En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents Prix du CO2 17 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 8
Cote CLER : C5
Pas de surcoût de l'énergie éolienne : Le Grenelle de l'environnement prévoit dans son plan de développement des énergies renouvelables une production de 59 TWh d'électricité d'origine éolienne. Pour réaliser ce programme, les investissements s'élèveraient à 22 milliards d'euros pour l'éolien terrestre et à 14 milliards d'euros pour l'éolien maritime. La rentabilité de ces nouvelles énergies est liée aux prix du baril de pétrole. Plus le baril est cher et plus les nouvelles énergies sont rentables. Avec l'hypothèse d'un baril de pétrole à 150 $ en 2020, le prix de l'électricité serait d'environ 85 $/MWh. Ainsi, l'énergie éolienne couterait 4,9 milliards d'euros de plus que l'énergie produite d'une manière conventionnelle puisque le mégawatheure éolien couterait encore 82 $/MWh en 2020. Heureusement, l'éolien est une énergie propre : cette production éviterait le rejet de 5,4 millions de tonnes de CO2 par an. Ces émissions de gaz à effet de serre ont un coût (30 € par tonne aujourd'hui, 100 € en 2030). L'avantage environnemental se chiffrerait donc à 3,9 milliards d'euros. Avec l'hypothèse d'un baril de pétrole à 150 $, le bilan global de l'énergie éolienne est donc légèrement négatif (perte de 1 milliard d'euros par rapport à une production classique). Compte tenu des incertitudes, on peut considérer que l'énergie éolienne n'est pas rentable mais qu'elle n'entraîne pas non plus de surcoût. Un bilan global négatif de l'énergie solaire Cette fois, pour réaliser le programme de développement préconisé par le grenelle, les investissements seraient de 19 milliards d'euros pour produire 5,3 TWh d'origine photovoltaïque. Comme un mégawatt électrique d'origine solaire couterait 290 € (moyenne entre 2007 et 2020), le surcoût de cette production serait de 10,8 milliards d'euros, avec la même hypothèse que précédemment sur le prix du baril de pétrole (150 $). Or l'avantage environnemental se chiffrerait à 0,5 milliard d'euros. Ainsi, le bilan global du photovoltaïque est très fortement négatif. En résumé, si cette production favorise la création d'emplois et minimise notre impact sur l'environnement, elle imposera un surcoût aux consommateurs et à l'économie française. Cela se traduira par une hausse des tarifs ainsi que par une baisse du pouvoir d'achat. Mais, plus le prix du pétrole augmentera et plus ce choix sera légitime. C'est une manière d'augmenter notre indépendance énergétique. Un tableau résume l'analyse coûts-bénéfices selon trois hypothèses d'environnement économique: L'étude : http://www.coe-rexecode.fr/public/content/download/29269/291100/version/2/file/Document-travail-12-oct2009.pdf http://www.coe-rexecode.fr/public/Analyses-et-previsions/Documents-de-travail/Evaluation-socio-economique-du-programme-de-production-d-electricite-eolienne-et-photovoltaique[-]
Pas de surcoût de l'énergie éolienne : Le Grenelle de l'environnement prévoit dans son plan de développement des énergies renouvelables une production de 59 TWh d'électricité d'origine éolienne. Pour réaliser ce programme, les investissements s'élèveraient à 22 milliards d'euros pour l'éolien terrestre et à 14 milliards d'euros pour l'éolien maritime. La rentabilité de ces nouvelles énergies est liée aux prix du baril de pétrole. Plus le baril ...[+]

Électricité renouvelable ; Éolien ; Généralité énergie renouvelable ; Impact environnemental ; Inconvénient ; Investissement ; Prix du CO2 ; Prix du pétrole ; Rentabilité ; Scénario ; Solaire photovoltaïque ; Surcoût

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 110309
Cote CLER : B4
Contraction de l'activité industrielle, baisse des émissions de gaz à effet de serre et chute du cours de la tonne de CO2. Durant les mois de janvier et février, la tonne de CO2 s'est échangée entre 8 et 10 euros. Loin de la vingtaine d'euros atteints l'été dernier, avant que la crise ne se fasse véritablement sentir. Une telle baisse des cours de la tonne de CO2, certes dans des proportions moindres, n'avait pas eu lieu depuis 2006, pendant la première période-test du marché européen du carbone (ETS, 2005-2007). Les industriels soumis à l'ETS s'étaient vu sur-allouer des quotas.[-]
Contraction de l'activité industrielle, baisse des émissions de gaz à effet de serre et chute du cours de la tonne de CO2. Durant les mois de janvier et février, la tonne de CO2 s'est échangée entre 8 et 10 euros. Loin de la vingtaine d'euros atteints l'été dernier, avant que la crise ne se fasse véritablement sentir. Une telle baisse des cours de la tonne de CO2, certes dans des proportions moindres, n'avait pas eu lieu depuis 2006, pendant la ...[+]

CO2 / Dioxyde de carbone ; Marché Européen des Quotas CO2 ; Prix du CO2

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 267
Cote CLER : B2
Le crédit d'impôt dédié aux économies d'énergie dans le secteur résidentiel a coûté à l'État presque 1 Md € en 2006, dont plus de la moitié pour financer des équipements en fenêtres. La tonne de CO2 économisée lui est ainsi revenue à 137 €.

Appareil de chauffage ; Bilan ; Bois énergie ; Budget ; Chaudière ; Chaudière à condensation ; Chauffage bois ; Chiffre clé ; CO2 evité ; Crédit d'impôt ; Vitrage ; Isolant thermique ; Pompe à chaleur ; Prix du CO2 ; Réalisation ; Secteur résidentiel ; Solaire thermique

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 179
Cote CLER : C4
La compensation carbone constitue le premier volet de ce dossier consacré à de nouveaux acteurs de l'environnement. Désormais, les réductions d'émissions de gaz à effet de serre sont une monnaie d'échange. Pour les gros industriels, tenus de limiter leurs émissions de CO2, comme pour les particuliers ou les entreprises, volontaires pour le faire.

Bilan carbone ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Plan National Allocation Quotas / PNAQ ; Prix du CO2

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 253
Cote CLER : A1
Les questions environnementales montent en puissance dans le débat public français, européeen et mondial. Mais en pratique, la lutte contre le changement climatique piétine. Quatorze ans après Rio, les émissions de gaz à effet de serre explosent au Sud et le Nord est incapable de réduire les siennes. La marche arrière de certains pays, les incertitudes sur le prix du CO2 et l'incapacité à s'étendre sur l'après-Kyoto n'engagent pas à l'optimisme.

Changement climatique ; Chiffre clé ; Combustion ; Débat public ; Energie fossile ; Europe ; Région française administrative ; Gaz à Effet de Serre / GES ; International ; Objectif ; Prix du CO2 ; Protocole de Kyoto

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 14
Cote CLER : B1
Du 6 au 17 novembre s'est tenue à Nairobi (Kenya) la 2ème rencontre des parties du protocole de Kyoto, en même temps que la 12ème session de la Conférence des partie de la conventin sur le changement climatique.

Bilan ; Changement climatique ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Conférence / Colloque ; Écotaxe ; Effet de serre ; Gaz à Effet de Serre / GES ; International ; Kenya ; Marché Européen des Quotas CO2 ; Plan National Allocation Quotas / PNAQ ; Prix du CO2 ; Protocole de Kyoto ; Réchauffement climatique ; Système d'échange (GES)

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 375
Cote CLER : A4
Réunis lors du colloque de l'ATEE sur les quotas de CO2, plusieurs acteurs de ce marché en ont décortiqués les premiers pas et les évolutions futures. Les incertitudes pesant sur le comportement des opérateurs, sur la question des surplus de quotas, et même l'influence de l'activité économique ou des conditions climatiques rendent tout pronostic bien aléatoire.

CO2 / Dioxyde de carbone ; Marché Européen des Quotas CO2 ; Plan National Allocation Quotas / PNAQ ; Prix de l'electricité ; Prix du CO2

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 23
Cote CLER : C1
La question n'est pas (encore) à l'ordre du jour en Région wallone, mais la Flandre y songe sérieusement. Histoire d'accélérer la mise à niveau énergétique des bâtiments que l'on sait cruciale dans le débat climatique actuel.

Architecte ; Bâtiment ; Belgique ; Besoin énergétique ; Chauffage ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Économie d'énergie ; Étanchéité ; Logement ; Objectif ; Prix du CO2 ; Taxe ; Ventilation

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 090210
Cote CLER : B4
Annoncée le 20 janvier en Conseil des ministres (1), la concertation avec les entreprises, les partenaires sociaux, les associations et les élus a pour but de répondre à la censure de la taxe par le Conseil constitutionnel en décembre dernier. Les Sages s'étaient opposés à l'exemption des industries les plus polluantes soumises au marché européen du carbone (ETS), mais qui reçoivent des quotas de CO2 gratuits jusqu'en 2013 (2). Le document mis en ligne par le Meeddm indique qu'une contribution carbone sera appliquée jusqu'au 1er janvier 2013 aux installations soumises aux quotas –2012 pour le secteur aérien, soumis à l'ETS à cette date (3). Toutefois, des dispositifs pour certains secteurs sensibles seront mis en place afin de préserver leur compétitivité. D'après le rapport, une taxe de 17 euros par tonne de CO2 (€/tCO2) représenterait en moyenne 0,7% de la valeur ajoutée (VA) des industries manufacturières. Cette part est bien plus importante pour certains secteurs: jusqu'à 15,4% pour les producteurs d'engrais et 10,4% pour la sidérurgie. Plus de 40 sous-secteurs devraient payer un montant de taxe équivalent à plus de 1% de leur VA. Première option envisagée: un taux réduit pour les entreprises les plus exposées à la concurrence internationale et sous forte contrainte énergétique. D'après Les Echos du 5 février, le ministre de l'écologie Jean-Louis Borloo défendrait une taxe de 10% au-delà de 0,6% de VA, de 20% au-delà de 0,2%, et intégrale en deçà. Bercy plaiderait en revanche pour une taxe de 20%, plafonnée à 0,5 % de la valeur ajoutée. Ces chiffres ne figurent pas dans le document de concertation. Deuxième option: un principe de bonus-malus avec une restitution forfaitaire, visant à favoriser les entreprises les plus performantes, sur le modèle d'un dispositif proposé au Royaume-Uni. En outre, en cas d'épuisement des quotas alloués gratuitement, et pour prévenir un système de «double peine», le rapport avance l'idée de déduire le montant de la taxe carbone de l'achat des quotas par les entreprises concernées. Trois secteurs font l'objet d'un traitement spécifique. Le secteur aérien pourrait payer la taxe à 100% pour les vols intérieurs, mais le montant global estimé à 33 millions € pourrait être compensé par une baisse de charges à «due concurrence» pesant sur le secteur. Si les électricités nucléaire et renouvelable demeurent exemptées, les centrales thermiques (charbon, fioul, gaz naturel) devraient désormais être taxées, mais à un taux réduit, peut-être de 80% en 2010, à réévaluer en 2011 et 2012, comme suggère le rapport, afin d'éviter de pénaliser les entreprises nationales ou la délocalisation de la production. Le chauffage urbain se verrait assujetti à une taxe de 17 €. Le gouvernement rappelle enfin qu'il défendra la mise en place d'une contribution carbone ainsi que d'un système d'inclusion carbone à l'échelle européenne, afin de limiter le risque de fuites de carbone (4). Comme annoncé le 20 janvier, le futur dispositif maintient le tarif de 17 €/tCO2, la compensation pour les ménages ainsi que les taxations partielles transitoires pour l'agriculture, la pêche et le transport de marchandises. La nouvelle taxe carbone sera soumise au Parlement, pour une entrée en vigueur le 1er juillet 2010. Pour Arnaud Gossement, porte-parole du Réseau environnement & droit (RED), le gouvernement a préféré «replâtrer» plutôt que «réformer» la taxe carbone. «Le projet du gouvernement se caractérise davantage par la recherche d'une compensation intégrale de l'extension de la taxe carbone que par l'étude du bénéfice environnemental du nouveau mécanisme». Le RED déplore que la mesure soit centrée sur la problématique du carbone et non sur celle de la baisse des consommations d'énergie. Les autres limites, selon le RED, tiennent à «la complexité du dispositif, à son manque de lisibilité, au maintien d'exemptions et à l'absence de progressivité du taux».[-]
Annoncée le 20 janvier en Conseil des ministres (1), la concertation avec les entreprises, les partenaires sociaux, les associations et les élus a pour but de répondre à la censure de la taxe par le Conseil constitutionnel en décembre dernier. Les Sages s'étaient opposés à l'exemption des industries les plus polluantes soumises au marché européen du carbone (ETS), mais qui reçoivent des quotas de CO2 gratuits jusqu'en 2013 (2). Le document mis ...[+]

Association ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Collectivité locale ; Concertation sociale ; Élu local ; Entreprise ; Plan National Allocation Quotas / PNAQ ; Politique énergétique ; Politique environnementale ; Prix du CO2 ; Secteur industriel ; Taxe Carbone ; Transport aérien

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 50 p.
Cote CLER : en ligne
ETUDE EN LIGNE
Dans un scénario à fort développement des énergies renouvelables (EnR) dans le mix électrique, le Power2X a deux principaux avantages : il offre des réponses pour gérer la variabilité de leur production, ou les stocker ; il permet également de remplacer les combustibles fossiles par l'électricité produite par les EnR. Utilisé en priorité dans les périodes où l'électricité produite par les EnR sera la plus abondante, le Power2X permet donc de valoriser une électricité renouvelable pour fournir de l'énergie (chaleur, gaz, hydrogène) à un prix qui peut être d'autant plus compétitif que le CO2 a un prix élevé.

Cette étude montre qu'à l'horizon 2050 et dans l'hypothèse d'un parc électrique à très forte proportion d'EnR (80% minimum), l'intérêt économique de la décarbonation par les EnR électriques dépend du prix du CO2 (ou du prix du gaz fossile) :

- A un niveau de 100 €/tCO2, les débouchés possibles sont la chaleur et l'hydrogène ;
- A des niveaux de taxation supérieurs (à partir de 300 €/tCO2), la principale valorisation est celle de production de méthane de synthèse : avec l'augmentation du prix du CO2, il devient plus intéressant de produire du gaz à partir d'électricité renouvelable pour remplacer du gaz fossile carboné.[-]
ETUDE EN LIGNE
Dans un scénario à fort développement des énergies renouvelables (EnR) dans le mix électrique, le Power2X a deux principaux avantages : il offre des réponses pour gérer la variabilité de leur production, ou les stocker ; il permet également de remplacer les combustibles fossiles par l'électricité produite par les EnR. Utilisé en priorité dans les périodes où l'électricité produite par les EnR sera la plus abondante, le Power2X ...[+]

Organisme ; Électricité renouvelable ; Scénario ; Chaleur ; Gaz ; Hydrogène ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Prix du CO2 ; Prospective / Prévision ; Chiffre clé ; #100%RE

Sélection