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Documents Biomasse ligno-cellulosique 20 résultats

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y
- n° 67 - p. 36 à p.49
Dans la recherche de ressources énergétiques renouvelables, la bioconversion en méthane de biomasses lignocellulosiques est l'une des alternatives les plus prometteuses. Toutefois, la sélection des ressources dépend non seulement de leur disponibilité mais également de leurs caractéristiques bio-physico-chimiques. Les résultats de cette étude indiquent donc que la prédiction du PBM nécessite d'identifier d'autres paramètres qui permettraient de prendre en considération des caractéristiques structurales de la biomasse lignocellulosique.[-]
Dans la recherche de ressources énergétiques renouvelables, la bioconversion en méthane de biomasses lignocellulosiques est l'une des alternatives les plus prometteuses. Toutefois, la sélection des ressources dépend non seulement de leur disponibilité mais également de leurs caractéristiques bio-physico-chimiques. Les résultats de cette étude indiquent donc que la prédiction du PBM nécessite d'identifier d'autres paramètres qui permettraient de ...[+]

Région française administrative ; CH4 / Méthane ; Méthanisation ; Biomasse ligno-cellulosique ; Bois ; Compostage ; Gazéification ; Noyau ; Paille / Roseau ; Valorisation des déchets

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y
- n° 23 - p.10 à p.15
Cote CLER : B
Depuis quelques années, la production de granulés de bois est en plein essor. De nombreux projets sont en cours de développement et nous devrions arriver rapidement à une production d'un million de tonnes sur le territoire français et à plus de 15 millions en Europe. En parallèle, le marché du granulé combustible dans l'industrie se développe : en effet il représentait 7 millions de tonnes en 2010 et devrait atteindre 11 millions de tonnes en 2015, dont une grosse partie est importée (Canada, USA...). Pour produire de telles quantités il va donc être nécessaire de trouver de nouvelles ressources, mais aussi adapter le granulé aux besoins du process industriel.[-]
Depuis quelques années, la production de granulés de bois est en plein essor. De nombreux projets sont en cours de développement et nous devrions arriver rapidement à une production d'un million de tonnes sur le territoire français et à plus de 15 millions en Europe. En parallèle, le marché du granulé combustible dans l'industrie se développe : en effet il représentait 7 millions de tonnes en 2010 et devrait atteindre 11 millions de tonnes en ...[+]

Bois énergie ; Granulé bois ; Biomasse ligno-cellulosique ; Chauffage bois ; Chauffage ; Humidification / Evaporation

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y
- n° 494 - p.27 à p.28
Pourrait-on atteindre les objectifs nationaux de production d'électricité à partir d'énergies renouvelables, notamment avec de la biomasse ligneuse, si la demande continue d'augmenter ? Serge Defaye (président du Cibe) éclaire la question de son analyse.

Production d'électricité ; Généralité énergie renouvelable ; Bois énergie ; Biomasse ligno-cellulosique ; Consommation d'électricité ; Consommation d'énergie ; Chaleur ; Scénario

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2y
- n° 90 - p.10 à p.10
Cote CLER : A3
Principalement constitués de cellulose, hémicellulose et lignine, les agrocombustibles détiennent, à teneur en humidité égale, un pouvoir calorifique comparable à celui du bois.

Biomasse ; Bois énergie ; Biomasse ligno-cellulosique ; #clerinfos

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- n° 17 - p.13 à p.14
Cote CLER : B
Cet agriculteur à Boussu en wallonie, chauffe son habitation de façon autonome à l'aide de sa propre production de miscanthhus.

Miscanthus ; Chauffage ; Agriculteur ; Exploitation agricole ; Belgique ; Généralité énergie renouvelable ; Chaudière ; Réseau de chaleur ; Biomasse ; Biomasse ligno-cellulosique ; Coopérative

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- n° 54 - p.21 à p.28
Cote CLER : A2
Les objectifs du Grenelle sont ambitieux et visent notamment à réduire la consommation nationale d'énergie finale de 167 Mtep en 2005 à 155 Mtep en 2020 (contre 196 Mtep dans le scénario tendanciel sans Grenelle environnement) et à atteindre le taux de 23% de renouvelables dans le bilan énergétique français.
En ce qui concerne la biomasse, la consommation finale devrait passer de 9 millions de tep par an en 2006 à 16,5 millions à l'horizon 2020. [-]
Les objectifs du Grenelle sont ambitieux et visent notamment à réduire la consommation nationale d'énergie finale de 167 Mtep en 2005 à 155 Mtep en 2020 (contre 196 Mtep dans le scénario tendanciel sans Grenelle environnement) et à atteindre le taux de 23% de renouvelables dans le bilan énergétique français.
En ce qui concerne la biomasse, la consommation finale devrait passer de 9 millions de tep par an en 2006 à 16,5 millions à l'horizon 2020. [+]

Grenelle de l'environnement ; Bois énergie ; Bois déchiqueté / Plaquette ; Bilan énergétique ; Consommation de bois ; Énergie finale ; Organisme ; Gisement forestier ; Exploitant Forestier ; Industrie ; Biomasse ligno-cellulosique ; Biomasse ; Aménagement du territoire ; Producteur de bois ; Production ; Région

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Le bioéthanol sort du bois | ENERGIE PLUS 15/11/2011

Article

- n° 475 - p.12 à p.13
Le projet Futurol qui vise à produire des biocarburants de seconde génération entre dans une nouvelle phase avec l'inauguration de son unité pilote. Pendant trois ans, les chercheurs pourront ainsi tester les technologies mises au point en laboratoire avant de passer à un prototype industriel.

Biocarburant ; Champagne Ardenne ; Recherche ; Matière première ; Miscanthus ; Bois ; Biomasse ; Biomasse ligno-cellulosique ; Betterave ; Carburant

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- n° 61109
Cote CLER : A2
Deinove, créée en 2006 par Truffle Capital, a annoncé aujourd'hui avoir obtenu un financement de 6 millions d'euros d'Oséo dans le cadre du programme ISI (innovation stratégique industrielle) pour réaliser un projet baptisé Deinol. Le programme soutient le projet à hauteur de 8,9 millions d'euros sur un total de 21,4 millions d'investissements puisque s'ajoute l'aide accordée à ses trois partenaires : un industriel leader de la production d'éthanol en Europe, ainsi que deux partenaires académiques, le CPBS (CNRS- Université de Montpellier 1) et le LISBP (INSA Toulouse/CNRS/INRA). Deinol a l'objectif, d'ici à 2014, ''d'ouvrir la voie à la production d'éthanol ligno- cellulosique (éthanol de 2ème génération) dans les installations industrielles existantes et sans investissements majeurs et se base sur l'exploitation des propriétés de résistance, de digestion de la biomasse et de fermentation des bactéries du genre Deinococcus'', précise la jeune entreprise dans un communiqué. Les technologies dites de première génération pour la production de bioéthanol concernent essentiellement l'exploitation de céréales (blé, maïs) et de cultures sucrières (canne à sucre, betterave) dans des conditions où le sucre à fermenter est accessible directement ou sous forme d'amidon. Les technologies de deuxième génération impliquent des transformations opérées par des biocatalyseurs plus performants, plus polyvalents, et s'appuient sur l'exploitation d'une gamme de ressources en biomasse étendue à la plante entière, à des cultures dédiées, à la sylviculture et aux déchets.[-]
Deinove, créée en 2006 par Truffle Capital, a annoncé aujourd'hui avoir obtenu un financement de 6 millions d'euros d'Oséo dans le cadre du programme ISI (innovation stratégique industrielle) pour réaliser un projet baptisé Deinol. Le programme soutient le projet à hauteur de 8,9 millions d'euros sur un total de 21,4 millions d'investissements puisque s'ajoute l'aide accordée à ses trois partenaires : un industriel leader de la production ...[+]

Biocarburant ; Biomasse ligno-cellulosique ; Culture énergétique ; Déchet ; Éthanol ; Financement ; Programme de développement ; Projet ; Recherche

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- n° 474
Cote CLER : B1
"Afin de démontrer la faisabilité et l'efficacité environnementale, technique et économique de cette production de seconde génération, l'Ademe estime la nécessité de franchir l'étape de recherche et notamment de démonstrateurs. L'un deux se nomme ""Bio-T-Fuel"", un programme d'un coût global de 112 millions d'euros, dont le pétrolier Total est également partie prenante (cf brève du 09/10). Ce projet a été approuvé par le Conseil d'Administration de l'ADEME le 7 octobre et recevra une aide de 33 millions d'euros. Le projet Bio-T-Fuel s'appuie sur la production de bio-diesel liquide à partir de biomasse ligno-cellulosique (bois, paille, déchets…). Cette expérimentation devrait permettre de disposer d'éléments d'évaluation nécessaires pour juger de l'opportunité d'un déploiement de cette filière. Comme pour les biocarburants dits de première génération, une analyse de cycle de vie « du champ au réservoir » sera conduite dans le cadre de ce projet. Elle permettra d'analyser dans quelles conditions les biocarburants de cette filière peuvent contribuer à répondre aux défis environnementaux. L'intérêt des procédés de deuxième génération est de transformer la partie ligneuse de la plante (paille, bois, déchet) en énergie permettant de valoriser la partie de la plante qui n'est pas destinée à l'alimentation. D'autre part, ces biocarburants de deuxième génération permettraient de mobiliser des surfaces qui ne sont pas destinées à l'usage alimentaire. "[-]
"Afin de démontrer la faisabilité et l'efficacité environnementale, technique et économique de cette production de seconde génération, l'Ademe estime la nécessité de franchir l'étape de recherche et notamment de démonstrateurs. L'un deux se nomme ""Bio-T-Fuel"", un programme d'un coût global de 112 millions d'euros, dont le pétrolier Total est également partie prenante (cf brève du 09/10). Ce projet a été approuvé par le Conseil d'Administration ...[+]

Organisme ; Appel à projet ; Biocarburant ; Biodiesel ; Biomasse ligno-cellulosique ; Budget ; Compagnie pétrolière ; Coût de la recherche ; Expérimentation ; Région française administrative ; Recherche ; Analyse Cycle de Vie - ACV

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- n° 640
Cote CLER : B4
La décision inquiète les associations écologistes, alors que l'expertise de l'ADEME sur le bilan énergétique des biocarburants de première génération n'est toujours pas parue. FNE demande un gel de tout développement industriel des agrocarburants, qu'ils soient de première ou de deuxième génération, tant que leur intérêt environnemental et énergétique n'aura pas été démontré. L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) devrait financer en partie les projets de production de biocarburant de seconde génération (à partir de la plante entière) GAYA et BioTFuel, validés en juin dernier par son Comité de pilotage. Porté par GDF SUEZ, GAYA a pour objectif de démontrer à l'échelle pré-industrielle la validité technique, économique, environnementale et sociétale de la filière de production des biocarburants gazeux par voie thermochimique. Le projet prévoit de construire et d'exploiter pendant 7 ans une chaîne complète de démonstrateurs. Labellisé par le pôle de compétitivité TENERRDIS, le dossier réunit des organismes de recherche (LGC, LSGC, RAPSODEE, UCCS), des centres techniques (CEA, CIRAD, CTP, FCBA), un exploitant de la filière ressource (UCFF) et des industriels (GDF SUEZ, Repotec). Le deuxième projet, BioTFuel, est porté par un consortium réunit autour de SOFIPROTEOL, du CEA, de l'IFP, d'Axens, de Total et d'un partenaire gazéifieur. Objectif : mettre au point une licence de procédés pour une valorisation par voie thermochimique de biomasse d'origine lignocellulosique et de charges fossiles (par ajout de charbon), pour l'obtention de biocarburants de type biogazole et biokérozène. Le procédé prendra en compte l'ensemble de la chaîne de gazéification de la biomasse : préparation et trituration de la biomasse, torréfaction, gazéification, train d'épuration des gaz, synthèse Fisher Tropsch (FT). Le démonstrateur sera réalisé à une échelle encore éloignée d'une infrastructure industrielle, mais devrait permettre de lever les verrous technologiques afin de développer des licences pour des unités de production capable à terme de produire 200 000 à 300 000 litres de biocarburant par an. Les écologistes inquiets : La production de biokérozène intéresse tout particulièrement les compagnies aériennes, montrés du doigt comme l'un des principaux responsables de la pollution dans le secteur des transports. Il pourrait se substituer, au moins partiellement, au kérosène. Plusieurs vols d'essais ont déjà eu lieu en 2008 et 2009 pour tester la formule sur des avions de type Boeing avec Air New Zealand, Continental Airlines et Japan Airlines. À chaque fois, les mélanges se sont comportés sans altérer le fonctionnement des moteurs. Reste à connaître les avantages objectifs des biocarburants sur l'environnement. L'expertise attendue de l'ADEME sur le bilan énergétique des agrocarburants de première génération se fait toujours désirer. Repoussée plusieurs fois, la remise des résultats devrait se faire courant octobre. Mais les associations de défense de l'environnement s'inquiètent déjà d'un développement à grande échelle qui ne serait pas sans conséquence sur l'agriculture. Selon Jean-Claude Bévillard, responsable des questions agricoles à FNE, « il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs !. Avant tout développement industriel des agrocaburants – qui, au passage, n'ont rien de « bio » - une expertise sur leur bilan énergétique, climatique, environnemental (eau, sol, biodiversité) et sanitaire est indispensable ». Pour France Nature environnement, « la vocation première de l'agriculture est de nourrir sainement les hommes, pas de d'alimenter les moteurs de nos voitures ! ».[-]
La décision inquiète les associations écologistes, alors que l'expertise de l'ADEME sur le bilan énergétique des biocarburants de première génération n'est toujours pas parue. FNE demande un gel de tout développement industriel des agrocarburants, qu'ils soient de première ou de deuxième génération, tant que leur intérêt environnemental et énergétique n'aura pas été démontré. L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) ...[+]

Organisme ; Biocarburant ; Biogaz ; Biomasse ligno-cellulosique ; Financement ; Pôle de compétences / pôle de compétitivité ; Projet

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