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Après l'Espagne, l'Islande ou la Nouvelle-Zélande, la très libérale Grande-Bretagne expérimente la semaine de quatre jours. En ce mois de juin, 3000 employés, issus de 60 entreprises britanniques vont travailler sur quatre jours, sans perte de salaire. Au Japon aussi, l'idée fait son chemin, tout comme en France avec plus de 400 entreprises qui ont déjà spontanément franchi ce pas. Les atouts de cette nouvelle organisation sont nombreux, à condition toutefois de bien préparer la transformation, prévient Dominique Méda, sociologue du travail. Au Japon aussi les entreprises se tournent de plus en plus vers cette nouvelle organisation du travail. "Une situation autrefois impensable dans un pays dont la prospérité d'après-guerre reposait sur une main-d'œuvre prête à sacrifier la vie familiale pour le bien de l'entreprise", écrit ainsi le quotidien Asahi Shimbun.[-]
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Après l'Espagne, l'Islande ou la Nouvelle-Zélande, la très libérale Grande-Bretagne expérimente la semaine de quatre jours. En ce mois de juin, 3000 employés, issus de 60 entreprises britanniques vont travailler sur quatre jours, sans perte de salaire. Au Japon aussi, l'idée fait son chemin, tout comme en France avec plus de 400 entreprises qui ont déjà spontanément franchi ce pas. Les atouts de cette nouvelle organisation sont ...[+]

Islande ; Bretagne ; Espagne ; Aspect social ; Nouvelle-Zélande ; Aspect économique ; Collectivité locale ; Entreprise ; Japon ; International

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ARTICLE EN LIGNE
Un trou à 4,5km de profondeur... L'Islande, qui pourrait ne pas atteindre les objectifs fixés par la COP21, décide plus que jamais d'utiliser ses volcans pour produire de l'énergie propre avec un nouveau projet de géothermie exceptionnel.

Islande ; Géothermie ; Objectif ; Projet ; Généralité énergie renouvelable ; Innovation

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- n° 310706
Cote CLER : B5
"http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3228,36-799580@51-799634,0.html LE MONDE | 29.07.06 | 12h46  •  Mis à jour le 29.07.06 | 12h46 REYKJAVIK ENVOYEE SPECIALE Longtemps, les Islandais se sont comportés comme des enfants gâtés de l'environnement. Les 280 000 habitants de cette île plus grande que l'Irlande, dont les paysages glaciaires et volcaniques sont d'une exceptionnelle beauté, ne se souciaient guère, jusqu'à présent, de préserver une nature si imposante que rien ne semblait pouvoir la menacer. Mais, depuis le 22 juillet, un campement de protestation est installé à l'est de l'île, à Karahnjukar, au nord du glacier Vatnajökull. L'objectif des organisateurs : s'opposer à la construction d'un ensemble de barrages destinés à approvisionner en énergie hydroélectrique une fonderie d'aluminium appartenant à la compagnie américaine Alcoa. Et tenter de stopper une série de projets comparables, qui visent à utiliser les rivières glaciaires et les champs géothermiques abondants de l'Islande, afin d'alimenter des multinationales de l'aluminium. La production de ce métal, largement utilisé dans l'industrie aéronautique, le secteur des transports et l'alimentation, est très gourmande en énergie. Le projet de Karahnjukar est largement avancé. Le barrage principal, de près de 200 mètres - ce qui en fera le plus haut d'Europe - sera mis en eau en septembre, et la fonderie devrait entrer en service en 2007. ""Cinquante-sept km2 seront inondés, et au total 3 000 km2seront affectés, soit 3 % de l'Islande"", affirme Arna Magnusardottir, militante de l'association Saving Iceland. Destruction du paysage, perturbation de la vie animale, disparition de chutes d'eau, altération de la circulation des sédiments dans la rivière sont à prévoir. Le ministère de l'environnement rappelle que plusieurs modifications ont été apportées au projet afin de limiter son impact. ""Les constructions seront très visibles, sans aucun doute, mais les conséquences sur l'environnement ne seront pas significatives"", affirme Magnus Johannesson, secrétaire général du ministère. Le Parlement a approuvé le projet. Au ministère de l'industrie, Gudjon Gudjonsson, directeur de l'énergie, insiste surtout sur ""les conséquences positives pour la population locale"". L'usine emploiera 800 personnes. L'un des objectifs du gouvernement islandais est en effet de maintenir des emplois en dehors de la capitale Reykjavik, qui aspire petit à à petit toute la population de l'île. L'autre but est de diversifier une économie centrée sur la pêche. ""Nous sommes isolés, mais nous disposons de grandes quantités d'énergie renouvelable. Fournir les grandes compagnies internationales d'aluminium nous permet d'en exporter"", explique M. Gudjonsson. Selon l'autorité nationale de l'énergie, qui finance la construction des barrages de Karahnjukar, seul un cinquième du potentiel hydroélectrique et une fraction des ressources géothermiques de l'île sont actuellement utilisés, même si la quasi-totalité de l'électricité et de la chaleur consommées par la population est issue de ces énergies renouvelables. La construction de deux nouvelles fonderies et deux extensions importantes sont inscrites dans un plan de développement. S'il est mené à bien, la capacité de production d'aluminium en Islande passera en 2008 à 765 000 tonnes par an, contre 270 000 en 2005 et 90 000 en 1995. Le prix de vente de l'énergie est gardé secret. Pierre Després, vice-président chargé des affaires publiques d'Alcoa Canada (dont dépendent les unités de production islandaises), précise que les tarifs proposés sont ""concurrentiels"" sur un marché dominé par des pays émergents d'Amérique latine et d'Asie. Cette opportunité de développement mérite-t-elle, dans un pays où le niveau de vie est très élevé, de sacrifier davantage de paysages ? Le débat fut longtemps confidentiel dans le pays. L'écrivain Andri Magnason a contribué à le faire émerger. Son dernier ouvrage, consacré à cette question, a battu le record des ventes. Selon les sondages, 50 % des Islandais s'opposent désormais à cette politique. ""Ce programme n'est pas lié à la croissance normale de notre économie, nous n'en avons pas besoin, affirme Andri Magnason. Nous risquons de basculer dans une fuite en avant : plus nous construirons de barrages, plus nous serons dépendants de cette industrie."" La préservation de la nature est d'autre part essentielle pour l'image du pays et le tourisme, argumente-t-il. Le ministère de l'écologie laisse la question en suspens. ""Les nouveaux projets sont inscrits dans le plan de développement, mais ils n'ont pas encore été approuvés"", rappelle M. Johannesson. La politique de protection de la nature n'est pas oubliée, affirme le responsable, puisque le plus grand parc national d'Europe, qui couvrira 15 % du territoire, est en train d'être créé. Mais un autre débat pointe : la construction de nouvelles usines pourrait remettre en cause les objectifs de l'Islande en terme d'émissions de gaz à effet de serre. Ces questions devraient être au coeur du débat lors des prochaines élections, en 2007. Gaëlle Dupont CHIFFRES LE COMPLEXE HYDROÉLECTRIQUE DE KARAHNJUKAR comprend un grand barrage de 193 mètres de haut et 4 petits ouvrages. Deux millions de m3 d'eau seront stockés et circuleront dans 72 kilomètres de tunnels. La puissance annuelle générée sera de 4 600 GWh. LES ÉNERGIES RENOUVELABLES abondent en Islande : 83 % de l'électricité consommée par la population proviennent de l'énergie hydraulique et 87 % du chauffage sont issus de la géothermie. LES INDUSTRIES , principalement les fonderies d'aluminium, consomment 65 % de la production électrique totale. LES ÉNERGIES FOSSILES sont destinées presque uniquement au secteur des transports, notamment aux bateaux de pêche. L'Islande a lancé un programme de développement de l'hydrogène. Article paru dans l'édition du 30.07.06 "[-]
"http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3228,36-799580@51-799634,0.html LE MONDE | 29.07.06 | 12h46  •  Mis à jour le 29.07.06 | 12h46 REYKJAVIK ENVOYEE SPECIALE Longtemps, les Islandais se sont comportés comme des enfants gâtés de l'environnement. Les 280 000 habitants de cette île plus grande que l'Irlande, dont les paysages glaciaires et volcaniques sont d'une exceptionnelle beauté, ne se souciaient guère, jusqu'à présent, de préserver une ...[+]

Barrage hydraulique ; Industrie ; Islande

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- n° 11
Cote CLER : B1
Au moins une dizaine de sociétés dans le monde développement des systèmes de production d'électricicté à partir de l'énergie des marées, des courants marins et des vagues.

Énergie marine ; Energie houlomotrice ; Hydrolienne ; Islande ; Marémotrice ; Réalisation

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- n° 164
Cote CLER : C3
L'Islande, qui dispose d'une expérience de plus de 50 ans dans la production géothermale, travaille sur une nouvelle technologie de forage profond. L'objectif est d'exploiter des fluides à 400 °C chauffés par le magma, proche de la surface en cette région du monde. Explications.

Forage ; Géothermie ; Islande ; Production d'électricité

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- n° 334
Cote CLER : A4
La situation énergétique en Islande est totalement atypique par rapport aux autres pays européens. En effet, la géothermie et l'hydrolique y occupent une grande place et pourtant ces énergies ne sont pas exploitées à leur maximum. Seul le secteur du transport est encore dépendant de l'importation des combustibles fossiles.

Bâtiment public ; Chauffage ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Géothermie ; Energie hydraulique ; Hydrogène ; Industrie ; Islande ; Protocole de Kyoto ; Réseau de chaleur ; Transport

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- n° 40904
Cote CLER : B5
Pour accroître l'exploitation de la chaleur volcanique, les Islandais vont forer à 5 000 m de profondeur La géothermie, une énergie naturelle inépuisable C. M. [04 septembre 2004] Difficile de discerner les silhouettes à travers les volutes de vapeur qui s'échappent du bassin d'eau chaude bleu émeraude, où barbotent une vingtaine de personnes. Le lagon bleu, à une quarantaine de kilomètres de Reykjavik, au milieu d'un champ de lave, demeure un haut lieu de rendez-vous pour les habitants de la capitale islandaise. La «baie des fumées», Reykjavik n'a pas volé son nom. Tout juste peut-on apercevoir au loin la centrale géothermique d'où provient l'eau chaude à 42° C qu'elle rejette après avoir été alimentée par les eaux chauffées sous terre au contact des vapeurs et roches volcaniques. De fait, il est courant, au détour d'une promenade, de tomber dans l'île sur une de ces nombreuses sources d'eau chaude qui surgissent du sous-sol. Le site de Geysir, haut lieu touristique qui a donné son nom au mot geyser, en est une des manifestations les plus éclatantes. Une colonne d'eau chaude y jaillit de terre toutes les dix minutes. L'île en regorge, tout particulièrement là où l'activité volcanique est la plus forte, soit sur un axe nord-sud, ainsi que dans le sud-ouest. Cette énergie propre est inépuisable. «Le chauffage est si bon marché que notre luxe, l'hiver, est de chauffer à fond nos maisons, tout en ouvrant grand les fenêtres», confie Sigurbjörg, mère de famille. Aussi la géothermie est-elle la première source d'énergie du pays (51,8% de la consommation nationale), loin devant les centrales hydrauliques (17,1%), qui mettent à profit les innombrables chutes d'eau provenant des glaciers. Dans les zones de basse température, comme dans certains quartiers de Reykjavik, où l'eau souterraine ne dépasse pas 150° C à – 100 mètres, celle-ci est directement pompée dans le sous-sol pour alimenter le réseau d'eau chaude et de chauffage des maisons de la ville. Mais aussi des serres, des fermes marines, ou encore les canalisations souterraines destinées à faire fondre la neige sur les routes l'hiver. Dans les zones à haute température, comme à Nesjavellir, où se trouve la centrale géothermique qui alimente Reykjavik, on la pompe via des forages à 200 mètres sous terre. Elle est ensuite en partie transformée en électricité via des turbines, en partie acheminée vers la capitale sous forme d'eau chaude, refroidie à 56° C, via 40 kilomètres de pipelines. Mais «nous utilisons seulement 17% de notre potentiel énergétique», souligne Gudjon Magnusson, de la compagnie nationale Landsvirkjun, qui affirme son objectif de «passer à 37% en 2010». Bref, l'Islande a de l'énergie à revendre. Et déjà très propre, comme ses dirigeants se plaisent à le mettre en avant. Mais elle a aussi un impératif à respecter : le protocole de Kyoto, qui lui impose de ne pas augmenter ses émissions de gaz à effet de serre de plus de 10% entre 1990 et 2010. «Ce ne sera pas facile, car notre énergie est déjà d'origine non fossile à 70%», rappelle Gudjon Magnusson. Aussi plusieurs projets sont-ils actuellement à l'étude pour produire encore plus blanc. «En comparant le potentiel de chacune des sources d'énergie, leur coût et leur impact sur l'environnement, l'avenir semble résider dans la géothermie», estime Helga Tulinius, gestionnaire de projets ressources énergétiques au sein d'Orkustofun, l'autorité de régulation de l'énergie du pays. Aussi tous les espoirs reposent actuellement sur un projet de forages profonds (IDDP). Devant démarrer en 2005, il prévoit de creuser, à titre expérimental, des forages jusqu'à 5 000 mètres de profondeur pour aller chercher de nouvelles sources de chaleur, en dehors des zones actuellement exploitées. Quant à l'éolien, il a bien été à l'étude, mais reviendrait plus cher que les sources d'énergie actuelles. «Notre énergie est propre, mais il existe deux points noirs : les transports et la production d'aluminium», tempère Thorsteinn Sigfusson, de l'université de Reykjavik. Tous les regards sont actuellement braqués sur le très controversé projet de barrage de Karahnjukar, à l'extrême est de l'île. D'une capacité de 690 mégawatts avec sept barrages, soit la moitié de la production hydroélectrique du pays, il doit alimenter à partir de 2007 la future usine d'aluminium de l'américain Alcoa. Si le Parlement a donné son quitus à ce projet en 2002 en raison de son impact économique, Arni Finnsson, directeur de l'Agence de la protection de la nature islandaise, ne décolère pas : «Il va menacer une des plus grandes zones sauvages du pays, qui est unique. Sans parler des risques d'érosion sur la côte.» Même au pays de la nature toute-puissante, la raison économique parfois l'emporte.[-]
Pour accroître l'exploitation de la chaleur volcanique, les Islandais vont forer à 5 000 m de profondeur La géothermie, une énergie naturelle inépuisable C. M. [04 septembre 2004] Difficile de discerner les silhouettes à travers les volutes de vapeur qui s'échappent du bassin d'eau chaude bleu émeraude, où barbotent une vingtaine de personnes. Le lagon bleu, à une quarantaine de kilomètres de Reykjavik, au milieu d'un champ de lave, demeure un ...[+]

Géothermie ; Energie hydraulique ; Islande ; Réseau de chaleur

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- n° 511
Cote CLER : B1
Un contrat de financement de 170 millions d'euros a été signé le 20 novembre dernier entre la Banque européenne d'investissement (BEI) et la compagnie d'énergie islandaise "Orkuveita Reykjavikur" pour l'expansion de sa capacité de production d'électricité d'origine géothermique. Le projet concerne l'agrandissement de la centrale géothermique de Hellishei©£i, la dotant ainsi d'une capacité supplémentaire de 90 MW, et la construction d'une nouvelle centrale géothermique d'une capacité de 90 MW à Hverahlí©£. Ces nouvelles unités de production ont principalement pour objectif de répondre à la demande croissante d'électricité dans les secteurs industriels tournés vers l'exportation, et notamment d'approvisionner une nouvelle fonderie d'aluminium ainsi qu'une fonderie existante. S'exprimant au sujet de l'opération, Mme Eva Srejber vice-présidente de la BEI a déclaré : "Nous sommes heureux de promouvoir cette technologie respectueuse de l'environnement dans le cadre d'un projet qui vise à soutenir la reprise économique en Islande, et de poursuivre notre coopération avec un partenaire bien connu, Orkuveita Reykjavikur." En contrepartie de l'aide financière accordée par la BEI, ce projet apporte en définitive un soutient à la politique de l'UE[-]
Un contrat de financement de 170 millions d'euros a été signé le 20 novembre dernier entre la Banque européenne d'investissement (BEI) et la compagnie d'énergie islandaise "Orkuveita Reykjavikur" pour l'expansion de sa capacité de production d'électricité d'origine géothermique. Le projet concerne l'agrandissement de la centrale géothermique de Hellishei©£i, la dotant ainsi d'une capacité supplémentaire de 90 MW, et la construction d'une ...[+]

Électricité renouvelable ; Fonds d'investissement ; Géothermie ; Islande ; Projet ; Société financière

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- n° 40304
Cote CLER : B5
http://www.ecowindenergy.com/ http://www.ewire.com/display.cfm/Wire_ID/2017 FOX ISLAND, WA -- (MARKET WIRE) -- 03/03/2004 -- Ewire -- First National Power Corp (OTC BB: FNPR) is continuing to expand its foothold in the fast growing Wind Energy Market through acquisition and continued development of proprietary technology. First National Power has reached an agreement with inventor Raul Verastegui  http://www.ecowindenergy.com  to acquire the exclusive Global License and Patent rights (US Patent number is 5,518,367 and the European Patent number is 0679805) for the Verastegui Wind Turbine. The Market - Wind Energy Industry Continued to Grow at Fast Pace as Global Installations Worldwide Increased by 28%. Cumulative global wind energy generating capacity has topped 31,000 megawatts (MW). Some 6,868 MW of new capacity were installed worldwide during the year, an increase of 28%, according to preliminary estimates by the American Wind Energy Association and the European Wind Energy Association. Wind plants now power the equivalent of 7.5 million average American homes (16 million average European homes) worldwide. Global wind power generating capacity has quadrupled over the past five years, growing from 7,600 MW at the end of 1997 to an estimated 31,128 MW at the end of 2002 -- an increase of over 23,000 MW. Wind is the world's fastest-growing energy source on a percentage basis, with installed generating capacity increasing by an average 32% annually for the last five years (1998-2002). The slightly slower rate of 28% in 2002 was primarily due to a lull in the U.S. market.[-]
http://www.ecowindenergy.com/ http://www.ewire.com/display.cfm/Wire_ID/2017 FOX ISLAND, WA -- (MARKET WIRE) -- 03/03/2004 -- Ewire -- First National Power Corp (OTC BB: FNPR) is continuing to expand its foothold in the fast growing Wind Energy Market through acquisition and continued development of proprietary technology. First National Power has reached an agreement with inventor Raul Verastegui  http://www.ecowindenergy.com  to acquire the ...[+]

Angleterre ; Éolien ; Islande ; Petite puissance

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