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Documents Société d'exploitation 32 résultats

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- n° 5 hors série - p.52 à p.140
Cote CLER : C4
Au sortir du moratoire imposé à la filière photovoltaïque, et de la mise en place de nouveaux tarifs, 241 acteurs de la filière française (fabricants, développeurs, bureaux d'études, exploitants, distributeurs grossistes, maîtres d'ouvrage ou installateurs) présentent leur activité et réagissent aux conséquences de la nouvelle donne tarifaire.

Solaire photovoltaïque ; Fabricant ; Production ; Maître d'ouvrage ; Bureau d'étude ; Société d'exploitation ; Installateur ; Tarif d'achat ; Développeur de projet ; Région française administrative ; Logiciel ; Chiffre clé

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- n° 673
Cote CLER : B4
Eco Delta Développement (EDD), développeur et exploitant indépendant de sites de production d'électricité à base de sources d'énergies éolienne et solaire, a été sélectionné par la Mairie de Revest-du-Bion (04) pour réhabiliter une partie de l'ancien Groupement de missiles stratégiques situé sur le Plateau d'Albion. Delta Solar, la filiale d'EDD dédiée à l'énergie solaire, a obtenu un permis libre de tout recours pour la construction d'un parc photovoltaïque d'une puissance de 1,2 MWc. La ferme solaire, qui nécessitera la pose de quelque 4 000 panneaux sur 3 hectares, sera construite sur une partie de l'ancien site de lancement de missiles nucléaires sol-sol balistiques stratégiques de la Force de dissuasion nucléaire française, dont le démantèlement s'est achevé en 1999. Elle permettra de fournir en électricité toute la population de la commune de Revest-du-Bion. « L'installation de centrales photovoltaïques est un excellent moyen pour réhabiliter les nombreuses friches industrielles et militaires de nos régions », ajoute Ronald Knoche, président du directoire d'EDD. Le groupe EDD, qui dispose actuellement en France de permis de construire libres de tout recours pour une capacité de 65,6 MWc d'électricité photovoltaïque se fixe un objectif de production de 200 MW en France et à l'international d'ici 2012. Aujourd'hui, EDD souhaite mettre en place des partenariats avec les collectivités locales et les propriétaires fonciers, en leur proposant de contribuer activement au plan national de baisse des émissions de gaz à effets de serre, grâce à l'installation de parcs éoliens ou solaires. Le groupe, dont le portefeuille de projets représente environ 1 500 MW, dispose à ce jour de permis de construire accordés pour une puissance de plus de 160 MW dans le Sud et le Centre de la France. EDD bénéficie de l'appui industriel et capitalistique de la Caisse des Dépôts, institution financière publique très impliquée dans la diversification du bouquet énergétique, qui détient 10 % de son capital, ainsi que du soutien de l'Anvar.[-]
Eco Delta Développement (EDD), développeur et exploitant indépendant de sites de production d'électricité à base de sources d'énergies éolienne et solaire, a été sélectionné par la Mairie de Revest-du-Bion (04) pour réhabiliter une partie de l'ancien Groupement de missiles stratégiques situé sur le Plateau d'Albion. Delta Solar, la filiale d'EDD dédiée à l'énergie solaire, a obtenu un permis libre de tout recours pour la construction d'un parc ...[+]

Centrale au sol ; Centrale photovoltaïque ; Collectivité locale ; Développeur de projet ; Friche ; Partenariat ; Permis de construire ; Projet ; Provence Alpes Côte d'Azur ; Puissance installée ; Société d'exploitation ; Société financière

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- n° 661
Cote CLER : B4
Après les transports propres et l'éco-construction, la ville de Bordeaux se lance dans la production d'énergies renouvelables. La Société bordelaise des équipements publics d'exposition et de congrès (Sbepec) s'apprête en effet à donner le feu vert pour l'installation de 92 000 m2 d'ombrières photovoltaïques sur les 20 ha du parking du Parc des expositions de Bordeaux-lac, dont elle assure la gestion. Retenu à l'issue d'un appel lancé il y a un an, le projet sera financé dans son intégralité par la filiale d'EDF spécialisée dans la production d'électricité d'origine renouvelable, EDF Énergies Nouvelles. Pour un investissement total de près 67 M€, le nouveau parking produira quelque 14 GW par an, soit l'équivalent de la moitié de la facture d'éclairage public Bordeaux, et deviendra à ce titre le plus grand parc photovoltaïque de France. Une aubaine pour la Sbepec : L'exploitation de la nouvelle centrale sera assurée par EDF Énergies Nouvelles moyennant une redevance annuelle d'1,3 M€ par an sur vingt ans pour la location du parking du Parc des expositions à la Sbepec. « Le projet nous permet de restaurer notre infrastructure tout contribuant au développement des énergies renouvelables et nous assure un revenu complémentaire sans mettre un seul sou de notre poche », se félicite Hugues Martin, président de la Sbepec et premier adjoint au maire de Bordeaux. Le lancement effectif du projet reste toutefois suspendu au maintien pour 2010 des tarifs de rachat de l'électricité d'origine photovoltaïque, sans lesquels le montage financier de l'opération ne serait plus viable. Un projet « exemplaire » : « Dans le droit fil des autres actions de développement durable développées par la ville de Bordeaux », la future centrale photovoltaïque de Bordeaux-Lac promet d'être « exemplaire » en matière d'éco-conception. Le nouveau parking sera ainsi couvert d'un enrobé plus respectueux de l'environnement tandis que des noues paysagères vont être créées pour assurer le stockage et le traitement des eaux de pluie pour l'arrosage. À plus long terme, la Sbepec envisage également d'installer des panneaux photovoltaïques sur les toitures du Parc des expositions. (Cf Plein Soleil n°24 - décembre 2009 - p.4)[-]
Après les transports propres et l'éco-construction, la ville de Bordeaux se lance dans la production d'énergies renouvelables. La Société bordelaise des équipements publics d'exposition et de congrès (Sbepec) s'apprête en effet à donner le feu vert pour l'installation de 92 000 m2 d'ombrières photovoltaïques sur les 20 ha du parking du Parc des expositions de Bordeaux-lac, dont elle assure la gestion. Retenu à l'issue d'un appel lancé il y a un ...[+]

Appel à projet ; Aquitaine ; Centrale photovoltaïque ; Coût d'investissement ; Location ; Parking ; Puissance installée ; Société d'exploitation ; Surface capteur ; Toiture

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- n° 502
Cote CLER : B1
A cet effet, les deux entités vont créer une co-entreprise du nom d'Aérowatt Energies. Cette dernière permettra de participer au développement de la production d'énergie éolienne en outre-mer et de réaliser des projets photovoltaïques intégrés au bâti sur grandes toitures en métropole. Aérowatt deviendra l'actionnaire majoritaire et l'opérateur industriel des projets. La Caisse des Dépôts quant à elle prendra une participation de 35% dans le capital de cette structure, en contrepartie d'un investissement de 9 millions d'euros réalisé selon l'avancement des projets. L'ensemble des opérations envisagées représente une puissance installée potentielle de 60 MW. Le protocole d'accord prévoit l'intégration, dans un premier temps, de 5 centrales développées par Aérowatt, d'une puissance totale de 11 MW : - Parc éolien de Mont-Dore (Nouvelle-Calédonie), d'une puissance totale de 5 MW, dont la construction sera - Parc éolien de Désirade (Guadeloupe), en cours de « repowering » pour atteindre une puissance totale de 1,4 MW, - Centrale photovoltaïque Vinipolis, à Florensac (Hérault), de 0,3 MWc, - Centrale photovoltaïque d'Orange Porte Sud (Vaucluse), qui doit être livrée durant l'hiver prochain, d'une puissance totale de 2,2 MWc, - Centrales photovoltaïques intégrées à des quais de messagerie, en Métropole, pour une puissance cumulée totale de 2,2 MWc. Pour cette première tranche, l'apport en fonds propres de la Caisse des Dépôts sera de 2,7 ME.[-]
A cet effet, les deux entités vont créer une co-entreprise du nom d'Aérowatt Energies. Cette dernière permettra de participer au développement de la production d'énergie éolienne en outre-mer et de réaliser des projets photovoltaïques intégrés au bâti sur grandes toitures en métropole. Aérowatt deviendra l'actionnaire majoritaire et l'opérateur industriel des projets. La Caisse des Dépôts quant à elle prendra une participation de 35% dans le ...[+]

Actionnaire / Action ; Centrale solaire ; Dom Tom ; Entreprise ; Exploitation ; Financement ; Région française administrative ; Guadeloupe ; Investissement ; Languedoc Roussillon ; Nouvelle-Calédonie ; Parc éolien ; Partenariat ; Producteur d'électricité ; Société d'exploitation ; Société financière

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- n° 502
Cote CLER : B1
Le bâtiment dédié au stockage de matériel agricole et fourrage est équipé d'une centrale solaire de 775 m2 pour une puissance installée de 38 kWc. Le projet finalisé en octobre 2009 a été financé par EDF ENR et comprend la construction du hangar et l'installation de la centrale solaire. A travers cette offre, l'exploitant va bénéficier d'un nouveau bâtiment de stockage sans avoir mobilisé de fonds propres. En effet, le propriétaire va mettre à disposition le terrain et apporter une contribution financière et opérationnelle équivalent à 1 euro par jour, pendant 20 ans. Attention toutefois, ce montant constitue un minimum et varie selon la zone d'ensoleillement. Pour sa part, EDF ENR va exploiter la centrale et en assurer la maintenance pendant les 20 premières années. A la fin du bail, le professionnel devient propriétaire du hangar et bénéficie des retombées financières de la centrale. Photon Technologies, filiale à 51% d'EDF ENR, précise par ailleurs que le hangar est "équipé de la tôle solaire 'Photon Steel', un produit innovant adapté aux charpentes métalliques et aux toitures en bac acier". La société prévoit ainsi de construire 50 nouveaux hangars photovoltaïques sur l'année 2010. (Cf Plein Soleil n°24 - décembre 2009 - p.13)[-]
Le bâtiment dédié au stockage de matériel agricole et fourrage est équipé d'une centrale solaire de 775 m2 pour une puissance installée de 38 kWc. Le projet finalisé en octobre 2009 a été financé par EDF ENR et comprend la construction du hangar et l'installation de la centrale solaire. A travers cette offre, l'exploitant va bénéficier d'un nouveau bâtiment de stockage sans avoir mobilisé de fonds propres. En effet, le propriétaire va mettre à ...[+]

Batiment agricole ; Centrale photovoltaïque ; Exploitation ; Franche Comté ; Location ; Réalisation ; Société d'exploitation ; Toiture

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- n° 29
Cote CLER : C2
Historiquement, les résaux de distribution d'électricité appartiennent aux communes. Celles-ci ont créé le SIEL qui a en charge de gérer ce patrimoine pour leur compte. Le syndicat Intercommunal d'Energies de la Loire, fondé en 1950, confie ce réseau à un concessionnaire (ErDF) qui doit en assurer l'exploitation (distribution d'électricité) et l'entretien. - Un peu d'histoire, - Le réseau électrique se divise en deux grandes catégories (Haute, Basse et moyenne tension)[-]
Historiquement, les résaux de distribution d'électricité appartiennent aux communes. Celles-ci ont créé le SIEL qui a en charge de gérer ce patrimoine pour leur compte. Le syndicat Intercommunal d'Energies de la Loire, fondé en 1950, confie ce réseau à un concessionnaire (ErDF) qui doit en assurer l'exploitation (distribution d'électricité) et l'entretien. - Un peu d'histoire, - Le réseau électrique se divise en deux grandes catégories (Haute, ...[+]

Commune / Ville ; Concession ; CRE ; Distribution de l'électricité ; Électricité ; Gestion ; Aspect historique ; Maintenance / Entretien ; Patrimoine ; Principe de fonctionnement ; Réseau électrique ; Service public ; Société d'exploitation ; Syndicat Intercommunal d'énergie ; Transport de l'électricité

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- n° 41109
Cote CLER : A2
Equipée de 833 modules photovoltaïques et de 25 onduleurs, la centrale dispose d'une puissance de 200 kWc soit, une capacité de production d'électricité de 240 000 kWh par an. L'électricité produite par la centrale sera injectée directement dans le réseau EDF au tarif d'achat d'intégration au bâti. Ce projet représente un investissement d'1 million d'euros pour un chiffre d'affaires estimé à 150 000 euros par an. http://www.ciel-et-terre.net/

Centrale photovoltaïque ; Céréale ; Intégration architecturale ; Plate-forme logistique ; Provence Alpes Côte d'Azur ; Puissance installée ; Réalisation ; Silo ; Société d'exploitation

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- n° 193
Cote CLER : C4
Le premier juillet dernier, un agriculteur de Lassay-les-Châteaux (53) a mis en service une installation solaire d'une puissance de 206 kWc. Selon Solar Diffusion (fournisseur de l'installation) à partir de 100 000€ d'investissement, les agriculteurs français ont intérêt, pour des raisons fiscales, à exploiter leur installation solaire par le biais d'une société.

Agriculteur ; Batiment agricole ; Entreprise ; Fournisseur / Distributeur ; Installateur ; Pays de la Loire ; Puissance installée ; Réalisation ; Société d'exploitation ; Solaire photovoltaïque

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- n° 170909
Cote CLER : A2
Le 10 septembre dernier, ont commencé les travaux de construction d'une usine de méthanisation sur le territoire de la communauté de communes du Mené dans les Côtes d'Armor. Baptisé Geotexia, le projet a été initié par des habitants regroupés au sein de l'association Mené Initiatives Rurales. Il a très vite reçu l'appui des 32 agriculteurs de la coopérative CUMA Mené Energie en manque de place pour l'épandage de leurs effluents. Ces derniers, épaulés par l'Association d'Initiatives Locales pour l'Energie et l'Environnement et l'Ademe, ont à leur tour réussi à convaincre les industries agroalimentaires de la région de traiter ensemble leurs effluents et co-produits. Après 10 ans de montage technique et administratif, de réunions publiques et de discussions avec les associations de protection de l'environnement et les riverains, la réflexion aboutit aujourd'hui à la construction d'une usine de méthanisation capable d'accueillir à la fois des déchets organiques d'origines agricoles, municipales et industrielles. Au total, l'usine Géotexia accueillera 75.000 tonnes de déchets dont 35.000 tonnes de lisiers et 40.000 tonnes de matières d'agro-industries et de collectivités. Ces déchets seront mélangés dans un méthaniseur. L'unité de traitement permettra de valoriser les déchets sous forme de biogaz qui alimentera deux turbines de production d'électricité de 1,3 MW. Cette électricité sera revendue à EDF et injectée sur le réseau. Le résidu de la méthanisation (digestat) sera ensuite centrifugé. La partie solide sera valorisée sous forme de compost. Au final, l'unité de traitement devrait en produire 7.000 tonnes par an. La partie liquide (3.000 tonnes par an) sera quant à elle épurée sur place. Avec une teneur en nitrates inférieure à 10 mg/l, cette eau devrait servir à irriguer 14 hectares de cultures énergétiques pérennes, principalement des taillis à très courte rotation de saule. Ces plantations serviront à l'alimentation de chaufferies bois industrielles locales. Le projet Geotexia est porté par trois actionnaires regroupés au sein d'une société du même nom Geotexia Mené : la Cuma Mené Energie (34%), le groupe IDEX (32%) qui sera également l'exploitant de l'usine et la Caisse des dépôts et consignations (34%). 14,6 millions d'euros sont nécessaires à la réalisation de l'usine. L'Ademe, l'Agence de l'eau et le Feder subventionnent le projet à hauteur de 29% des investissements. Le reste sera financé par l'emprunt (Crédit agricole, Crédit Mutuel de Bretagne, OSEO et le Crédit Coopératif). Le Conseil Régional de Bretagne et le Conseil Général des Côtes d'Armor ont garanti les emprunts à hauteur de 1 million d'euros et la communauté de communes du Mené a cédé le terrain de construction à Géotexia. L'exploitation du site débutera en mai 2011 pour un chiffre d'affaires prévisionnel de 4 millions d'euros avec 4 salariés au démarrage. La méthanisation collective encore rare en France : L'usine Geotexia sera l'une des premières en France à mettre en application le principe de la « méthanisation collective » ou « centralisée ». Outre les avantages intrinsèques à la méthanisation que sont la production d'énergie renouvelable, la limitation des émissions de gaz à effet de serre et notamment du méthane et le retour au sol de la matière organique, la méthanisation collective est particulièrement intéressante pour les élevages et entreprises de petite et moyenne taille, pour lesquelles une solution individuelle performante est hors de portée financière. Les économies d'échelle qu'elle permet améliorent la rentabilité économique des projets, l'un des principaux freins au développement de la méthanisation en France. Toutefois, il ne faut pas perdre de vue que ces installations sont des équipements industriels qui peuvent avoir des impacts sur leur environnement au même titre qu'une usine de traitement classique. La mutualisation des déchets va souvent de pair avec des installations de grandes tailles qui nécessitent les autorisations adéquates et par conséquent des montages administratifs plus longs. Une taille conséquente peut également inquiéter les riverains. Un projet similaire prévu en 2004 à Lannilis dans le Finistère a d'ailleurs été avorté face à la colère des habitants. Cette usine aurait traité plus du double de lisier et de déchets que ce qui est prévu pour Géotexia. Près d'une soixantaine d'agriculteurs y étaient associés.[-]
Le 10 septembre dernier, ont commencé les travaux de construction d'une usine de méthanisation sur le territoire de la communauté de communes du Mené dans les Côtes d'Armor. Baptisé Geotexia, le projet a été initié par des habitants regroupés au sein de l'association Mené Initiatives Rurales. Il a très vite reçu l'appui des 32 agriculteurs de la coopérative CUMA Mené Energie en manque de place pour l'épandage de leurs effluents. Ces derniers, ...[+]

Actionnaire / Action ; Agriculteur ; Agroalimentaire ; Biogaz ; Bretagne ; Chaufferie bois ; Collectivité locale ; Commune / Ville ; Concertation sociale ; Coopérative ; Coproduit / Sous-produit ; Coût d'investissement ; Déchet ; Déchet agricole ; Déchet industriel ; Déchet ménager ; Déchet organique ; Effluent ; Exploitation ; Industrie ; Installation collective ; Lisier / Excrément animal ; Production d'électricité ; Réalisation ; Société d'exploitation ; Tailli Courte Rotation - TCR / TTCR ; Turbine à gaz ; Usine de méthanisation

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- n° 603
Cote CLER : B4
Objectif : encourager les collectivités et les constructeurs publics et privés dans ce créneau en assurant le portage financier des opérations. Regroupant le Conseil général et une très grande partie des communes du département, la société d'économie mixte a d'abord créé deux filiales fin 2008 : Solaire des Alpes et Chaleur des Alpes. Au moment où de nombreuses collectivités qui se tournent vers le renouvelable sont freinées dans leur démarche par l'ampleur des investissements, elle a voulu mettre en place un outil de portage financier capable d'investir dans des installations rentables sur le long terme. En partenariat avec des professionnels reconnus (EDF pour le solaire et Idex pour l'exploitation de réseaux de chaleur), les deux filiales de la Sehds conçoivent, construisent et exploitent des installations d'énergies renouvelables pour le compte des collectivités et du secteur privé (promoteurs, industriels, ...). Et la demande est au rendez-vous ! Des projets de toutes tailles : Depuis le lancement de l'initiative, les projets de toutes tailles fleurissent, depuis la toiture photovoltaïque de l'école de musique de Bons en Chablais (300 m2) jusqu'à celle du futur hôpital de la Roche sur Foron (2 000 m2) en passant par le réseau de chauffage au bois de l'éco-quartier de Viry. Ce dernier est la première grande opération combinant les métiers de base de la société d'économie mixte, l'aménagement, et ses nouvelles compétences. Le quartier comptera 700 logements, une école, un centre culturel et un Ehpad (Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes), où les constructeurs se verront systématiquement proposer l'installation d'un toit photovoltaïque par Solaire des Alpes. En étendant progressivement cette logique à l'ensemble de ses opérations, la Sedhs compte poser entre 10 000 et 15 000 m2 de panneaux solaires dans les 5 ans. « Nous souhaitons que le photovoltaïque devienne un réflexe pour les bâtiments neufs », explique Philippe Gouyou-Beauchamps, directeur de la société, rappelant qu' « en couvrant tous les toits d'une ville orientés au Sud, on peut produire 30 % de son énergie domestique (étude OCDE 2003), ce qui est loin d'être négligeable ! ».[-]
Objectif : encourager les collectivités et les constructeurs publics et privés dans ce créneau en assurant le portage financier des opérations. Regroupant le Conseil général et une très grande partie des communes du département, la société d'économie mixte a d'abord créé deux filiales fin 2008 : Solaire des Alpes et Chaleur des Alpes. Au moment où de nombreuses collectivités qui se tournent vers le renouvelable sont freinées dans leur démarche ...[+]

Bâtiment public ; Bois énergie ; Collectivité locale ; Démarche administrative ; Ecoquartier ; Établissement de santé ; Établissement scolaire ; Financement ; Logement ; Maison de retraite ; Montage / accompagnement de projet ; Objectif ; Réalisation ; Réseau de chaleur ; Rhône Alpes ; Société / Compagnie ; Société d'exploitation ; Solaire photovoltaïque ; Surface installée

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