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Documents Compagnie pétrolière 41 résultats

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- n° 462 - p. 06 à p.07
La crise de 2008 est bien oubliée par les entreprises du secteur de l'énergie qui affichent de très bons résultats.

Entreprise ; Généralité énergie ; Compagnie pétrolière ; Pétrole ; Transport ; EDF ; Aspect économique ; Consommation d'énergie ; Production d'énergie ; Gaz naturel ; CSPE - Contribution Service PubliC Électricité ; Marché énergétique ; International

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- n° 474
Cote CLER : B1
"Afin de démontrer la faisabilité et l'efficacité environnementale, technique et économique de cette production de seconde génération, l'Ademe estime la nécessité de franchir l'étape de recherche et notamment de démonstrateurs. L'un deux se nomme ""Bio-T-Fuel"", un programme d'un coût global de 112 millions d'euros, dont le pétrolier Total est également partie prenante (cf brève du 09/10). Ce projet a été approuvé par le Conseil d'Administration de l'ADEME le 7 octobre et recevra une aide de 33 millions d'euros. Le projet Bio-T-Fuel s'appuie sur la production de bio-diesel liquide à partir de biomasse ligno-cellulosique (bois, paille, déchets…). Cette expérimentation devrait permettre de disposer d'éléments d'évaluation nécessaires pour juger de l'opportunité d'un déploiement de cette filière. Comme pour les biocarburants dits de première génération, une analyse de cycle de vie « du champ au réservoir » sera conduite dans le cadre de ce projet. Elle permettra d'analyser dans quelles conditions les biocarburants de cette filière peuvent contribuer à répondre aux défis environnementaux. L'intérêt des procédés de deuxième génération est de transformer la partie ligneuse de la plante (paille, bois, déchet) en énergie permettant de valoriser la partie de la plante qui n'est pas destinée à l'alimentation. D'autre part, ces biocarburants de deuxième génération permettraient de mobiliser des surfaces qui ne sont pas destinées à l'usage alimentaire. "[-]
"Afin de démontrer la faisabilité et l'efficacité environnementale, technique et économique de cette production de seconde génération, l'Ademe estime la nécessité de franchir l'étape de recherche et notamment de démonstrateurs. L'un deux se nomme ""Bio-T-Fuel"", un programme d'un coût global de 112 millions d'euros, dont le pétrolier Total est également partie prenante (cf brève du 09/10). Ce projet a été approuvé par le Conseil d'Administration ...[+]

Organisme ; Appel à projet ; Biocarburant ; Biodiesel ; Biomasse ligno-cellulosique ; Budget ; Compagnie pétrolière ; Coût de la recherche ; Expérimentation ; Région française administrative ; Recherche ; Analyse Cycle de Vie - ACV

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- n° 466
Cote CLER : B1
"Composée d'une quinzaine de chercheurs et doctorants, cette équipe de recherche baptisée ""NanoPV"" sera située sur le campus de l'Ecole Polytechnique au cœur du plateau de Saclay (91). Le Groupe Total va engager des fonds de l'ordre de 8 millions d'euros sur un premier cycle de quatre ans. Le programme scientifique portera sur le développement de technologies de couches minces de silicium ainsi que sur l'exploration de nouveaux concepts utilisant des nanofils de silicium. L'objectif principal de ces recherches est de diminuer le coût de l'énergie solaire afin d'en accélérer le déploiement. ""La création de cette équipe mixte de recherche constitue l'aboutissement de vingt ans de recherche dans le domaine de la synthèse plasma et de la caractérisation de couches minces et nanomatériaux pour les cellules solaires photovoltaïques. En effet, les recherches dans le domaine photovoltaïque ont été au cœur de l'activité du laboratoire sous la direction de Pere Roca. La collaboration avec l'un des leaders mondiaux du domaine de l'énergie, Total, ouvre des débouchés très prometteurs en termes d'applications pratiques des recherches effectuées au LPICM."" note Bernard Drévillon, directeur du LPICM. Total rappelle qu'il est présent dans le secteur de l'énergie solaire puisqu'il possède des participations au capital de 3 sociétés spécialistes du secteur : Photovoltech, Tenesol et Konarka."[-]
"Composée d'une quinzaine de chercheurs et doctorants, cette équipe de recherche baptisée ""NanoPV"" sera située sur le campus de l'Ecole Polytechnique au cœur du plateau de Saclay (91). Le Groupe Total va engager des fonds de l'ordre de 8 millions d'euros sur un premier cycle de quatre ans. Le programme scientifique portera sur le développement de technologies de couches minces de silicium ainsi que sur l'exploration de nouveaux concepts ...[+]

Compagnie pétrolière ; Couche mince ; Coût de production ; Établissement scolaire ; Fonds d'investissement ; Ile-de-France ; Laboratoire ; Recherche ; Silicium amorphe ; Solaire photovoltaïque

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- n° 432
Cote CLER : B1
L'accord de développement conjoint (JDA) signé par les deux entreprises prévoit le partage d'une plate-forme technologique et de capacités opérationnelles pour démontrer la viabilité commerciale à grande échelle d'un procédé de fermentation à partir de micro-organismes. Cette méthode est éprouvée par Martek depuis 20 ans, et utilisée dans d'autres domaines. La canne et sucre et ses déchets seront employés comme matière première. 10 millions de dollars seront investis par BP pour la phase initiale du projet. La compagnie britannique s'intéresse en parallèle à la production d'éthanol cellulosique, et de biobuthanol à partir de déchets agricoles. En revanche, le groupe britannique a renoncé, en juillet dernier, à tirer parti du jatropha en raison de la forte consommation d'eau de la plante.[-]
L'accord de développement conjoint (JDA) signé par les deux entreprises prévoit le partage d'une plate-forme technologique et de capacités opérationnelles pour démontrer la viabilité commerciale à grande échelle d'un procédé de fermentation à partir de micro-organismes. Cette méthode est éprouvée par Martek depuis 20 ans, et utilisée dans d'autres domaines. La canne et sucre et ses déchets seront employés comme matière première. 10 millions de ...[+]

Agrocarburant ; Angleterre ; Biocarburant ; Biomasse ligno-cellulosique ; Canne à sucre ; Compagnie pétrolière ; Déchet agricole ; États Unis ; Inconvénient ; Jatropha ; Projet

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- n° 286
Cote CLER : B2
KPMG a réalisé en octobre 2008 une étude sur la communication de 14 des plus importants groupes pétroliers mondiaux au sujet de leur diversification vers les énergies alternatives. Cette étude analyse leurs motivations, leurs stratégies et leurs modes de communications.

Campagne de communication ; Compagnie pétrolière ; Développement durable ; Généralité énergie renouvelable ; Perspective ; Projet

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- n° 100309
Cote CLER : B1
Total et GDF Suez seraient partenaires dans un projet d'implantation d'une usine de production de plaquettes photovoltaïques en Moselle. L'investissement s'élèverait à 70 millions d'euros. Ce projet initié par Total s'inscrit dans la volonté du pétrolier français de faciliter la restructuration de sa branche pétrochimique, en implantant cette usine sur l'un de ses sites touchés par cette restructuration. Total investira ainsi 70 millions d'euros à Carling en Moselle, en collaboration avec GDF Suez. Selon l'information révélée dans Les Echos, Carling abriterait donc une unité de production de plaquettes de silicium destinées à l'industrie photovoltaïque. Prévue pour être lancée dès 2010, cette nouvelle unité devrait employer 80 à 100 personnes. Total de plus en plus tournés vers le solaire : Cette initiative marque l'intérêt croissant du pétrolier français pour les sources d'énergie alternatives et plus particulièrement le solaire. Total dispose déjà en effet de deux sociétés dans le solaire, Photovoltech, filiale commune avec GDF Suez, spécialisée dans la fabrication de cellules solaires, et Tenesol avec EDF.[-]
Total et GDF Suez seraient partenaires dans un projet d'implantation d'une usine de production de plaquettes photovoltaïques en Moselle. L'investissement s'élèverait à 70 millions d'euros. Ce projet initié par Total s'inscrit dans la volonté du pétrolier français de faciliter la restructuration de sa branche pétrochimique, en implantant cette usine sur l'un de ses sites touchés par cette restructuration. Total investira ainsi 70 millions d'euros ...[+]

Cellule photovoltaïque ; Compagnie pétrolière ; Coût d'investissement ; Emploi ; Lorraine ; Projet ; Usine de fabrication/production

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- n° 398
Cote CLER : A4
Devant la part prépondérante des raffineries dans sa consommation globale d'énergie, Total a engagé un programme d'efficacité énergétique depuis plus de trois ans. L'utilisation d'indicateurs permet de cibler les actions à entreprendre. L'objectif est de réduire l'index d'intensité énergétique de 1% par an.

Bâtiment industriel ; Compagnie pétrolière ; Économie d'énergie ; Efficacité énergétique ; Industrie ; Intensité énergétique ; Programme d'action ; Raffinerie / Raffinage

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- n° 10506
Cote CLER : B5
http://www.tdg.ch/tghome/toute_l_info_test/enjeux/petrole__01_05_.html alain dupraz Publié le 01 mai 2006 Vitale pour l'économie, la production d'or noir est d'une rare opacité. Les Etats donnent des chiffres douteux sur leur production, et fantaisistes sur leurs réserves. Incursion dans un monde de tricheurs. Quoi de plus vital, pour l'économie, que le pétrole? Et pourtant, l'or noir est un marché des plus opaques. Cette fantastique source d'énergie, dont on commence seulement à apprécier la vraie valeur, est le lieu de gros mensonges. Explications. Il n'existe aucune statistique neutre sur la production et les réserves réelles de pétrole. L'OPEP a les siennes, les grandes compagnies productrices ont les leurs, d'autres associations, économiques ou politiques, ont leurs propres données, parfois très différentes. Conrad Gerber, patron de Petrologistic, l'un des meilleurs spécialistes du marché pétrolier, affirmait récemment sur l'antenne de la TSR: «Il y a beaucoup de tricheries dans les statistiques officielles» (mercredi 19 avril). L'homme sait de quoi il parle: il gagne sa vie en vendant des chiffres. Comment savoir Comment peut-on savoir ce que produit réellement une compagnie, un pays? Notamment en… observant les mouvements des bateaux. Ces grands tankers dont on connaît le tonnage, sillonnent les mers pour apporter leurs doses d'or noir aux consommateurs dépendants. Ces observations sont les plus fiables. Elles se vendent à prix d'or. En revanche, la production «officielle» de tel ou tel pays est souvent sujette à caution. C'est la raison pour laquelle nombre d'analystes se plantent systématiquement dans leurs prévisions. Exemple. A la fin 2005, les experts prévoyaient une chute des prix du baril en 2006 si l'OPEP ne réduisait pas sa production. Ainsi le CGES (Center for Global Energy Studies, en Grande-Bretagne) déclarait: «A moins que la croissance de la demande pétrolière ne rebondisse fortement en 2006, l'OPEP sera confrontée au besoin de réduire sa production afin de défendre les prix.» L'OPEP décidait fin janvier de ne pas changer sa production. Et celle-ci est aujourd'hui – selon ses déclarations – la même que l'automne passé, après les ravages de l'ouragan Katrina: environ 28 mbj (millions de barils par jour), soit un tiers des quelque 85 mbj de la consommation mondiale. Et le débat du moment au sein de l'OPEP serait plutôt d'augmenter cette production. Des «barils de papier» La difficulté à connaître le montant réel des réserves illustre mieux que tout le jeu de poker menteur des pays pétroliers. Avec, il y a vingt ans, un très gros mensonge... En 1985-86, en pleine chute des prix due au «contre-choc pétrolier», plusieurs membres de l'OPEP annonçaient coup sur coup détenir des réserves bien plus vastes que les estimations précédentes. En l'espace de quelques semaines, les Emirats arabes unis (EAU), puis le Koweït, bientôt suivi par l'Irak et l'Iran, annonçaient une augmentation subite, de l'ordre de 50% à 60%, de leurs réserves. L'Arabie saoudite, le plus gros producteur, suivit quelque temps plus tard: ses réserves passèrent du jour au lendemain de quelque 160 à environ 260 milliards de barils. Selon Jean-Luc Wingert (auteur de La vie après le pétrole, 2005, Editions Autrement), les compagnies ont été obligées d'accepter les nouveaux chiffres pour ne pas «froisser» les Etats producteurs. BP aurait même été obligé de détruire un rapport contredisant les nouveaux chiffres des EAU. Aujourd'hui, ces chiffres officiels de l'OPEP sont de plus en plus ouvertement contredits (voir ci-contre). Mais reste le pourquoi. Quelle explication fournir à un changement aussi subit et des données aussi fantaisistes? La réponse tient aux quotas. Pour réguler le marché, chaque pays membre est autorisé à produire un certain nombre de barils/jour. Cette quantité est fixée notamment par le montant des réserves. En 1986, les prix chutaient tellement que chaque membre a essayé d'augmenter ses entrées en gonflant ses réserves. Bien que sortis d'un tour de magie, ces nouveaux chiffres sont restés officiels jusqu'à ce jour. Et c'est ainsi que l'opinion publique mondiale dort depuis vingt ans avec l'illusion d'un flot abondant et, à vues humaines, illimité de pétrole. Enfin, rappelons que la notion de réserves varie considérablement selon les sources, ainsi que selon la qualité de pétrole. On parle ici de «réserves prouvées», là de «réserves probables», ailleurs encore de «réserves ultimes», etc. S'agissant de réservoirs enfouis dans la planète, on comprend qu'il n'est pas très aisé de prouver leur capacité exacte. D'où une grande «liberté» d'appréciation. Avec une question sans réponse: jusqu'à quand pourra-t-on compter sur le pétrole pour nous fournir de l'énergie? Le Koweït s'épuise Le 10 novembre, l'agence d'informations financières Blumberg rapportait une déclaration apparemment anodine du prési[-]
http://www.tdg.ch/tghome/toute_l_info_test/enjeux/petrole__01_05_.html alain dupraz Publié le 01 mai 2006 Vitale pour l'économie, la production d'or noir est d'une rare opacité. Les Etats donnent des chiffres douteux sur leur production, et fantaisistes sur leurs réserves. Incursion dans un monde de tricheurs. Quoi de plus vital, pour l'économie, que le pétrole? Et pourtant, l'or noir est un marché des plus opaques. Cette fantastique source ...[+]

Chiffre clé ; Compagnie pétrolière ; Pétrole ; Réserve / Ressource energétique

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- n° 247
Cote CLER : A1
La flambée des prix de l'or noir a fait exploser les recettes des pays pétroliers. Cette manne revient partiellement vers les pays importateurs sous form d'impotantations et de placements. Mais ses effets restent déstabilisateurs. Les circuits de l'argent du pétrole

Budget ; Chiffre d'Affaire ; Compagnie pétrolière ; Donnée économique ; Pétrole ; Prix du pétrole

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L'AGE DU SILICIUM | SYSTEMES SOLAIRES 1/03/06

Article

- n° 172
Cote CLER : C3
"Le photovoltaïque a beau être bridé par la quantité insuffisante de silicium disponible, sa montée en puissance est devenue irréversible. Après l'Allemagne et le Japon, la Californie, l'Italie et l'Espagne (voir p. 46) ont mis en place des aides inscrites dans la durée. Même la France, plutôt rétive à cette énergie, voit pour la première fois s'installer des systèmes de grande taille (voir p. 32). Les investissements, très importants, poussent le secteur à se restructurer, comme l'indique la vente des actifs Shell dans le silicium cristallin (voir p. 45). Les leaders historiques japonais et allemands voient déjà arriver une concurrence chinoise déterminée. Les productions de la Chine dépassent désormais celles des États-Unis (voir p. 51). Entretien avec michel viaud, secrétaire général de l'epia ; p.28 « L'industrie européenne Peut s'imposer » Interview de Michel Viaud, secrétaire général de l'Epia, l'Association européenne de l'industrie photovoltaïque. Le photovoltaïque en grandes surfaces ; p.32 Le plus grand site de production photovoltaïque français sera bientôt raccordé au réseau, à Sénart, en Seine-et- Marne (77). Intégrés à une membrane d'étanchéité, 10 000 m2 de capteurs en couche mince recouvrent le toit d'un bâtiment de logistique de la société Prologis. Une valorisation des grandes surfaces de toit qui prend une autre dimension à la lueur du nouveau tarif d'achat.     Le silicium amorphe seduit ; p.37 Affichant des rendements moindres que les modules de silicium cristallin, les modules de silicium amorphe sont souvent dédaignés. Pourtant, ils peuvent aisément être installés sur de grandes surfaces et transformer les toits en centrales photovoltaïques. En France, les projets se multiplient.     Le photovoltaïque en bref ; p.38       Shell divorce du cristallin ; p.45 Deuxième producteur mondial de cellules en 2003, Shell a annoncé la vente de son activité photovoltaïque cristalline en février dernier. Après une lente perte de puissance sur le secteur, ce retrait de Shell signifie moins un désaveu du photovoltaïque qu'un repli stratégique pour parier sur une autre technologie.       L'Espagne sur la bonne voie L'Espagne a réaffirmé en 2005 son engagement en faveur des énergies renouvelables. Mais si l'industrie espagnole du photovoltaïque connaît une forte croissance, le marché intérieur tarde à se développer. Notamment pour des raisons administratives...   Baromètre photovoltaïque : 1 793,5 MWc installés dans l'Union européenne ; p.51 Le marché européen a montré toute sa solidité en 2005. 645 MWc de photopiles ont été installés dans les pays de l'Union européenne contre 546 MWc en 2004 (+ 18,2 %). Cette croissance aurait pu être plus importante si le marché n'était actuellement pas bridé par un manque de matière première. L'Allemagne était toujours en 2005 le premier marché mondial du photovoltaïque, loin devant le Japon et les États-Unis, avec plus de 600 MWc installés. Cette réussite insolente a inspiré l'Espagne et l'Italie qui ont mis en place les conditions d'un développement rapide de leur filière photovoltaïque.  "[-]
"Le photovoltaïque a beau être bridé par la quantité insuffisante de silicium disponible, sa montée en puissance est devenue irréversible. Après l'Allemagne et le Japon, la Californie, l'Italie et l'Espagne (voir p. 46) ont mis en place des aides inscrites dans la durée. Même la France, plutôt rétive à cette énergie, voit pour la première fois s'installer des systèmes de grande taille (voir p. 32). Les investissements, très importants, poussent ...[+]

Allemagne ; Californie ; Chiffre clé ; CIS / Cuivre Indium Selenium ; Compagnie pétrolière ; Couche mince ; Espagne ; Europe ; Fabricant ; Région française administrative ; Grande puissance ; Ile-de-France ; Italie ; Japon ; Marché européen ; Marché mondial ; Module photovoltaïque ; Procédé de fabrication ; Puissance installée ; Réalisation ; Silicium ; Silicium amorphe ; Solaire photovoltaïque ; Usine de fabrication/production

Sélection