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Documents Sénégal 23 résultats

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y
- n° 26 - p.20 à p.27
Cote CLER : B
Cet atlas présente les installations de production d'électricité à partir de biomasses solides et de déchets ménagers, avec ou sans cogénération, dans la Francophonie.

Bois énergie ; Déchet ménager ; Biomasse ; Cartographie / Atlas ; Région française administrative ; Belgique ; Afrique ; Principauté de Monaco ; Canada ; Luxembourg ; Bénin ; Burkina Faso ; Cameroun ; Congo ; Maroc ; Tunisie ; Sénégal ; Ile Maurice

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- n° 172
Cote CLER : A1
À l'heure des grands défis énergétiques, l'Afrique s'interroge - comme tous les autres continents - sur la place à donner aux biocarburants. Actuellement, 1% de la production mondiale de carburants végétaux est d'origine africaine. Les projets en cours sur le continent noir font principalement appel au jatropha, à l'huile de palme et à la canne à sucre, et ce, le plus souvent à des fins de consommation locale. Mais quelques investisseurs étrangers viennent frapper à la porte.[-]
À l'heure des grands défis énergétiques, l'Afrique s'interroge - comme tous les autres continents - sur la place à donner aux biocarburants. Actuellement, 1% de la production mondiale de carburants végétaux est d'origine africaine. Les projets en cours sur le continent noir font principalement appel au jatropha, à l'huile de palme et à la canne à sucre, et ce, le plus souvent à des fins de consommation locale. Mais quelques investisseurs ...[+]

Afrique ; Afrique du Sud ; Biocarburant ; Canne à sucre ; Côte d'Ivoire ; Ghana ; Huile végétale ; Jatropha ; Madagascar ; Mali ; Mozambique ; Nigéria ; Sénégal ; Tanzanie

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- n° 398
Cote CLER : A4
Un ingénieur belge a mis au point un combustible à base de coques de noix de cajou et d'argile. La première unité de production a été installée dans un village sénégalais, Ndem.

Appareil de cuisson ; Biomasse ; Combustible ; Expérimentation ; Olive / noix ; Sénégal

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- n° 392
Cote CLER : A4
Avec un taux de croissance de 5% en 2006, le Sénégal voit sa demande énergétique s'accroître dans un contexte initial fragile. La tâche est énorme. Mais le pays affiche sa volonté de recourir au maximum aux énergies renouvelables et de moins dépendre des énergies fossiles.

Biocarburant ; Biomasse ; Demande en énergie ; Généralité énergie renouvelable ; Politique énergétique ; Réserve / Ressource energétique ; Sénégal

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- n° 61006
Cote CLER : B5
Sénégal Energie renouvelable : les promoteurs de la centrale solaire interpellent les décideurs http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=17204 Initiée en 2005 par la Société de capitalisation des ressources en énergies renouvelables en Afrique, (Carera), et le Conseil régional de Ziguinchor, le projet d'implantation d'une centrale solaire dans la partie Sud du pays bute encore sur des lenteurs administratives dans le cadre de sa mise en œuvre. Les techniciens de Carera qui ont déjà effectué plusieurs missions chez des partenaires en Allemagne, pour la réalisation de cet important projet qui peut jouer un rôle moteur dans la reconstruction de la Casamance, en appellent à beaucoup plus d'enthousiasme des décideurs du côté du Sénégal pour sa concrétisation en 2007. Initié pour améliorer la production énergétique en Casamance à travers le solaire, le projet de la centrale solaire, prévu en 2007, tarde encore à se matérialiser. En effet, en dépit de l'enthousiasme affiché par les partenaires allemands, et la volonté politique affichée par le ministère de l'Energie et des mines du Sénégal, et du conseil régional de Ziguinchor, le projet rencontre encore de réelles difficultés dans sa réalisation. Création d'une centrale à Ziguinchor Depuis près d'un an, le dossier bute sur des lenteurs qui freinent son évolution au détriment des attentes exprimées par les populations de la Casamance depuis l'annonce de la création de cette centrale solaire d'une capacité de 7,3 méga/watts, pour un coût estimé à 36 millions d'Euros. Pourtant, selon, le directeur du consortium allemand Carera, spécialisé en énergie renouvelable et partenaire du conseil régional de Ziguinchor dans le projet, M. Ananie Bizimana, les Allemands et les banques locales (en Barrière) ont déjà exprimé leur volonté d'appuyer le Sénégal dans la création de cette centrale au niveau de la région de Ziguinchor. D'ailleurs, à en croire le directeur de Carera, en séjour à Ziguinchor, les partenaires allemands du projet ont eu l'honneur de discuter avec le chef de l'État du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, à l'occasion de son récent voyage en Allemagne, en septembre dernier. Les études sont déjà bouclées sur le terrain en Casamance et d'ailleurs les présidents de Conseils ruraux des localités ciblées pour accueillir le projet ont déjà affecté des sites pouvant recevoir le projet. Il s'agit des communautés rurales de Niaguis, Tenghory et le village de Kataba dans l'arrondissement de Diouloulou. Ces localités retenues pour le moment par les initiateurs du projet sont non seulement traversées par les lignes de la SENELEC pour un éventuel transport de la production par ladite société dans le cadre d'un partenariat avec la future société des énergies renouvelables en Casamance mais aussi également elles débouchent toutes sur d'importants axes routiers au niveau régional. Dans les prévisions de la société de capitalisation des ressources en énergies renouvelables en Afrique (Carera), on note également la création d'une seconde centrale solaire hybride à Kolda avec la biomasse. Autant de concepts qui attendent toujours beaucoup plus de volonté politique et d'enthousiasme de la part des décideurs de la région et du Sénégal mais aussi des privés et des banques locales afin que le projet comme prévu par les partenaires allemands de la Bavière puisse amorcer un début d'exécution d'ici à 2007. Selon, le conseiller technique N 1 du président du conseil régional de Ziguinchor, M. Chérif Coly, le projet nécessite davantage de vulgarisation au niveau de la masse. Il n'a pas manqué de saluer l'enthousiasme affiché par le ministre de l'Energie et des mines, Me Madické Niang et son nouveau conseiller en la matière, M. Alassane Niane sur la question. Il souhaite tout de même que le Sénégal suit le pas des partenaires allemands dans la matérialisation de ce rêve en Casamance en appuyant davantage le projet par une réelle volonté politique. Il a également souligné l'enthousiasme noté du côté du Conseil régional de Ziguinchor et de l'Agence nationale pour la reconstruction de la Casamance (Anrac), pour la concrétisation de ce projet, le premier du genre en Afrique au Sud du Sahara. M. Coly estime qu'on ne peut pas parler de reconstruction de la Casamance sans tenir compte du rôle capital que l'énergie doit jouer dans le processus. Les initiateurs souhaiteraient que l'Etat engage également des discussions avec la SENELEC pour envisager des approches dans le cadre d'un partenariat avec la nouvelle société Germano-sénégalaise qui aura en charge de conduire le projet et de sensibiliser les banques de la place et les privés dans la mobilisation du capital.[-]
Sénégal Energie renouvelable : les promoteurs de la centrale solaire interpellent les décideurs http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=17204 Initiée en 2005 par la Société de capitalisation des ressources en énergies renouvelables en Afrique, (Carera), et le Conseil régional de Ziguinchor, le projet d'implantation d'une centrale solaire dans la partie Sud du pays bute encore sur des lenteurs administratives dans le cadre de sa mise en ...[+]

Allemagne ; Centrale biomasse ; Centrale solaire ; Partenariat ; Projet ; Sénégal

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- n° 270706
Cote CLER : B5
"Sénégal : Pompage éolien    Le Groupement d'Intérêt Economique (GIE) “Vent Eau pour la Vie” (VEV), basé à Thiès à 70 Km de Dakar, à travers son programme de pompage éolien' constitue à la fois :   1 un exemple de transfert de technologie Nord-Sud (l'appropriation locale de la technologie par le groupement VEV) 2 une preuve d'utilisation des Technologies d'Energies Renouvelables (TERs) dans la lutte contre la pauvreté (puisque cela contribue à la sécurité alimentaire, à la création de richesse au profit des femmes rurales - développement d'activités maraîchères, vente de l'eau...- et à l'atténuation de la corvée physique des femmes rurales); 3 une amélioration de la disponibilité de l'eau pour engager des actions de reforestation.   L'expérience sur les éoliennes menée aujourd'hui par VEV est héritée du projet “petits miracles à partir de petits projets” initié au début des années 80 par l'Association Italienne de Volontariat International (Lay Volunteers International Association — LVIA).   Dès le démarrage, la LVIA s'est inscrite dans une logique d'appropriation loca!e de la technologie en développant un savoir faire local susceptible d'assurer l'installation et la maintenance. Ainsi, le personnel sénégalais recruté a été formé pour tout de suite s'impliquer dans le processus de fabrication et d'installation des équipements dans les villages. Après 12 ans d'opération, elle se retira pour laisser ses travailleurs sénégalais poursuivre l'activité au sein de VEV.   Sur les 150 équipements installés qui constituent le parc potentiel de VEV au Sénégal entre 1980 et 2000, 110 continuent de fonctionner soit un taux d'opérationnalité d'environ 75%.   L'équipement est une éolienne multi-pales composée de pylônes de hauteur de 12 à 16m et des roues de 5 m à 6 m de diamètre pouvant pomper l'eau à des profondeurs allant de 5 à 100 m avec des débits variant de 950 à 9.000 litres par heure en fonction, entre autre, de la profondeur du puits.   Une éolienne est associée également à un réservoir qui alimente à son tour des bassins d'irrigation, des abreuvoirs ét des bornes fontaines.   Aujourd'hui, les éoliennes sont fabriquées dans l'atelier de VEV à partir d'éléments locaux à l'exception des tamis et le ressort gouvernail qui sont encore importés d'Italie, D'où un taux d'intégration de la technologie de l'ordre 95%.- Le prix d'une éolienne clé en main est fixé à 5 500 000 FCFA soit 8350 $.   UNE TECHNOLOGIE SIMPLE DONT LA FABRICATION S'INTÈGRE DANS LE TISSU INDUSTRIEL DU SÉNÉGAL   Quelques caractéristiques techniques du système éolien :   L'éolienne   hauteur 12 à 16m diamètre de la roue : 5-6 m puissance nominale : 500 W vitesse de démarrage: 3 mis   Pompe   diamètre du piston 60-180 mm course du piton: 14cm   Matériau   roue : 18 pales en tôle galvanisée tour : profilés en acier pompe : laiton et fonte avec garniture en cuir   Transmission   le mouvement alternatif est obtenu par l'intermédiaire d'un simple système de bielle — manivelle   Regulation   un système de freinage entre en action lorsque la vitesse du vent est supérieure à 8 m/s. La roue se plie par rapport au gouvernail et en diminuant la surface opposée au vent la vitesse de rotation diminue. La roue revient à sa position d'origine au fur et à mesure que le vent diminue.   Poids :    1.125 kg   Référence :   Enda-Energie, GNESD, Rôle des Energies renouvelables sur le développement d'activités productives en milieu rural Ouest Africain - Le cas du Sénégal, mars 2005.   ( extrait de ""Echos du cota"" n° 111, Juin 2006 ""Energies renouvelables""  www.cota.be ) "[-]
"Sénégal : Pompage éolien    Le Groupement d'Intérêt Economique (GIE) “Vent Eau pour la Vie” (VEV), basé à Thiès à 70 Km de Dakar, à travers son programme de pompage éolien' constitue à la fois :   1 un exemple de transfert de technologie Nord-Sud (l'appropriation locale de la technologie par le groupement VEV) 2 une preuve d'utilisation des Technologies d'Energies Renouvelables (TERs) dans la lutte contre la pauvreté (puisque cela contribue à ...[+]

Éolienne de pompage ; Sénégal

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- n° 270706
Cote CLER : B5
"Sénégal : Thies : promotion de l'énergie solaire pour lutter contre la désertification http://fr.allafrica.com/stories/200607061041.html Mbaye Ba Amener le solaire dans les foyers sénégalais, et particulièrement dans les cuisines, tel est le défi que l'Association des Femmes pour la promotion des sciences et de la technologie, sous la conduite de sa présidente, Mme Rufina Dabo Sarr, entend relever. Vendredi dernier, profitant de la seconde édition de la célébration de la Journée de renaissance scientifique de l'Afrique à Thiès, des fours et des cuiseurs solaires ont été présentés au public ; puis une séance de démonstration culinaire et de dégustation organisée devant beaucoup de femmes, membres de cinq groupements réunis dans une association dénommée « Yaayu Jaboot », appartenant à la protection maternelle et infantile Saint Joseph de Cluny. Selon elle, avec un ensoleillement de plus de 8 mois l'année, le Sénégal dispose d'une matière première renouvelable qui est à même de réduire considérablement l'utilisation des énergies fossiles découlant du pétrole et surtout la destruction du couvert végétal. Car, les ressources ligneuses comme le bois de chauffe, le charbon de bois pour la cuisson des aliments et le bois d'Å""uvre, exploitées à outrance, entraînent une dégradation des sols et de la biomasse animale, provoquant la faim. Alors, pour lutter efficacement contre la désertification, il faut arriver à veiller sur la préservation d'un environnement équilibré, gage d'une fixation des jeunes dans leur terroir afin de couper court à l'exode rural et à l'émigration massive, aujourd'hui clandestine, de la jeunesse des pays en voie de développement. Pour Mme Rufina Dabo Sarr, la corvée d'eau et celle du bois dans certaines zones rurales freinent la scolarisation des filles dont le maintien à l'école équivaut à une perte de bras devant assurer ces travaux pénibles. Alors, « en adoptant les fours solaires dans les foyers sénégalais, la femme sera libérée de beaucoup de contraintes liées à la préparation des mets et pourra utiliser ce gain de temps pour vaquer à d'autres activités de développement », soutient Rufina Dabo Sarr. C'est pourquoi dans six localités à travers le Sénégal où 20 familles ont été sélectionnées vont être formées et suivies pour la vulgarisation et l'intégration des fours solaires et cuiseurs solaires dans leur environnement immédiat. D'après Abdoulaye Touré, le concepteur, ce matériel solaire a une durée de vie de 10 ans et va coûter environ 12.000 Fcfa l'un. Selon lui, à part la partie concernant la cuisson à l'huile chaude, « raussi » en wolof, ou à vapeur, « taï », toutes les autres étapes peuvent être assurées par les fours solaires. En guise d'exemple, des brochettes et des oeufs ont été cuits puis dégustés par les participantes à la journée. Toute cette activité s'est déroulée en présence de la division de la recherche technologique du ministère de la Recherche scientifique, du représentant de la Francophonie."[-]
"Sénégal : Thies : promotion de l'énergie solaire pour lutter contre la désertification http://fr.allafrica.com/stories/200607061041.html Mbaye Ba Amener le solaire dans les foyers sénégalais, et particulièrement dans les cuisines, tel est le défi que l'Association des Femmes pour la promotion des sciences et de la technologie, sous la conduite de sa présidente, Mme Rufina Dabo Sarr, entend relever. Vendredi dernier, profitant de la seconde ...[+]

Coût d'investissement ; Cuiseur solaire ; Four solaire ; Sénégal

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- n° 141205
Cote CLER : B5
"Le Soleil (Dakar)    Publié sur le web le 13 Décembre 2005 By Saliou Fatma Lo Sur 1.200 modules de plaques photovoltaïques posés, 205 ont été volés, soit près de 15 % de ces sources d'énergie renouvelable qui sont d'une grande utilité dans les domaines de l'hydraulique, la téléphonie et l'électrification rurale. Un atelier de restitution et de finalisation des stratégies nationales et sous-régionales de lutte contre les vols des installations solaires photovoltaïques. Une réaction énergique et appelée. "" Nos énormes efforts d'investissements physiques et financiers pour la réalisation des services d'approvisionnement en eau potable, électricité et télécommunication risquent de s'avérer vains, si des actions d'accompagnement déterminantes ne sont pas prises. Ceci, pour assurer le fonctionnement pérenne des installations, gage du développement durable. Il s'agira tout particulièrement de la mise en place des mécanismes fiables et opérationnels de gestion et de sécurisation des équipements contre le vol, appuyés par des facilités d'ordre administratif et fiscal "". Premiers vols en 1997-98 C'est en ces termes que M. Oumar Top s'est adressé à l'assistance, en ouvrant les travaux de l'atelier national de restitution et de finalisation des stratégies nationale et sous-régionale de lutte contre les vols des installations solaires photovoltaïques. M. Top, le Secrétaire général du ministère de l'Agriculture et de l'Hydraulique, a noté qu'il est devenu aujourd'hui, une évidence de souligner la situation de précarité que connaissent nos populations sahéliennes en matière de sécurité alimentaire en général et d'accès à l'eau potable et à l'énergie de façon durable, en particulier. "" En effet, face aux calamités naturelles, sécheresse et désertification, soutenues par les actions anthropiques, le Sénégal a inscrit dans ses politiques et stratégies de développement des secteurs de l'eau, l'électrification et la télécommunication, la promotion de l'utilisation de l'énergie solaire photovoltaïque. Cependant, à partir des années 1997-98, un fâcheux phénomène, véritable retour de manivelle de la promotion de l'utilisation de l'énergie solaire, s'est opéré à travers les vols de modules et autres composants des installations solaires. Le fléau, par son extension et son mode opératoire, risque de compromettre à coup sûr la possibilité d'utilisation de cette technologie bien adaptée à l'amélioration des conditions de vie des populations "", a signalé M.Top. Auparavant, Mme Hano Agnès, la Conseillère section Développement rural à la Délégation de la Commission européenne à Dakar s'est réjouie de la signature de la 2e phase du Programme régional solaire (Prs) qui vient étendre le champ jusqu'en 2008. Le solaire au secours du thermique Selon elle, les conditions sont aujourd'hui réunies pour parvenir à un bon démarrage de ce programme. "" Il est nécessaire de procéder à une meilleure sensibilisation des usagers et leur plus grande implication dans la surveillance des infrastructures. Et nous allons définir une feuille de route pour 2006 "", a ajouté Mme Hano. De l'étude qui a servi de base de travail et qui a été réalisée par le Prs II, il ressort que : "" l'accès à l'énergie, grâce au solaire, des populations des pays en développement améliore les conditions de vie, diminue la pauvreté, améliore la santé et l'éducation, promeut les Petites et moyennes entreprises et crée des activités génératrices de revenus, en particulier dans les zones rurales isolées, tout en réduisant les migrations des populations rurales vers les centres urbains. Les applications courantes de l'électricité solaire photovoltaïque sont l'électrification des Centres communautaires (santé, éducation, lieux de culte), le pompage pour l'exhaure de l'eau potable ou d'irrigation, l'alimentation des stations-relais de télécommunications... Le Sénégal a commencé ses programmes solaires dès après la crise pétrolière de 1973, qui a vu la facture pétrolière du pays passer de 5,5 milliards à 55 milliards de francs Cfa. Et ceci de 1973 à 1975. Le solaire thermique a été abandonné petit à petit, au profit du photovoltaïque. Le vol des plaques,un phénomène étendu Les enquêtes ont permis de voir l'étendue du phénomène des vols dans les sites de pompage dans la zone nord. Sur les 27 sites visités, seuls 5 n'ont pas fait l'objet de vols. "" Cependant, il est heureux de constater que les populations se sont bien organisées en ce qui concerne le remplacement des modules volés par leurs propres moyens "", note l'étude qui renseigne, par ailleurs, que la Sonatel, non plus, n'est pas épargnée, elle qui a enregistré le vol de plus de 200 modules solaires entre 1999 et 2001. L'Aser également est touchée par le vol des modules. La stratégie de lutte proposée vise des ripostes aux plans technique, organisationnel et institutionnel. "[-]
"Le Soleil (Dakar)    Publié sur le web le 13 Décembre 2005 By Saliou Fatma Lo Sur 1.200 modules de plaques photovoltaïques posés, 205 ont été volés, soit près de 15 % de ces sources d'énergie renouvelable qui sont d'une grande utilité dans les domaines de l'hydraulique, la téléphonie et l'électrification rurale. Un atelier de restitution et de finalisation des stratégies nationales et sous-régionales de lutte contre les vols des installations ...[+]

Sénégal ; Solaire photovoltaïque ; Vol / Vandalisme

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- n° 23
EOLIENNES AU SÉNÉGAL Entretien avec : M. Michel Tine. ÉNERGIE SOLAIRE AU SÉNÉGAL Entretien avec : ECOSUN

Énergie solaire ; Réalisation ; Sénégal ; Site Internet ; Site isolé ; Solaire thermique ; Vidéo / CD Rom ; Petit éolien

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