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y
- n° 26 - p.20 à p.27
Cote CLER : B
Cet atlas présente les installations de production d'électricité à partir de biomasses solides et de déchets ménagers, avec ou sans cogénération, dans la Francophonie.

Bois énergie ; Déchet ménager ; Biomasse ; Cartographie / Atlas ; Région française administrative ; Belgique ; Afrique ; Principauté de Monaco ; Canada ; Luxembourg ; Bénin ; Burkina Faso ; Cameroun ; Congo ; Maroc ; Tunisie ; Sénégal ; Ile Maurice

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y
- n° 19 - p.30 à p.31
Cote CLER : B
Le Cameroun, comme la plupart des pays sensibilisés aux méfaits des émissions de gaz à effet de serre sur l'environnement, s'intéresse de plus en plus aux énergies dites" renouvelables" ou "alternatives". c'est le cas du biogaz qui est produit à partir des matières organiques végétales ou animales. Il est utilisé au Cameroun depuis plus de deux décennies mais reste très faiblement vulgarisé. Les initiatives en faveur de cette source d'énergie sont peu nombreuses et restent limitées aux zones pastorales et agricoles. [-]
Le Cameroun, comme la plupart des pays sensibilisés aux méfaits des émissions de gaz à effet de serre sur l'environnement, s'intéresse de plus en plus aux énergies dites" renouvelables" ou "alternatives". c'est le cas du biogaz qui est produit à partir des matières organiques végétales ou animales. Il est utilisé au Cameroun depuis plus de deux décennies mais reste très faiblement vulgarisé. Les initiatives en faveur de cette source d'énergie ...[+]

Cameroun ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Biogaz ; Digesteur / Méthaniseur

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- n° 2
Cote CLER : B
Le Cameroun est le troisième pays africain après le Congo-Kinshasa et le Gabon de par l'importance de sa ressource forestière qui couvre plus de 55% de sa superficie totale.

Bois énergie ; Cameroun ; Gisement forestier ; Granulé bois ; Potentiel de développement ; Sciure de bois

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- n° 220506
Cote CLER : B5
"http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3228,36-774108@51-769044,0.html LE MONDE | 20.05.06 | 15h18  •  Mis à jour le 20.05.06 | 15h18 Dans la nuit d'Afrique, des lampadaires éclairent la rue d'une ville grâce à l'énergie solaire accumulée pendant la journée. Chacun d'eux est équipé d'une borne qui fournit un accès à l'Internet sans fil et permet de recharger les téléphones portables. Ces pylônes sont reliés par ondes radio, grâce à des antennes, à un centre de contrôle qui surveille leur fonctionnement. Tel est le coeur du projet StarSight imaginé par deux jeunes Français, Yannick Gaillac et Christopher Huchon - cofondateurs à Londres de Kolam Partnership - et mis au point, à Singapour, par la société Nex-G Systems. Le concept repose sur l'usage de l'Internet sans fil, sous ses deux formes Wi-Fi ou Wimax. Selon ses concepteurs, les avantages sont multiples. Cet éclairage public utilise une énergie propre et accessible aux vendeurs de rue, gros consommateurs de lampes à pétrole. L'installation ne nécessite plus de câblages souterrains ni de fibres optiques et permet d'avoir de l'éclairage public dans des lieux éloignés qui ne sont pas reliés, faute de moyen, aux réseaux. Elle offre une solution immédiate aux usagers de téléphones portables qui peuvent recharger leurs batteries sous le pylône s'ils n'ont pas l'électricité à domicile. Enfin, l'éclairage public apporte évidemment une meilleure sécurité dans la cité. Les concepteurs de StarSight ont aussi une ambition éducative. ""Cela peut être un outil efficace contre l'illettrisme"", explique Yannick Gaillac, qui explique que le réseau des pylônes pourrait être jalonné de cafés Internet où l'on pourrait diffuser différents types de formations. StarSight bénéficie de plusieurs soutiens officiels au Royaume-Uni. Les premiers pylônes seront construits à Douala, le grand port du Cameroun, à partir du mois d'octobre. Des ""accords de partenariat"" sont en cours de discussion au Koweït, en Jordanie et au Qatar à l'occasion des prochains jeux du Moyen-Orient. D'autres pays ont déjà manifesté leur intérêt, comme l'Espagne, la Chine et le Nigeria. En Europe, l'Ecosse inaugurera StarSight sur le campus de l'université de Dundee : faute d'un soleil généreux, les lampadaires utiliseront, en appoint, l'énergie éolienne. En attendant l'implantation du système - en cours de négociation - dans une ville de la Seine-Saint-Denis. Jean-Pierre Langellier (à Londres) Article paru dans l'édition du 21.05.06   Note : je fais part de la réaction d'un lecteur :   DANIEL C. : Quelque chose m'inquiète dans cette description idyllique: sans batterie (non mentionnée), aucune électricité ne peut être restituée la nuit (le but premier d'un lampadaire est d'éclairer!). Or, l'énergie à accumuler pour fournir 300W pendant 13 heures, c'est presque 4kWh, soit l'équivalent de plusieurs batteries d'automobile. De plus, il faut gérer et entretenir toutes ces batteries...et les recycler. A moins de se contenter d'un simple lumignon, la note risque d'être salée...   Une partie de la réponse est peut-être dans l'article de la BBC (ci-dessous ) : ""The lamppost will use light-emitting diode (LED) technology to provide bright light using low power derived from solar cells, which use daylight to recharge even in overcast weather.""   Voir aussi :   http://www.atelier.fr/inventions/lampadaire,solaire,wi-fi,pays,emergents-30912-7.html   http://www.starsightproject.com/en/africa/index.php   http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/scotland/4579718.stm "[-]
"http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3228,36-774108@51-769044,0.html LE MONDE | 20.05.06 | 15h18  •  Mis à jour le 20.05.06 | 15h18 Dans la nuit d'Afrique, des lampadaires éclairent la rue d'une ville grâce à l'énergie solaire accumulée pendant la journée. Chacun d'eux est équipé d'une borne qui fournit un accès à l'Internet sans fil et permet de recharger les téléphones portables. Ces pylônes sont reliés par ondes radio, grâce à des ...[+]

Appareil Portable ; Cameroun ; Chargeur solaire ; Éclairage public ; Lampe solaire ; LED / Diode

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- n° 91104
Cote CLER : B5
http://www.acrest.org/ Les populations du village Bangang bénéficient désormais de l'électricité produite sur place, grâce à une Ong. Bénéficier de l'énergie électrique sans être connecté au réseau Aes Sonel et sans faire appel aux services d'un groupe électrogène, tel est le bonheur que connaissent désormais les populations du quartier Thuelekouet dans le village Bangang. C'est sur l'initiative du Centre africain des technologies appropriées et des énergie renouvelables, plus connu sous son sigle anglais Acrest (African center for renewable energie and sustainable technology), avec pour promoteur le Dr Vincent Kitio, fils de ce village et conseiller technique auprès de Onu-Habitat à Nairobi. Sur une rivière qui traverse le quartier, un petit barrage a été construit dont la retenue d'eau fait tourner un moulin à eau. A l'aide d'un système de poulies reliées entre elles par des courroies de transmission avec effet multiplicateur, on obtient sur un alternateur une tension électrique déjà utilisable dans les ménages, selon les explications de Abraham Ntsangue, professeur de construction mécanique au lycée technique de Mbouda. Mais avant d'y arriver, l'énergie produite par le moulin sert au passage à faire tourner le moulin à écraser le maïs, très utile aux femmes du village qui accourent ici pour moudre le maïs gratuitement. Le phénomène attire déjà des curieux des villages avoisinants qui viennent pour s'assurer que ce qu'on leur raconte est vrai, comme cet homme venu de Foto par Dschang pour voir de lui-même. “ Je suis très content de vivre cela ici, écraser mon mais et voir comment les ampoules brillent sans la Sonel. Vraiment il faut que l'on vienne aussi vite faire cela chez nous, parce qu'avec la Sonel on paye trop cher et ils coupent le courant tout le temps. ” Risques mesurés La réalisation du projet s'appuie uniquement sur la main d'œuvre locale. Outre le professeur de construction mécanique du lycée technique de Mbouda qui supervise les travaux sur le plan technique, toutes les constructions ont été faites localement, en faisant appel au soudeur et au maçon du village. Tous ceux-ci ont désormais le sentiment d'être utiles, et c'est là l'un des objectifs de Acrest, comme l'explique Elvis Tangwa Sa'a, secrétaire général de Knowledge for all (Kfa), une Ong chargée de faciliter la communication et la promotion de Acrest : “ L'énergie de Aes est chère et contraignante, et la contribution locale est faible. Il n'y a pas moyen de se développer en s'appuyant sur autrui. Avec cette energie produite localement on est totalement indépendant, la population se sent concernée. Nous voulons promouvoir un développement appuyé sur nos ressources. ” En plus, la production de cette énergie ne gêne personne, ne produit aucun gaz toxique pour l'environnement et est enfin renouvelable à souhait, car sur ce même cours d'eau on peut multiplier autant de moulin que l'on veut sans que l'un ne fasse obstacle à l'autre, toujours selon les promoteurs. Juste une vision communautaire Quoique Acrest soit une initiative privée, le promoteur n'entend pas s'approprier le projet et en faire une entreprise commerciale. Quant à savoir comment se fera le transport et la distribution de cette energie, Elvis Tangwa Sa'a explique qu'elle se fera sous forme de gestion communautaire, “ car l'accès à l'énergie doit être la chose la plus ordinaire. ”A les en croire, le but principal est celui de démontrer qu'il est possible de lutter contre la pauvreté avec des idées novatrices et à la portée de tous. “ La lutte contre la pauvreté dans les Bamboutos est l'affaire de tout le monde : femmes et hommes d'affaires, élites, filles et fils ainsi que les Camerounais de la diaspora. ” Acrest voudrait démonter qu'il est possible, avec peu de moyens, de créativité et de bonne volonté de développer nos villages sans toujours attendre tout de l'extérieur. Le grand souhait ici est l'appropriation de cette initiative par les communautés locales. La vision du promoteur est de voir d'ici 3 ans plus de 100 moulins à eau dans les Bamboutos fonctionner à des coûts très bas. Acrest veut démontrer aux élites du département qu'elles peuvent gagner en investissant dans ce secteur qui a un énorme potentiel, au lieu de gaspiller des milliards à l'occasion pour s'offrir un poste de maire ou de député à l'Assemblée nationale.  _____[-]
http://www.acrest.org/ Les populations du village Bangang bénéficient désormais de l'électricité produite sur place, grâce à une Ong. Bénéficier de l'énergie électrique sans être connecté au réseau Aes Sonel et sans faire appel aux services d'un groupe électrogène, tel est le bonheur que connaissent désormais les populations du quartier Thuelekouet dans le village Bangang. C'est sur l'initiative du Centre africain des technologies appropriées et ...[+]

Afrique ; Cameroun ; Moulin à eau ; Production d'électricité

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y
- 80 p.
Cote CLER : EN LIGNE
EN LIGNE
Ce document présente une méthode d'évaluation des impacts du changement climatique sur les systèmes énergétiques, catalogue les impacts prévisibles sur les principaux systèmes et détaille les mesures d'adaptation possibles.Il présente également les analyses faites dans dix pays de l'Afrique subsaharienne en utilisant cette méthodologie. Pays étudiés : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Kenya, Mali, Nigeria, Ouganda, République Démocratique du Congo, Sénégal et Tanzanie. Les politiques énergétiques actuelles des pays industrialisés sont essentiellement déterminées par la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre.Toutefois,les mesures adoptées dans le cadre du Protocole de Kyoto en vue de modérer les effets sur le climat de la production d'énergie n'ont pas réussi à prendre en compte les conséquences pleines et entières d'une variabilité climatique de plus en plus importante, notamment les inondations, les sécheresses saisonnières, la multiplication des tempêtes,les glissements de terrain,les vents aux vitesses extrêmes,les conditions glaciaires et les vagues de chaleur. Il est donc nécessaire et urgent de mettre en œuvre des efforts d'adaptation, et ce, non seulement dans des régions géographiquement vulnérables comme le Bangladesh,l'Afrique centrale ou le Tuvalu,mais également,compte tenu de la nature planétaire du changement climatique,partout dans le monde. En comparaison avec les mesures d'atténuation, pour lesquelles il est devenu habituel de parler en termes de «réduction de tonnes d'équivalent CO2»,l'identification des mesures d'adaptation en est encore à ses balbutiements. Il n'existe pas aujourd'hui de paramètres et d'indicateurs communément acceptés permettant de comparer les besoins d'adaptation et l'efficacité des mesures d'adaptation. Compte tenu de l'importance de l'énergie pour l'économie et les efforts de développement de tous les pays,il est vital de parvenir à réduire de façon substantielle les vulnérabilités du secteur énergétique lui-même.Les mesures d'adaptation suggérées doivent également favoriser les objectifs de l'écodéveloppement si l'on souhaite pouvoir les réaliser conjointement avec les Objectifs de développement du millénaire (ODM), c'est pourquoi il convient d'élaborer et de tester des critères et des indicateurs pour les systèmes énergétiques — c'est-à-dire une métrique— en vue d'évaluer l'adéquation des mesures proposées. Ce rapport explicite les raisons pour lesquelles une métrique de la vulnérabilité et de la résilience des systèmes énergétiques est nécessaire, et suggère une méthodologie pour la développer. Il synthétise les incidences prévisibles du changement climatique sur les principaux systèmes énergétiques, et met en exergue les mesures d'adaptation possibles. Il présente également les observations et les analyses résultant d'études ayant effectivement mis en œuvre la métrique développée,réalisées récemment dans dix pays de l'Afrique subsaharienne.Le rapport se conclut par une série de recommandations visant le renforcement de la résilience des systèmes énergétiques.[-]
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Ce document présente une méthode d'évaluation des impacts du changement climatique sur les systèmes énergétiques, catalogue les impacts prévisibles sur les principaux systèmes et détaille les mesures d'adaptation possibles.Il présente également les analyses faites dans dix pays de l'Afrique subsaharienne en utilisant cette méthodologie. Pays étudiés : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Kenya, Mali, Nigeria, Ouganda, République Démocratique ...[+]

Bénin ; Biomasse ; Burkina Faso ; Cameroun ; Changement climatique ; Congo ; Dépense énergétique ; Donnée climatique ; Donnée économique ; Effet de serre ; Électrification rurale ; Énergie solaire ; Éolien ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Généralité énergie renouvelable ; Energie hydraulique ; Impact environnemental ; indicateur ; Kenya ; Mali ; Nigéria ; Organisme ; Ouganda ; Politique énergétique ; Politique environnementale ; Sénégal ; Tanzanie

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