuation, pour lesquelles il est devenu habituel de parler en termes de «réduction de tonnes d'équivalent CO2»,l'identification des mesures d'adaptation en est encore à ses balbutiements. Il n'existe pas aujourd'hui de paramètres et d'indicateurs communément acceptés permettant de comparer les besoins d'adaptation et l'efficacité des mesures d'adaptation. Compte tenu de l'importance de l'énergie pour l'économie et les efforts de développement de tous les pays,il est vital de parvenir à réduire de façon substantielle les vulnérabilités du secteur énergétique lui-même.Les mesures d'adaptation suggérées doivent également favoriser les objectifs de l'écodéveloppement si l'on souhaite pouvoir les réaliser conjointement avec les Objectifs de développement du millénaire (ODM), c'est pourquoi il convient d'élaborer et de tester des critères et des indicateurs pour les systèmes énergétiques — c'est-à-dire une métrique— en vue d'évaluer l'adéquation des mesures proposées. Ce rapport explicite les raisons pour lesquelles une métrique de la vulnérabilité et de la résilience des systèmes énergétiques est nécessaire, et suggère une méthodologie pour la développer. Il synthétise les incidences prévisibles du changement climatique sur les principaux systèmes énergétiques, et met en exergue les mesures d'adaptation possibles. Il présente également les observations et les analyses résultant d'études ayant effectivement mis en œuvre la métrique développée,réalisées récemment dans dix pays de l'Afrique subsaharienne.Le rapport se conclut par une série de recommandations visant le renforcement de la résilience des systèmes énergétiques.[-]
EN LIGNE
Ce document présente une méthode d'évaluation des impacts du changement climatique sur les systèmes énergétiques, catalogue les impacts prévisibles sur les principaux systèmes et détaille les mesures d'adaptation possibles.Il présente également les analyses faites dans dix pays de l'Afrique subsaharienne en utilisant cette méthodologie. Pays étudiés : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Kenya, Mali, Nigeria, Ouganda, République Démocratique ...[+]

Bénin ; Biomasse ; Burkina Faso ; Cameroun ; Changement climatique ; Congo ; Dépense énergétique ; Donnée climatique ; Donnée économique ; Effet de serre ; Électrification rurale ; Énergie solaire ; Éolien ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Généralité énergie renouvelable ; Energie hydraulique ; Impact environnemental ; indicateur ; Kenya ; Mali ; Nigéria ; Organisme ; Ouganda ; Politique énergétique ; Politique environnementale ; Sénégal ; Tanzanie

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- 238 p.
Cote CLER : GPIN0900
"Aujourd'hui, l'énergie est au coeur de l'actualité mondiale. Que ce soit en France, lors du Grenelle de l'environnement, dans les entreprises ou dans nos foyers, on ne parle que d'énergie. Les médias nous abreuvent d'informations sur le sujet pour nous inciter à faire des économies d'énergie et à développer le recours aux énergies renouvelables. Pourtant, les solutions proposées font encore débat pour savoir quelle énergie choisir : nucléaire ou éolienne ? Solaire ou biomasse ? et que signifie l'expression ""charbon propre""? Et pourquoi le prix du pétrole grimpe-t-il au point que l'on proclame qu'il n'y en aura bientôt plus ? Et si c'est le cas pourquoi donc dégringole-t-il ensuite ? ""Car l'urgence est là"" nous répètent les médias à cause, principalement, de l'augmentation des gaz à effet de serre qui menacent le système climatique et d'une économie mondiale dépendante de régions politiquement instables mais riches en pétrole et en gaz... comme le Moyen Orient, l'Afrique ou le Caucase. Que fait l'Europe dans tout cela ? Et tout ce gaz en Russie ! Difficile de s'y retrouver quand on n'est pas des spécialistes ! Tel est le constat dressé par l'auteur qui a pris le parti de nous aider à mieux comprendre les grands enjeux de l'énergie. En prenant volontairement le contre-pied du ""politiquement correct"", il nous propose avec pédagogie ses réponses à 101 questions-clés destinées à nous éclairer entièrement sur le sujet : La sécurité d'approvisionnement énergétique de l'Europe, la géopolitique de l'énergie, l'avenir du pétrole, les crises énergétiques, le développement durable... "[-]
"Aujourd'hui, l'énergie est au coeur de l'actualité mondiale. Que ce soit en France, lors du Grenelle de l'environnement, dans les entreprises ou dans nos foyers, on ne parle que d'énergie. Les médias nous abreuvent d'informations sur le sujet pour nous inciter à faire des économies d'énergie et à développer le recours aux énergies renouvelables. Pourtant, les solutions proposées font encore débat pour savoir quelle énergie choisir : nucléaire ...[+]

Algérie ; Allemagne ; Approvisionnement ; Australie ; Biocarburant ; Canada ; Changement climatique ; Charbon ; Chine ; Compagnie pétrolière ; Consommation d'énergie ; Définition ; Dépendance énergétique ; Développement durable ; Effet de serre ; Efficacité énergétique ; Énergie finale ; Énergie primaire ; États Unis ; Europe ; Région française administrative ; Gaz naturel ; Généralité énergie ; Généralité énergie renouvelable ; Hydrogène ; International ; Irak ; Iran ; Japon ; Libye ; Marché énergétique ; Moyen Orient ; Nigéria ; Norvège ; Nucléaire ; Perspective ; Pétrole ; Politique énergétique ; Prix du pétrole ; Production d'énergie ; Qatar ; Rentabilité ; Réserve / Ressource energétique ; Russie ; Sécurité ; Séquestration CO2 ; Transport de l'énergie ; Turquie ; Ukraine ; Uranium ; Vénézuela

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- 80 p.
Cote CLER : GPIN0706
Toutes les activités humaines, manger, boire, se vêtir, se protéger des intempéries, produire des biens et des services, voyager, se soigner, communiquer, etc. nécessitent de l'énergie : il n'y a pas de développement humain sans un accès minimum à l'énergie. La croissance démographique de l'humanité s'est accompagnée d'une croissance encore supérieure de sa consommation énergétique, cette dernière comportant des nuisances environnementales. Résoudre le dilemme entre développement et environnement est l'un des volets essentiels du développement durable. Les disparités formidables dans les consommations des diverses régions du monde et l'hétérogénéité dans la répartition des ressources énergétiques, notamment des hydrocarbures, font de notre Terre un monde instable. Où et comment consomme-t-on de l'énergie ? Quels efforts pour l'économiser ? Combien de temps avant que le roi pétrole ne perde sa couronne ? Qui dirige le jeu pétrolier : l'OPEP, les « Majors », les États pétroliers ? Assiste-t-on à un retour du charbon ? Si, oui, quelles conséquences sur le climat ? Le « pic gazier » est-il vraiment plus lointain que le « pic pétrolier ? ». Le développement de l'énergie nucléaire dans le monde : espoir ou menace ? Sera-t-il limitée par les ressources en uranium ? Quel potentiel pour les énergies renouvelables ? Pour quelles applications ? A quelle échéance ? Prend-on bien en compte tous les impacts environnementaux, économiques et sociétaux des différentes énergies ? À toutes ces questions, l'Atlas des énergies s'efforce d'apporter des réponses, en dressant, sous forme visuelle, synthétique et accessible un bilan géographique et technique des différentes sources d'énergie et en replaçant leur problématique dans un contexte de développement durable. Il répond aux interrogations du citoyen d'aujourd'hui.[-]
Toutes les activités humaines, manger, boire, se vêtir, se protéger des intempéries, produire des biens et des services, voyager, se soigner, communiquer, etc. nécessitent de l'énergie : il n'y a pas de développement humain sans un accès minimum à l'énergie. La croissance démographique de l'humanité s'est accompagnée d'une croissance encore supérieure de sa consommation énergétique, cette dernière comportant des nuisances environnementales. ...[+]

Allemagne ; Arabie Saoudite ; Barrage hydraulique ; Bibliographie ; Bilan énergétique ; Biomasse ; Canada ; Changement climatique ; Charbon ; Chiffre clé ; Chine ; Consommation d'énergie ; Coût externe ; Effet de serre ; Électricité renouvelable ; Énergie finale ; Énergie primaire ; Énergie solaire ; Energie utile ; Éolien ; États Unis ; Europe ; Exportation ; Région française administrative ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Gaz naturel ; Généralité énergie ; Généralité énergie renouvelable ; Energie hydraulique ; Importation ; Inde ; International ; Japon ; Nigéria ; Nucléaire ; Perspective ; Pétrole ; Potentiel de développement ; Producteur de bois ; Production d'électricité ; Rendement ; Réseau électrique ; Réserve / Ressource energétique ; Royaume Uni ; Russie ; Site Internet ; Solaire photovoltaïque ; Solaire thermique ; Transport ; Unite de conversion ; Uranium ; Analyse Cycle de Vie - ACV

Sélection