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Documents JOURNAL DU DEVELOPPEMENT DURABLE 93 résultats

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- n° 675
Cote CLER : B4
Jean-Jack Queyranne, président de la Région Rhône-Alpes et de l'association Effinergie, a signé le 24 novembre une convention pour délivrer le nouveau label « BBC Effinergie Rénovation » destiné à limiter la consommation énergétique dans les bâtiments existants. En ligne de mire : un marché de plus de 31 millions de logements dans l'hexagone, pour la plupart très énergivores car construits avant 1975, date de la première réglementation thermique en France. Plusieurs opérations de rénovation en Rhône-Alpes sont déjà engagées dont 123 en maisons individuelles et 27 en logements collectifs. La signature de cette convention résulte d'un partenariat entre l'Association Effinergie, les collectivités locales et les organismes certificateurs (CERQUAL pour le logement collectif et l'individuel groupé, CEQUAMI pour la maison individuelle en secteur diffus et CERTIVEA pour les bâtiments tertiaires et autres).[-]
Jean-Jack Queyranne, président de la Région Rhône-Alpes et de l'association Effinergie, a signé le 24 novembre une convention pour délivrer le nouveau label « BBC Effinergie Rénovation » destiné à limiter la consommation énergétique dans les bâtiments existants. En ligne de mire : un marché de plus de 31 millions de logements dans l'hexagone, pour la plupart très énergivores car construits avant 1975, date de la première réglementation thermique ...[+]

Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Certification ; Effinergie ; Label de performance ; Rénovation ; Rhône Alpes

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- n° 673
Cote CLER : B4
Eco Delta Développement (EDD), développeur et exploitant indépendant de sites de production d'électricité à base de sources d'énergies éolienne et solaire, a été sélectionné par la Mairie de Revest-du-Bion (04) pour réhabiliter une partie de l'ancien Groupement de missiles stratégiques situé sur le Plateau d'Albion. Delta Solar, la filiale d'EDD dédiée à l'énergie solaire, a obtenu un permis libre de tout recours pour la construction d'un parc photovoltaïque d'une puissance de 1,2 MWc. La ferme solaire, qui nécessitera la pose de quelque 4 000 panneaux sur 3 hectares, sera construite sur une partie de l'ancien site de lancement de missiles nucléaires sol-sol balistiques stratégiques de la Force de dissuasion nucléaire française, dont le démantèlement s'est achevé en 1999. Elle permettra de fournir en électricité toute la population de la commune de Revest-du-Bion. « L'installation de centrales photovoltaïques est un excellent moyen pour réhabiliter les nombreuses friches industrielles et militaires de nos régions », ajoute Ronald Knoche, président du directoire d'EDD. Le groupe EDD, qui dispose actuellement en France de permis de construire libres de tout recours pour une capacité de 65,6 MWc d'électricité photovoltaïque se fixe un objectif de production de 200 MW en France et à l'international d'ici 2012. Aujourd'hui, EDD souhaite mettre en place des partenariats avec les collectivités locales et les propriétaires fonciers, en leur proposant de contribuer activement au plan national de baisse des émissions de gaz à effets de serre, grâce à l'installation de parcs éoliens ou solaires. Le groupe, dont le portefeuille de projets représente environ 1 500 MW, dispose à ce jour de permis de construire accordés pour une puissance de plus de 160 MW dans le Sud et le Centre de la France. EDD bénéficie de l'appui industriel et capitalistique de la Caisse des Dépôts, institution financière publique très impliquée dans la diversification du bouquet énergétique, qui détient 10 % de son capital, ainsi que du soutien de l'Anvar.[-]
Eco Delta Développement (EDD), développeur et exploitant indépendant de sites de production d'électricité à base de sources d'énergies éolienne et solaire, a été sélectionné par la Mairie de Revest-du-Bion (04) pour réhabiliter une partie de l'ancien Groupement de missiles stratégiques situé sur le Plateau d'Albion. Delta Solar, la filiale d'EDD dédiée à l'énergie solaire, a obtenu un permis libre de tout recours pour la construction d'un parc ...[+]

Centrale au sol ; Centrale photovoltaïque ; Collectivité locale ; Développeur de projet ; Friche ; Partenariat ; Permis de construire ; Projet ; Provence Alpes Côte d'Azur ; Puissance installée ; Société d'exploitation ; Société financière

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- n° 661
Cote CLER : B4
Après les transports propres et l'éco-construction, la ville de Bordeaux se lance dans la production d'énergies renouvelables. La Société bordelaise des équipements publics d'exposition et de congrès (Sbepec) s'apprête en effet à donner le feu vert pour l'installation de 92 000 m2 d'ombrières photovoltaïques sur les 20 ha du parking du Parc des expositions de Bordeaux-lac, dont elle assure la gestion. Retenu à l'issue d'un appel lancé il y a un an, le projet sera financé dans son intégralité par la filiale d'EDF spécialisée dans la production d'électricité d'origine renouvelable, EDF Énergies Nouvelles. Pour un investissement total de près 67 M€, le nouveau parking produira quelque 14 GW par an, soit l'équivalent de la moitié de la facture d'éclairage public Bordeaux, et deviendra à ce titre le plus grand parc photovoltaïque de France. Une aubaine pour la Sbepec : L'exploitation de la nouvelle centrale sera assurée par EDF Énergies Nouvelles moyennant une redevance annuelle d'1,3 M€ par an sur vingt ans pour la location du parking du Parc des expositions à la Sbepec. « Le projet nous permet de restaurer notre infrastructure tout contribuant au développement des énergies renouvelables et nous assure un revenu complémentaire sans mettre un seul sou de notre poche », se félicite Hugues Martin, président de la Sbepec et premier adjoint au maire de Bordeaux. Le lancement effectif du projet reste toutefois suspendu au maintien pour 2010 des tarifs de rachat de l'électricité d'origine photovoltaïque, sans lesquels le montage financier de l'opération ne serait plus viable. Un projet « exemplaire » : « Dans le droit fil des autres actions de développement durable développées par la ville de Bordeaux », la future centrale photovoltaïque de Bordeaux-Lac promet d'être « exemplaire » en matière d'éco-conception. Le nouveau parking sera ainsi couvert d'un enrobé plus respectueux de l'environnement tandis que des noues paysagères vont être créées pour assurer le stockage et le traitement des eaux de pluie pour l'arrosage. À plus long terme, la Sbepec envisage également d'installer des panneaux photovoltaïques sur les toitures du Parc des expositions. (Cf Plein Soleil n°24 - décembre 2009 - p.4)[-]
Après les transports propres et l'éco-construction, la ville de Bordeaux se lance dans la production d'énergies renouvelables. La Société bordelaise des équipements publics d'exposition et de congrès (Sbepec) s'apprête en effet à donner le feu vert pour l'installation de 92 000 m2 d'ombrières photovoltaïques sur les 20 ha du parking du Parc des expositions de Bordeaux-lac, dont elle assure la gestion. Retenu à l'issue d'un appel lancé il y a un ...[+]

Appel à projet ; Aquitaine ; Centrale photovoltaïque ; Coût d'investissement ; Location ; Parking ; Puissance installée ; Société d'exploitation ; Surface capteur ; Toiture

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- n° 661
Cote CLER : B4
Après un an et demi travaux, la plus grande chaufferie à bois d'Europe vient d'être inaugurée à Saint-Ouen-l'Aumône (95). La Région a financé à hauteur de 30 % (5,2 millions €) cette nouvelle installation, soit la plus grosse subvention jamais accordée à ce jour dans le cadre de la politique régionale de l'énergie. D'une puissance de 25 mégawatts, elle sera capable de chauffer jusqu'à 32 000 logements. La biomasse utilisée sur le site provient pour 35% de bois propre de recyclage (palettes), pour 25% de plaquettes urbaines d'élagage de l'Ouest parisien, pour 20% de plaquettes forestières de forêts d'Ile-de-France et pour 20% de criblat de compostage. Baisse de TVA : L'utilisation de biomasse permet de supplanter le fioul lourd et en partie le charbon qui servait jusqu'à présent à faire fonctionner la chaufferie. Le réseau de la ville peut ainsi bénéficier d'un abaissement de la TVA de 19,6% à 5,5% sur le prix de vente aux usagers qui y sont raccordés, cette mesure s'appliquant aux réseaux alimentés à plus de 60% par une source d'origine locale ou renouvelable. La chaudière dispose d'une technologie de pointe pour le traitement des fumées et le confinement des polluants tels que les oxydes d'azote (NOx), les poussières, les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et les composés organiques volatiles (COV). Le gain environnemental attendu est de 33.000 tonnes de CO2 par an. Avec ce type de réalisation, l'Île-de-France veut s'affirmer parmi les premières éco-Régions d'Europe.[-]
Après un an et demi travaux, la plus grande chaufferie à bois d'Europe vient d'être inaugurée à Saint-Ouen-l'Aumône (95). La Région a financé à hauteur de 30 % (5,2 millions €) cette nouvelle installation, soit la plus grosse subvention jamais accordée à ce jour dans le cadre de la politique régionale de l'énergie. D'une puissance de 25 mégawatts, elle sera capable de chauffer jusqu'à 32 000 logements. La biomasse utilisée sur le site provient ...[+]

Aide financière ; Bois déchiqueté / Plaquette ; Chaleur renouvelable ; Chauffage bois ; Chaufferie bois ; Collectivité locale ; Conseil régional ; Déchet bois ; Financement ; Ile-de-France ; Logement collectif ; Pollution de l'air ; Puissance installée ; Réalisation ; Record ; Réseau de chaleur ; TVA

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- n° 669
Cote CLER : B4
Premier opérateur de réseau de chaleur en France et gestionnaire de l'un des plus grands réseaux du monde, la Compagnie parisienne de chauffage urbain (CPCU) fournit chaque année un peu plus de 5 millions de MWh de chaleur, dont près de 2,5 millions issus de la valorisation énergétique des déchets, dans Paris et une dizaine de communes environnantes. Encore largement dépendante des combustibles fossiles, la société a fait de l'optimisation de ses consommations et de la diversification de son mix énergétique ses deux priorités. Pour son directeur général adjoint Jean-Christophe Allué, « le réseau de chaleur est l'un des grands vecteurs sérieux de développement des énergies renouvelables ». 7 % de la chaleur produite grâce au bois d'ici 2014 : En réponse à l'appel d'offre lancé en 2008 par le gouvernement pour la production d'électricité et de chaleur à partir de biomasse, la CPCU propose de substituer 7 % de sa production en construisant d'ici à 2014 une unité de cogénération au bois. Le projet actuel prévoit de l'installer sur le port de Gennevilliers (92) à proximité de la plateforme de transport de charbon de la société, afin de pouvoir l'alimenter en bois par voie fluviale. Sur les 250 000 tonnes nécessaires chaque année à son fonctionnement, 150 000 proviendraient de la récupération de bois en fin de vie. « Une ressources trop souvent brûlée à l'air libre », regrette Jean-Christophe Allué. Les 100 000 tonnes restantes seraient fournies par la filière sylvicole locale. « La production d'énergie à partir de bois doit être pensée dans une filière globale intégrant la gestion des forêts » rappelle Jean-Christophe Allué. La cogénération, un moyen d'optimiser la production : Avant même la Grenelle de l'environnement et l'adoption par la Ville de Paris de son Plan Climat, la CPCU avait déjà investi dans deux unités de cogénération au gaz. « L'instauration d'une obligation d'achat de l'électricité produite par cogénération a donné une visibilité financière à ces opérations », note Jean-Christophe Allué. Inaugurées en 2001, les deux centrales ont permis d'optimiser la production d'énergie de la Compagnie et de réaliser une économie substancielle de ressources primaires. Entre temps, la société a également conforté et modernisé ses installations existantes, avec, par exemple, la mise en place de dispositifs de traitement des fumées de sa chaufferie au charbon de St Ouen. Enfin, en plus d'améliorer la performance énergétique de ses propres installations, la CPCU a développé un plan de maîtrise de la demande de chaleur visant à optimiser l'utilisation de la chaleur par ses clients.[-]
Premier opérateur de réseau de chaleur en France et gestionnaire de l'un des plus grands réseaux du monde, la Compagnie parisienne de chauffage urbain (CPCU) fournit chaque année un peu plus de 5 millions de MWh de chaleur, dont près de 2,5 millions issus de la valorisation énergétique des déchets, dans Paris et une dizaine de communes environnantes. Encore largement dépendante des combustibles fossiles, la société a fait de l'optimisation de ...[+]

Appel d'offre ; Chauffage urbain ; Cogénération bois ; Déchet bois ; Ile-de-France ; Production de chaleur ; Projet ; Réseau de chaleur

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- n° 655
Cote CLER : B4
"Lancé il y a un an par Bouygues Immobilier en partenariat avec les entreprises Lexmark, Philips, Schneider Electric, Siemens, Sodexo, Steelcase et Tandberg, le groupement d'intérêt économique (GIE) « Enjeu énergie positive » a présenté jeudi 29 octobre les résultats de ses réflexions sur la consommation énergétique des bureaux. Premier constat, le comportement des occupants est responsable d'une perte d'efficacité énergétique comprise entre 10 et 20 %. Pour atteindre l'objectif de 50kWh/m2.an des Bâtiments Basse Consommation (BBC), il est donc indispensable de concevoir les immeubles en étroite association avec l'exploitant et les prestataires de service, mais également avec les futurs utilisateurs. Le GIE préconise également la mise en place d'outils de suivi de la performance énergétique en faisant appel à un bureau d'études énergétiques voire en créant une fonction de Responsable énergie et environnement au sein des entreprises. Objectif : favoriser la mise en œuvre de ""baux verts"" et de contrats de garantie de performance énergétique. Une analyse poste par poste : Les membres du GIE ont analysé plus spécifiquement les principaux postes de consommation énergétique des immeubles de bureaux. L'éclairage qui représente jusqu'à 35 % de la consommation d'électricité dans un bâtiment tertiaire est le premier visé. Une généralisation des éclairages LED, associée à des dispositifs de pilotage par détection de présence et de régulation de la lumière naturelle, permettrait selon le groupement de diviser le coût énergétique de ce poste par quatre. Constatant l'absence d'outils fiables pour évaluer la consommation de la bureautique (15 à 20 % des dépenses globales) le GIE a par ailleurs élaboré un simulateur baptisé ConsoTIC capable d'établir un diagnostic des gaspillages pour réduire la facture associée de moitié. Enfin, l'optimisation des infrastructures, du matériel et des pratiques d'exploitation en restauration collective pourrait selon le GIE réduire de 35 % les besoins en énergie de ce poste, responsable selon les cas de 10 à 40 % de la consommation d'un bâtiment. Deux nouveaux partenaires de taille : La présentation des résultats de cette première année de réflexions était également l'occasion pour les membres du GIE d'annoncer l'arrivée de deux nouveaux membres en 2010, et pas des moindres. Dès le mois de janvier, le n°1 mondial des semi-conducteurs Intel, et Tenesol, la filiale commune des groupes Total et EDF spécialisée dans les systèmes photovoltaïques viendront rejoindre l'initiative. Fort de ces nouvelles compétences, le GIE se penchera sur cinq nouveaux thèmes : l'intégration du photovoltaïque, la santé, le confort et la qualité des immeubles, l'empreinte carbone en phase d'exploitation, la mobilité verte et la convergence des réseaux. "[-]
"Lancé il y a un an par Bouygues Immobilier en partenariat avec les entreprises Lexmark, Philips, Schneider Electric, Siemens, Sodexo, Steelcase et Tandberg, le groupement d'intérêt économique (GIE) « Enjeu énergie positive » a présenté jeudi 29 octobre les résultats de ses réflexions sur la consommation énergétique des bureaux. Premier constat, le comportement des occupants est responsable d'une perte d'efficacité énergétique comprise entre 10 ...[+]

Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Bâtiment tertiaire ; Bureautique ; Consommation d'énergie ; Diagnostic ; Éclairage ; Performance énergétique ; Ratio énergétique

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- n° 660
Cote CLER : B4
Les consommateurs peuvent y comparer les offres en fonction du prix de l'énergie, mais également de la part de renouvelable dans la production de l'énergie. Très critique, l'UFC Que choisir voit dans ce comparateur « une machine à faire quitter les tarifs réglementés ». « Si les consommateurs quittent massivement le tarif réglementé, celui-ci n'aura plus de raison d'être et sera rapidement supprimé par les pouvoirs publics (...). une fois que ce garde-fou aura sauté, la hausse sera spectaculaire », a prévenu l'association de consommateurs dans une enquête publiée fin septembre. Le nouveau comparateur d'offres énergétiques est disponible sur le site www.energie-mediateur.fr[-]
Les consommateurs peuvent y comparer les offres en fonction du prix de l'énergie, mais également de la part de renouvelable dans la production de l'énergie. Très critique, l'UFC Que choisir voit dans ce comparateur « une machine à faire quitter les tarifs réglementés ». « Si les consommateurs quittent massivement le tarif réglementé, celui-ci n'aura plus de raison d'être et sera rapidement supprimé par les pouvoirs publics (...). une fois que ce ...[+]

Choix de l'énergie ; Fournisseur d'énergie ; Libéralisation énergétique ; Marché de l'électricité ; Marché du gaz ; Médiateur énergie ; Prix de l'electricité ; Prix de l'énergie ; Prix du gaz ; Site Internet

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- n° 658
Cote CLER : B4
Mis au point par la firme Boon Edam, le système stocke l'énergie produite dans des condensateurs, qui servent à alimenter l'éclairage par LED du sas. Volontairement visible derrière une vitre au plafond du tourniquet, le dispositif indique via des voyants la quantité d'électricité produite par chaque passage. La porte permettra par ailleurs d'économiser pas moins de 4600 kWh de chauffage par an par rapport à une porte coulissante classique.

Éclairage ; Moteur ; Gare / Port / Aéroport ; Innovation ; LED / Diode ; Pays Bas ; Production d'électricité ; Réalisation ; Récupération de l'énergie

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- n° 658
Cote CLER : B4
"Au cœur d'un automne aux airs d'été indien, la commune de Monêtier-les-Bains – connue également sous le nom de Serre-Chevalier 1500 - résonne au rythme d'une animation inhabituelle. Au cœur de cette activité : les Grands bains du Monêtier, un centre thermoludique ouvert en 2008 qui a fait le pari de fonctionner à l'année dans une station habituée à recevoir les visiteurs en été et en hiver. Afin de pérenniser, cette volonté des accords avec des hôteliers sont en cours de signature pour accueillir les touristes. Parmi les partenaires de cette initiative : l'Hôtel Alliey, associé à un forfait original baptisé « Couleurs d'automne » dont le principe se déclinera également au Printemps. Au programme : hébergement dans un cadre confortable, bains dans une eau chaude naturelle, détente, massage et soin du corps … « C'est une première dans la station que nous avons décidée de soutenir », confie Herve Buisson, responsable de l'établissement familial de charme, qui espère ainsi transformer des emplois saisonniers en emplois à l'année. « Cela permet d'apporter une nouvelle dynamique à Monêtier-les-Bains », confirme Jérôme Salmon, directeur des services de la commune. Plus de 145 000 personnes sont venus profiter des Grands Bains depuis leur ouverture en août 2008, attirées par les grands bassins remplie d'une eau chaude naturelle, mais aussi par un Institut beauté santé et par un restaurant où le chef propose des produits locaux originaux. Il assure d'ailleurs cet automne les repas de midi les week-end dans le cadre du forfait lancé avec l'hôtel Alliey. Une locomotive pour la station : Après des années de préparation, les Grands bains du Monêtier ont ouvert leurs portes il y a un an. Objectifs de ce site construit sur une source chaude : créer une nouvelle locomotive économique pour la commune des Hautes-Alpes, intégrer ce site dans la vie du village et lui apporter une dimension environnementale. « L'équipe municipale a fait un tour d'Europe des établissements de ce type et s'est inspirée des meilleurs en France, Suisse et Allemagne », raconte Antoine Deudon, directeur du centre dont la gestion a été confiée à la société ValVital pour huit ans. Le bâtiment de 4500 mètres carrés, construit sur trois niveaux avec un mélange de bois, de verre et de pierre, a été imaginé par l'architecte Luc Demolombe. Il se dresse à 1 500 mètres d'altitude, « nouveau lien entre village et chemins de randonnée l'été, entre station et pistes de ski l'hiver », avec une superbe vue sur le massif des Ecrins. « C'est un concept avec une vision très contemporaine : le centre n'est pas seulement dédié aux Bains. Il se veut, comme l'a voulu la municipalité, un véritable centre de vie, un lieu d'échange vivant et animé », explique Antoine Deudon qui dévoile la passerelle qui relie le centre au cœur de ville et les grandes portes vitrées qui s'ouvrent sur la montagne. « En complément des bains et de l'institut de beauté, on trouve également ici un bar, un restaurant avec animations musicales et une boutique ». Une dimension durable a également été donnée au site qui s'inscrit dans une démarche Haute qualité Environnementale. La chaleur de l'eau est récupérée pour chauffer les installations et un dispositif d'air pur régule la chaleur solaire. La réponse des locaux et touristes est à la hauteur des espérances de la commune qui a investi 12 millions d'euros dans ce projet. Pendant les vacances de février 2009, le complexe a connu son pic de fréquentation avec près de 1000 entrées par jour. La formule « neige et bains » a séduit et sera renouvelée cet hiver. Un site de choix : Les Grands bains du Monêtier sont situés au cœur du domaine de Serre-Chevalier, réputé pour son ensoleillement, la qualité de ses pistes en hiver, mais aussi ses sentiers de balade et de randonnée en été. À l'Espace ""Grands Bains"", l'eau s'exprime désormais sous toutes ses formes. Au programme : un bassin intérieur à débordement de plus de 300 m©˜, équipé de lits bouillonnants, d'un parcours de massages sous l'eau, de colonnes immergées, de cols de cygne et d'un bain à bulles. Tout autour, plusieurs salles permettent de varier les séances bien-être, sur le thème de la Rome antique : un frigidarium (grotte d'eau froide), un tepidarium (grotte d'eau tiède) et un caldarium (grotte d'eau chaude). D'autres bassins font profiter d'un hammam, d'une piscine d'eau salée, d'une grotte musicale, d'un espace minéral, de brumisations, de banquettes de marbre chaud, et... pour les plus petits (4 ans minimum), d'une Maison des Enfants. L'ensemble est relié à un bassin extérieur de plus de 300 m2 qui fonctionne été comme hiver, avec vue imprenable sur les montagnes. Des salles de repos intérieures et des terrasses-solarium sont également à disposition à l'étage pour profiter du panorama. Autre lieu de détente : l'Espace ""Romano-Irlandais"", exclusivement réservé aux adultes. C'est un lieu privilégié et intimiste, avec bassins, saunas (intérieurs et extérieur), hammams, douches ludiques, solarium et cascade vauclusienne. Créés par le médecin irlandais Richard Barter, au XIXe siècle, ce type de bains associaient à l'origine la tradition thermale romaine (bains d'eau chaude) aux bains secs et chauds irlandais. "[-]
"Au cœur d'un automne aux airs d'été indien, la commune de Monêtier-les-Bains – connue également sous le nom de Serre-Chevalier 1500 - résonne au rythme d'une animation inhabituelle. Au cœur de cette activité : les Grands bains du Monêtier, un centre thermoludique ouvert en 2008 qui a fait le pari de fonctionner à l'année dans une station habituée à recevoir les visiteurs en été et en hiver. Afin de pérenniser, cette volonté des accords avec des ...[+]

Centre thermal ; Géothermie ; Haute Qualité Environnementale / HQE ; Provence Alpes Côte d'Azur ; Réalisation

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- n° 648
Cote CLER : B4
Un contrat de financement de 400 millions d'euros pour la rénovation et la construction de lycées intégrant les démarches de qualité environnementale et de développement durable a été signé par Philippe de Fontaine Vive, Vice-président de la Banque européenne d'Investissement (BEI) et Jean-Louis Joseph, Vice-président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur délégué aux finances, à l'évaluation, à la planification et aux lycées. Il s'agit de la première opération de financement entre la BEI et une région. Ce prêt doit contribuer à la construction, la réhabilitation et la rénovation de 33 lycées de la Région y compris leurs installations sportives et polyvalentes, ainsi que de l'école internationale de Manosque qui accueillera les enfants de tous cycles du personnel et des chercheurs de diverses nationalités qui travaillent au projet sur le site de Cadarache. Objectif consacrer un budget de grande envergure sur l'ensemble du territoire de Provence-Alpes-Côte d'Azur où seront bientôt scolarisés près de 36000 élèves. Plus encore, l'objectif de ces 34 projets est de permettre aux jeunes d'étudier dans des infrastructures adaptées et modernes et de construire ou rénover ces bâtiments publics dans le respect des prescriptions les plus élevées en matière de protection de l'environnement et de développement durable. Tous bénéficient en effet des labels Haute ou Très Haute Performance Energétique (HPE et THPE), Bâtiment basse Consommation (BBC) ou Haute Qualité Environnementale (HQE). A noter que La Région Provence-Alpes-Côte d'Azur pourra mobiliser les financements nécessaires à ces opérations au fur et à mesure de leur réalisation. « Les lycées et l'efficacité énergétique sont essentiels et ce programme est de ce point de vue très symbolique à la veille du Sommet de Copenhague. » a déclaré Philippe de Fontaine Vive. Michel Vauzelle, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur a rappelé pour sa part « dans cette période de crise économique, la commande publique peut jouer un rôle très important pour nos entreprises et pour l'emploi mais également en faveur du développement durable qui est une priorité régionale depuis plusieurs années ».[-]
Un contrat de financement de 400 millions d'euros pour la rénovation et la construction de lycées intégrant les démarches de qualité environnementale et de développement durable a été signé par Philippe de Fontaine Vive, Vice-président de la Banque européenne d'Investissement (BEI) et Jean-Louis Joseph, Vice-président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur délégué aux finances, à l'évaluation, à la planification et aux lycées. Il s'agit de la ...[+]

Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Construction ; Efficacité énergétique ; Établissement scolaire ; Financement ; Haute Qualité Environnementale / HQE ; Performance énergétique ; Programme de développement ; Politique énergétique ; Programme d'action ; Provence Alpes Côte d'Azur ; Rénovation

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