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ARTICLE EN LIGNE
La ponction atteindra 245 euros en 2020, selon une étude du ministère de l'Ecologie. Les ruraux et les familles monoparentales comptent au rang des plus pénalisés.

Taxe ; Surcoût ; Budget ; Fiscalité ; Taxe Carbone ; Particulier / Ménage ; Politique énergétique ; Fiscalité ; Facture énergétique ; Précarité énergétique ; Collectivité locale ; Maitrise De l'Énergie - MDE ; Gaz ; Chauffage fioul

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ARTICLE EN LIGNE
Si le projet de décret actuellement en consultation est signé, les copropriétés en chauffage collectif vont devoir équiper tous leurs radiateurs de répartiteurs de frais de chauffage. C'est le jackpot pour les prestataires, mais un surcoût inutile pour les millions de ménages concernés.

Chauffage ; Surcoût ; Chauffage collectif ; Décret ; Projet ; Copropriété / Propriétaire ; Réglementation ; Bâtiment

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Par un arrêt rendu le 15 mai, le Conseil d'Etat vient de surseoir à statuer et de prononcer le renvoi préjudiciel devant la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) sur la question de la qualification de l'arrêté tarifaire du 17 novembre 2008 en tant qu'aide d'Etat.

L'Etat, en défense dans ce dossier, a rappelé que l'arrêté tarifaire avait bien été communiqué, par la France, à la Commission européenne, au même titre que les autres outils de soutien aux énergies renouvelables, notamment dans le cadre du Plan d'action national, premier document remis par les Etats membres à la Commission durant l'été 2010, à la suite de l'adoption de la directive européenne relative à la promotion et à l'utilisation des énergies renouvelables.

Fabrice Cassin, avocat associé chez CGR Legal et par ailleurs vice-Président de France Energie Eolienne (FEE), la branche éolien du Syndicat des Energies Renouvelables (SER) donne son analyse sur cette décision, maintenant l'incertitude sur la filière éolienne tant que la CJUE ne se sera pas prononcée et cela pourrait prendre deux ans...

Le Conseil d'Etat a retenu que la question est de savoir « si, compte tenu du changement de mode de financement de la compensation des surcoûts imposés à Electricité de France et aux distributeurs non nationalisés à raison de l'obligation d'achat de l'électricité produite par les installations utilisant l'énergie mécanique du vent à un prix supérieur au prix de marché de cette électricité (…), ce mécanisme doit désormais être regardé comme une intervention de l'Etat au moyen de ressources d'Etat au sens et pour l'application des stipulations de l'article 87 du traité instituant la Communauté européenne ». Dans la mesure où il s'agit d'une question « déterminante pour la solution du litige » et qu'elle « présente une difficulté sérieuse », la CJUE doit donner son interprétation des textes.

Le Conseil d'Etat s'est ainsi référé aux évolutions de la jurisprudence de la CJCE sur les aides d'Etat, ainsi qu'il ressort de l'arrêt du 17 juillet 2008 (aff. C-206/06, Essent Netwerk Noord BV), et aux évolutions du mécanisme français de compensation de l'acheteur public de l'électricité produite par les installations éoliennes.

Le Rapporteur public, au cours de l'audience du 12 mars 2012, avait considéré que ces évolutions conduisaient à qualifier le mécanisme de soutien mis en place par l'arrêté tarifaire d'aide d'Etat dès lors que la CSPE est désormais financée non plus par les seuls producteurs, fournisseurs et distributeurs mais par les consommateurs d'électricité. L'Etat aurait la maîtrise de tels fonds issus d'un prélèvement de caractère obligatoire. En l'absence de notification d'une telle aide à la Commission européenne, le magistrat avait conclu à l'illégalité de la procédure d'adoption de l'arrêté.

Dans une note en délibéré, le Ministère avait expressément demandé que le Conseil d'Etat saisisse la CJUE de cette question, ce qui paraît avoir fait douter le Conseil d'Etat qui n'a eu d'autre choix que de renvoyer cette question délicate à la juridiction communautaire.

Cette décision maintient donc l'incertitude tant que la CJUE ne s'est pas prononcée.

On doit regretter que la décision de la CJCE de juillet 2008 sur laquelle le Conseil d'Etat s'est appuyé a été rendue avant que cette même juridiction ne se prononce une première fois, le 6 août 2008, sur la légalité de l'arrêté tarifaire éolien. La Haute Juridiction n'avait alors pas tenu compte de cette décision communautaire et n'avait pas statué sur ce point. Seule la non consultation du Conseil supérieur de l'Energie avait alors justifié l'annulation de l'arrêté précédent. La bonne administration de la justice a cédé devant le principe de l'économie de moyens.

Dans l'attente de la décision de la CJUE, l'arrêté tarifaire du 17 novembre 2008 demeure en vigueur et les contrats d'obligation d'achat peuvent être signés sur son fondement.

Surtout, par sa décision du 15 mai, le Conseil d'Etat a tenu à se prononcer sur le fond et a validé le niveau de tarif.

La Haute Juridiction a relevé qu'aucune erreur manifeste n'avait été commise « dans l'évaluation de la rémunération moyenne des capitaux immobilisés dans les installations utilisant l'énergie mécanique du vent » compte tenu « des aléas qui s'attachent aux hypothèses de rentabilité des investissements en cause » et « de la diversité des caractéristiques du financement des projets ».

On se réjouit que le Conseil d'Etat ait pris en compte les réalités d'une filière et se soit ainsi prononcé sur le fond, au-delà de la question procédurale de notification à la Commission européenne.

On peut espérer que le nouveau gouvernement saura donner les signaux positifs immédiats en réaffirmant son soutien au développement de la filière. C'est à cette condition qu'il peut espérer respecter les objectifs éoliens du Grenelle et du Paquet « énergie climat ».

http://www.enerzine.com/3/13952+la-filiere-eolienne-francaise-entre-dans-une-periode-dincertitude+.html[-]
Par un arrêt rendu le 15 mai, le Conseil d'Etat vient de surseoir à statuer et de prononcer le renvoi préjudiciel devant la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) sur la question de la qualification de l'arrêté tarifaire du 17 novembre 2008 en tant qu'aide d'Etat.

L'Etat, en défense dans ce dossier, a rappelé que l'arrêté tarifaire avait bien été communiqué, par la France, à la Commission européenne, au même titre que les autres outils de ...[+]

Éolien ; Région française administrative ; Commission européenne ; Tarif d'achat ; Tarif réglementé ; Aspect juridique ; Surcoût ; Électricité ; Fournisseur / Distributeur ; Consommateur d'électricité

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- n° 8
Cote CLER : C5
Pas de surcoût de l'énergie éolienne : Le Grenelle de l'environnement prévoit dans son plan de développement des énergies renouvelables une production de 59 TWh d'électricité d'origine éolienne. Pour réaliser ce programme, les investissements s'élèveraient à 22 milliards d'euros pour l'éolien terrestre et à 14 milliards d'euros pour l'éolien maritime. La rentabilité de ces nouvelles énergies est liée aux prix du baril de pétrole. Plus le baril est cher et plus les nouvelles énergies sont rentables. Avec l'hypothèse d'un baril de pétrole à 150 $ en 2020, le prix de l'électricité serait d'environ 85 $/MWh. Ainsi, l'énergie éolienne couterait 4,9 milliards d'euros de plus que l'énergie produite d'une manière conventionnelle puisque le mégawatheure éolien couterait encore 82 $/MWh en 2020. Heureusement, l'éolien est une énergie propre : cette production éviterait le rejet de 5,4 millions de tonnes de CO2 par an. Ces émissions de gaz à effet de serre ont un coût (30 € par tonne aujourd'hui, 100 € en 2030). L'avantage environnemental se chiffrerait donc à 3,9 milliards d'euros. Avec l'hypothèse d'un baril de pétrole à 150 $, le bilan global de l'énergie éolienne est donc légèrement négatif (perte de 1 milliard d'euros par rapport à une production classique). Compte tenu des incertitudes, on peut considérer que l'énergie éolienne n'est pas rentable mais qu'elle n'entraîne pas non plus de surcoût. Un bilan global négatif de l'énergie solaire Cette fois, pour réaliser le programme de développement préconisé par le grenelle, les investissements seraient de 19 milliards d'euros pour produire 5,3 TWh d'origine photovoltaïque. Comme un mégawatt électrique d'origine solaire couterait 290 € (moyenne entre 2007 et 2020), le surcoût de cette production serait de 10,8 milliards d'euros, avec la même hypothèse que précédemment sur le prix du baril de pétrole (150 $). Or l'avantage environnemental se chiffrerait à 0,5 milliard d'euros. Ainsi, le bilan global du photovoltaïque est très fortement négatif. En résumé, si cette production favorise la création d'emplois et minimise notre impact sur l'environnement, elle imposera un surcoût aux consommateurs et à l'économie française. Cela se traduira par une hausse des tarifs ainsi que par une baisse du pouvoir d'achat. Mais, plus le prix du pétrole augmentera et plus ce choix sera légitime. C'est une manière d'augmenter notre indépendance énergétique. Un tableau résume l'analyse coûts-bénéfices selon trois hypothèses d'environnement économique: L'étude : http://www.coe-rexecode.fr/public/content/download/29269/291100/version/2/file/Document-travail-12-oct2009.pdf http://www.coe-rexecode.fr/public/Analyses-et-previsions/Documents-de-travail/Evaluation-socio-economique-du-programme-de-production-d-electricite-eolienne-et-photovoltaique[-]
Pas de surcoût de l'énergie éolienne : Le Grenelle de l'environnement prévoit dans son plan de développement des énergies renouvelables une production de 59 TWh d'électricité d'origine éolienne. Pour réaliser ce programme, les investissements s'élèveraient à 22 milliards d'euros pour l'éolien terrestre et à 14 milliards d'euros pour l'éolien maritime. La rentabilité de ces nouvelles énergies est liée aux prix du baril de pétrole. Plus le baril ...[+]

Électricité renouvelable ; Éolien ; Généralité énergie renouvelable ; Impact environnemental ; Inconvénient ; Investissement ; Prix du CO2 ; Prix du pétrole ; Rentabilité ; Scénario ; Solaire photovoltaïque ; Surcoût

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- n° 859
Cote CLER : A3
31 maisons individuelles basse consommation ont été réalisées à Cormeilles-en-Parisis (95). Lancé en 2006, ce programme de maisons basse consommation a été étudié sur la base du label suisse Minergie. La consommation maxiamle des maisons n'excède pas 42 kWhep/m2.an.

Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Certification ; Chauffe eau solaire ; Consommation d'énergie ; Ile-de-France ; Isolation ; Label de performance ; Lotissement ; Maison individuelle ; Minergie ; Plancher chauffant ; Ratio énergétique ; Réalisation ; Surcoût ; Ventilation double flux

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- n° 6
Cote CLER : A2
"Le groupe Rehau vient de déménager son agence commerciale de Metz à Morhange, dans un nouveau bâtiment pilote qui assure deux fonctions. Il constitue à la fois une vitrine des solutions Rehau en matière d'efficacité énergétique et d'EnR et s'inscrit dans un projet local de Maison des énergies de demain (""Domofutura"") porté par la communauté de communes du Centre Mosellan."

Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Bâtiment tertiaire ; Centre de démonstration ; Chauffe eau solaire ; Chiffre clé ; Consommation d'énergie ; Coût d'investissement ; Éclairage ; Entreprise ; Isolation extérieure ; Lorraine ; Pompe à chaleur ; Réalisation ; Sensibilisation ; Surcoût ; Temps de retour ; Ventilation double flux

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- n° 250609
Cote CLER : B4
Dans ce communiqué, l'agence dresse aussi un «bilan prometteur» des bâtiments basse consommation. Selon elle, plus de 250 projets démonstrateurs ont été sélectionnés dans le cadre du Programme de recherche et d'expérimentations sur l'énergie dans le bâtiment (Prebat). Ils représentent près de 550 bâtiments, soit 2 200 logements et 105 bâtiments tertiaires correspondant à 170 000m2. 60 projets portent en totalité ou en partie sur la réhabilitation de bâtiments existants, selon le communiqué. Seuls 4 concernent des bâtiments à énergie positive. 55% des projets bénéficient d'une isolation thermique renforcée des toitures et des parois et, «de plus en plus», d'une isolation par l'extérieur (55%) et de triple vitrage (18%). 20% bénéficient de matériaux d'origine renouvelables (ouate de cellulose et fibres de bois pour l'isolation). 90% des projets résidentiels ont recours au solaire thermique pour l'eau chaude sanitaire, 55% des projets tertiaires ont recours au photovoltaïque. L'agence évalue le surcoût médian de construction des bâtiments neufs à 15% (soit 1 420 euros hors taxe/m2) par rapport au coût moyen de la construction. Dans le cadre de cet observatoire, une base de données des projets Prebat sera mise en ligne, afin de diffuser les meilleures solutions et réduire à 5% les surcoûts engendrés par la future réglementation thermique. Enfin, de nouveaux appels à projet régionaux devraient être lancés dans les prochains mois visant 1 000 bâtiments et maisons démonstrateurs basse consommation ou à énergie positive d'ici fin 2010. http://www.observatoirebbc.org/site/ObservatoireBBC/[-]
Dans ce communiqué, l'agence dresse aussi un «bilan prometteur» des bâtiments basse consommation. Selon elle, plus de 250 projets démonstrateurs ont été sélectionnés dans le cadre du Programme de recherche et d'expérimentations sur l'énergie dans le bâtiment (Prebat). Ils représentent près de 550 bâtiments, soit 2 200 logements et 105 bâtiments tertiaires correspondant à 170 000m2. 60 projets portent en totalité ou en partie sur la réha...[+]

Appel à projet ; Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Bilan ; Chauffe eau solaire ; Construction ; Vitrage ; Région française administrative ; Isolation ; Isolation extérieure ; Matériau sain ; Observatoire ; Réalisation ; Recensement / Inventaire ; Réglementation thermique ; Site Internet ; Solaire photovoltaïque ; Surcoût

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- n° 397
Cote CLER : B1
"Dans le cadre du PREBAT, programme de recherche et d'expérimentations sur l'énergie dans le bâtiment, l'Ademe accompagne ce secteur en apportant notamment son soutien à des opérations exemplaires. Ces expérimentations ont en ligne de mire les objectifs nationaux définis pour le bâtiment. - Une rénovation accélérée du parc existant pour réduire les consommations énergétiques d'au moins 38 % d'ici 2020 - La généralisation des bâtiments basse consommation dans le neuf, dès fin 2010 pour les bâtiments publics et tertiaire et dès fin 2012 pour tous les bâtiments résidentiels (réglementation thermique RT2012). Dans ce contexte, des appels à projets ont été lancés depuis 2006 en partenariat avec la quasi-totalité des régions pour la construction ou réhabilitation de ""bâtiments démonstrateurs à basse consommation énergétique (BBC)"". À ce jour, plus de 250 projets démonstrateurs ont été sélectionnés, représentant près de 550 bâtiments ou maisons soit près de 2200 logements et 105 bâtiments tertiaires. Ils correspondent à 170 000 m2"" (bureaux, établissements de santé, d'enseignement et d'hébergement), indique l'Ademe. 60 d'entre eux portent en totalité ou en partie sur la réhabilitation de bâtiments existants. 4 projets concernent des bâtiments à énergie positive : ces bâtiments BBC produisent plus qu'ils ne consomment grâce à l'emploi d'énergies renouvelables. Pour l'Agence environnementale, les premiers bâtiments réalisés tiennent leurs promesses : le coût médian de construction des bâtiments neufs se situe ainsi à 1 450 euros HT/ m2 soit environ 15 % supérieur au coût moyen de la construction. Près de la moitié des projets présentent des surcoûts inférieurs à 15 %. Certains ne présentent même aucun surcoût par rapport à des bâtiments qui auraient été construits suivant la réglementation thermique actuelle (RT2005). L'Ademe souligne que la clé du succès se situe dès la conception grâce à un travail en partenariat entre l'architecte et un bureau d'études énergétiques. Les bâtiments démonstrateurs du PREBAT permettront de diffuser les meilleures solutions et les techniques d'optimisation. Avec en ligne de mire une réduction des éventuels surcoûts engendrés par la future réglementation thermique. Ces surcoûts d'investissement pourraient être réduits de 5%, et amortis en 10 ou 15 ans grâce aux économies de charge induites sur la facture énergétique, au coût actuel de l'énergie. De nouveaux appels à projet régionaux seront lancés dans les prochains mois, notamment axés sur les bâtiments à énergie positive pour le neuf et la réhabilitation. Ceux-ci devraient permettre d'atteindre d'ici fin 2010, 1000 bâtiments et maisons démonstrateurs BBC ou à énergie positive. Pour approfondir l'analyse des projets réalisés, l'agence contribuera au lancement prochain d'un observatoire du bâtiment basse consommation en partenariat avec le Ministère de l'Écologie et le collectif Effinergie. Une base de données des projets PREBAT sera mise en ligne dans le cadre de cet observatoire."[-]
"Dans le cadre du PREBAT, programme de recherche et d'expérimentations sur l'énergie dans le bâtiment, l'Ademe accompagne ce secteur en apportant notamment son soutien à des opérations exemplaires. Ces expérimentations ont en ligne de mire les objectifs nationaux définis pour le bâtiment. - Une rénovation accélérée du parc existant pour réduire les consommations énergétiques d'au moins 38 % d'ici 2020 - La généralisation des bâtiments basse ...[+]

Appel à projet ; Bâtiment à énergie positive - BEPOS ; Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Bâtiment tertiaire ; Bilan ; Logement ; Maison individuelle ; Recensement / Inventaire ; Réglementation thermique ; Rénovation ; Surcoût

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- n° 1674
Cote CLER : B2
"Les premières installations de taille industrielle sont en cours de démantèlement. Les opérateurs souhaitent ainsi démontrer que la filière est maîtrisée ""de la naissance à la mort"" des centrales. Mais les coûts restent sujets à caution et la consultation du public presque inexistante."

Aspect juridique ; Cartographie / Atlas ; Centrale nucléaire ; Coût du nucléaire ; Déchet nucléaire ; Démantèlement ; Nucléaire ; Recensement / Inventaire ; Surcoût

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- n° 158
Un immeuble de bureaux, d'une surface de 31 000 m2, sera édifié dès janvier prochain à Clamart (92) dans le but de proposer un bâtiment non énergivore, c'est-à-dire consommant seulement 43,7 kWh/m2.an et répondant à ses propres besoins énergétiques. Prénommé Solaris, ce bâtiment labellisé HQE, condense plusieurs procédés technologiques comme l'utilisation de l'inertie thermique des planchers, l'éclairage régulé, l'isolation par l'extérieur, pompe à chaleur, énergie solaire....[-]
Un immeuble de bureaux, d'une surface de 31 000 m2, sera édifié dès janvier prochain à Clamart (92) dans le but de proposer un bâtiment non énergivore, c'est-à-dire consommant seulement 43,7 kWh/m2.an et répondant à ses propres besoins énergétiques. Prénommé Solaris, ce bâtiment labellisé HQE, condense plusieurs procédés technologiques comme l'utilisation de l'inertie thermique des planchers, l'éclairage régulé, l'isolation par l'extérieur, ...[+]

Bâtiment à énergie positive - BEPOS ; Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Bâtiment tertiaire ; Construction ; Éclairage ; Ile-de-France ; Inertie thermique ; Isolation extérieure ; Plancher chauffant ; Pompe à chaleur ; Projet ; Régulation ; Solaire passif ; Sonde géothermique ; Surcoût

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