En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents Déchet ménager 177 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 342
Cote CLER : A4
Modernisation du réseau de chauffage urbain de Lyon et Villeurbanne. Au programme une chaufferie au bois de 20MW, une cogénération supplémentaire, un recours accru aux ordures ménagères. Plan Climat : 3 objectifs : stabiliser les émissions de GES, stabiliser la consommation globale d'énergie et augmenter la part des EnR

Bois énergie ; Cogénération ; Collectivité locale ; Déchet ménager ; Effet de serre ; Plan Climat Air Energie - PCAET ; Réseau de chaleur ; Rhône Alpes

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 735
Cote CLER : B1
Chaufferie et cogénération viendront moderniser le réseau de chaleur

Chaufferie bois ; Cogénération ; Déchet ménager ; Réseau de chaleur ; Rhône Alpes

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 271004
Cote CLER : B5
"France - CAPSTONE obtient de nouvelles commandes du Japon et de la France portant sur 2 mégawatts CHATSWORTH, Californie--(BUSINESS WIRE)--25 octobre 2004--Le leader des systèmes énergétiques par microturbine Capstone Turbine ( http://www.microturbine.com ) a annoncé avoir reçu de nouvelles commandes de ses distributeurs au Japon et en France, portant sur deux mégawatts de systèmes énergétiques Capstone MicroTurbine(TM). Takuma Company, l'un des principaux distributeurs de Capstone au Japon, a passé une commande portant sur un peu plus d'un mégawatt de micro-turbines. Pendant sa visite à Tokyo le mois dernier à l'occasion de l'inauguration du premier bureau de représentation à l'étranger de Capstone, John Tucker a souligné que Takuma avait commandé plus de 100 Capstone MicroTurbines pour le marché japonais. "" Nous sommes ravis du succès de Takuma dans le déploiement de nos micro-turbines auprès d'établissements tels que des hôpitaux, hôtels, usines et universités. Il est très encourageant de constater que notre distributeur met tout en oeuvre pour maintenir cette tendance "", a ajouté M. Tucker. En France, le spécialiste de la production d'énergie répartie Soffimat a récemment mis en service la première centrale de valorisation du biogaz équipée des Capstone MicroTurbines dans un centre d'enfouissement dans la Somme. Le succès de cette installation a incité Soffimat à passer une nouvelle commande d'un mégawatt supplémentaire de systèmes Capstone, dont la majeure partie concerne le modèle de biogaz de ce dernier. La centrale existante de 240 kilowatts de Soffimat dans la ville de Thieulloy-l'Abbaye produit une énergie renouvelable à partir de gaz issu de la fermentation des ordures ménagères. L'énergie est transférée sur le réseau d'EDF, à qui elle est facturée environ 121 000 euros par an. Si l'on soustrait les charges d'exploitation, les micro-turbines devraient être rentabilisées dans deux ans environ. En outre, les rejets propres et sans odeur des micro-turbines seront utilisés pour chauffer une serre proche actuellement en construction. "" Nous allons reproduire le succès considérable du premier projet de micro turbines à énergie renouvelable en France dans d'autres centres d'enfouissement "", a déclaré le directeur général de Soffimat, Pierre Samaha, lors de l'inauguration au SMITOP à Thieulloy-l'Abbaye. Parmi les participants ont figuré le ministre de l'Ecologie et du développement durable Serge Lepeltier et le nouveau président d'EDF Pierre Gadonneix. Ce dernier était auparavant président de GDF. L'installation de Soffimat au SMITOP est semblable à celle du site de 12 unités au nord de Chicago. Ce site a été nommé "" Projet de l'année "" par la division du méthane d'enfouissement de l'agence américaine pour l'environnement (Environmental Protection Agency). A propos de Capstone Turbine Capstone Turbine Corporation ( http://www.microturbine.com ) (Nasdaq:CPST) est le numéro un mondial des systèmes de micro-turbines à faibles émissions. En 1998, Capstone était la première société à proposer des produits énergétiques commerciaux utilisant la technologie des micro-turbines issue de plus de dix ans de recherche ciblée. Capstone Turbine a vendu et livré plus de 3 000 systèmes Capstone MicroTurbine à une clientèle basée dans le monde entier. Ces systèmes primés affichent plus de 7 millions d'heures de fonctionnement documenté. Photos à haute résolution et informations détaillées sur le Projet de l'Année de l'Environmental Protection Agency : http://www.microturbine.com/whatsnew/morePhotos.asp Fiches techniques sur les modèles de micro-turbines de Capstone : http://www.microturbine.com/technology/specsheets.asp CONTACT : Capstone Turbine Corporation Keith Field, 818-407-3615 (médias) Cynthia Martinez, 818-407-3643 (relations investisseurs) "[-]
"France - CAPSTONE obtient de nouvelles commandes du Japon et de la France portant sur 2 mégawatts CHATSWORTH, Californie--(BUSINESS WIRE)--25 octobre 2004--Le leader des systèmes énergétiques par microturbine Capstone Turbine ( http://www.microturbine.com ) a annoncé avoir reçu de nouvelles commandes de ses distributeurs au Japon et en France, portant sur deux mégawatts de systèmes énergétiques Capstone MicroTurbine(TM). Takuma Company, l'un ...[+]

Biogaz ; Déchet ménager ; Fabricant ; Picardie ; Turbine à gaz

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 718
Cote CLER : B1
Gas environnement propose aux collectivités locales propriétaires de centres d'enfouissement techniqus des solutions pour récupérer le biogaz de décharge.

Biogaz ; Cogénération biogaz ; Collectivité locale ; Stockage de déchet ; Déchet ménager ; Entreprise ; Producteur d'électricité ; Valorisation des déchets

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 180704
Cote CLER : B5
"26 propositions pour le projet d'energie non-conventionnel du Bengale occidental (Les projets s'orientent vers l'energie eolienne, hydroelectrique et biomasse. Apres l'autorisation du ministere indien des forets et de l'environnement pour les projets de plus de 25 MW, ceux-ci devront debuter a la fin de l'annee. La volonte des entreprises a, d'ores et deja, electrifier deux ou trois villages, permettra d'identifier plus facilement les candidats definitifs.Contacts : http://wbpower.nic.in/wbreda.htm http://www.nuziveeduseeds.com/ http://www.suzlon.com/index1.htm Sources : business line, 10/05/2004 _____ Une centrale electrique fonctionnant aux dechets de cuisine Le ""Sadar Patel Renewable Energy Research Insitute"" (SPERI) a developpe un reacteur pour produire du biogaz a partir des detritus de cuisine. Avec l'installation d'une telle centrale au voisinage d'une grande cuisine, le probleme du traitement des dechets est resolu, du gaz bon marche est produit et le residu de la reaction dans la centrale peut etre utilise comme engrais dans le jardin. Contacts : http://www.speri.org Sources : AT news, 04/2004 ------ Cooperation indo-europeenne sur des projets de gestion des dechets solides et des eaux potables au Bengale de l'OuestAfin d'aider le Bengale de l'Ouest a ameliorer les infrastructures sociales et physiques dans les zones urbaines, les autorites du Bengale ont fait appel a la Commision Europeenne pour ameliorer la gestion des dechets et le traitement des eaux dans la peripherie de Calcutta. ----- Deux projets indiens remportent des prix aux ""Oscars Verts"" "[-]
"26 propositions pour le projet d'energie non-conventionnel du Bengale occidental (Les projets s'orientent vers l'energie eolienne, hydroelectrique et biomasse. Apres l'autorisation du ministere indien des forets et de l'environnement pour les projets de plus de 25 MW, ceux-ci devront debuter a la fin de l'annee. La volonte des entreprises a, d'ores et deja, electrifier deux ou trois villages, permettra d'identifier plus facilement les candidats ...[+]

Biomasse ; Concours / Trophée ; Déchet ménager ; Électrification rurale ; Éolien ; Energie hydraulique ; Inde ; Production d'électricité

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 180704
Cote CLER : B5
En Italie, seulement 2,6 millions de tonnes de dechets solides urbains (soit environ 9% de la production totale) sont traites par thermovalorisation (utilisation de la chaleur issue du traitement des dechets pour la production d'energie, en particulier electrique et thermique). Malgre les bienfaits ecologiques de ce type d'installation et l'avancee de la technologie en la matiere, son manque de succes en Italie est principalement lie a son image negative aupres de la population, et aux modalites administratives de taille qui bloquent toute construction. Les objectifs indiques dans le dernier plan de traitement des dechets de l'Apat (Agence pour la protection de l'environnement et les services techniques) sont pourtant ambitieux. Le plan prevoit une hausse consequente de la quantite de dechets traites par thermovalorisation d'ici a 2007 (7,2 millions de tonnes, soit 22% de la production totale). De plus, les installations devraient passer du nombre actuel de 47 a 58, parmi lesquels 32 dans le Nord de l'Italie, 12 au Centre et 14 dans le Sud. La Region Lombardie dispose du plus grand nombre d'installation en service actuellement et a recupere en 2003 30% des dechets solides urbains. Milan est ainsi l'unique ville italienne a la hauteur des capitales europeennes en matiere de recyclage et de traitement des dechets. Il est egalement prevu une hausse de l'activite de la station Silla 2 de Milan (la principale en activite) dans les 12 prochains mois, afin de diminuer l'exportation de dechets vers l'Allemagne et de traiter la moitie des dechets solides urbains milanais par thermovalorisation (les 35% des dechets restant seront recycles et les 15% restants iront en decharge). Parmi les 2.6 millions de tonnes de dechets traites par thermovalorisation, seulement 180 mille proviennent du Sud de l'Italie. L'Apat mise donc sur un developpement notoire de ce type de traitement dans les regions du sud. Les chantiers sont aujourd'hui longs a demarrer a cause des modalites administratives trop lourdes et de la peur de ce type d'installations. Comme l'explique Roberto Ferraris, administrateur delegue de la societe Fisia Italimpianti, qui a construit 580 installations par thermo valorisation - pratiquement toutes a l'etranger - depuis 1961, il est necessaire d'alleger les procedures et de favoriser l'information. Toutes les grandes capitales europeennes et internationales (Paris, Vienne, Berlin, Tokyo...) possedent dans leur centre ce type d'installations, dont les technologies ne sont aucunement dangereuses pour les citoyens. A titre d'exemple, l'installation de traitement des dechets par thermovalorisation de Brescia, geree par la societe Asm, a produit en 2003 330 millions de kW d'energie electrique, 260 millions de kW d'energie thermique, soit un tiers de l'energie necessaire a la ville. Peccioli egalement, dans la Province de Sienne, a eu recours dans les annees 80 a la thermovalorisation, malgre les vives protestations suscitees par l'installation. La station utilise le biogaz issu du traitement des dechets pour la production d'electricite et de chaleur. L'economie issue de cette installation a permis la construction de nombreuses infrastructures, comme la maison de retraite et l'asile pour enfants. Contacts : Lien vers le site Internet de la societe Fisia Italimpianti : http://www.fisiait.com/sito/ver2.html Lien vers le site Internet de la societe Asm : http://www.asm.brescia.it/ Lien vers le site Internet de l'Apat : http://www.apat.gov.it/site/it-IT/ Sources : Il Sole 24 Ore, 03/07/2004 , 29/06/2004[-]
En Italie, seulement 2,6 millions de tonnes de dechets solides urbains (soit environ 9% de la production totale) sont traites par thermovalorisation (utilisation de la chaleur issue du traitement des dechets pour la production d'energie, en particulier electrique et thermique). Malgre les bienfaits ecologiques de ce type d'installation et l'avancee de la technologie en la matiere, son manque de succes en Italie est principalement lie a son image ...[+]

Déchet ménager ; Italie ; Production de chaleur ; Valorisation des déchets

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 190804
Cote CLER : B5
Feryel Gadhoum [18 août 2004] Chaque année, les ménages français produisent quelque 26 millions de tonnes de déchets et la tendance est toujours à la hausse. D'où des inquiétudes profondes sur le devenir de ces ordures. On sait d'ores et déjà que si rien n'est fait, plus de 75 départements seront submergés par leurs poubelles d'ici à 2010. Du coup, l'incinération semble pour certains l'un des moyens les plus efficaces pour réduire la masse des déchets, puisque l'on ne retrouve à la sortie de l'usine que 10% du volume de ce que l'on y a introduit et 30% du poids. En France, selon les chiffres de l'Agence de la maîtrise de l'énergie et de l'environnement (Ademe), 11,8 millions de tonnes de déchets ménagers sont incinérés chaque année, dont 10,4 millions de tonnes avec récupération d'énergie. Ces derniers fournissent quelque 9,1 millions de MWh d'énergie thermique et électrique, assez pour desservir 3% de la population en électricité et 7% en chauffage. L'équivalent énergétique d'une tonne d'ordures ménagères correspond à environ 150 litres de fioul. Concrètement, selon Novergie, la filiale de Suez spécialisée dans l'incinération des déchets, une fois brûlés, «les déchets produits par 14 familles peuvent alimenter une famille en électricité (hors chauffage)». Les usines d'incinération (UIOM) peuvent en plus accepter une partie des déchets industriels banals non recyclables. Un autre avantage non négligeable des UIOM est la réduction des émissions de gaz à effet de serre, et notamment de CO2. Ainsi par exemple, en 2003, la valorisation énergétique et matière de Novergie a permis d'éviter le rejet de 152 206 tonnes équivalent carbone. Cela grâce à l'économie induite de combustibles nobles, tels que le fioul et le gaz. Malheureusement, le potentiel de croissance de cette technologie est faible en France, selon un porte-parole du ministère de l'Ecologie qui affirme qu'il n'y aura pas d'évolution substantielle du parc des incinérateurs. Pour l'instant, cette technologie coûte plus cher que la simple mise en décharge : 78 euros contre 55 en moyenne. D'autre part, les contraintes sanitaires et géographiques rendent plus difficile toute nouvelle implantation. Les réactions fortement négatives des riverains la rendent parfois impossible. Le phénomène Nymby («not in my backyard», c'est-à-dire «pas dans mon jardin»), venu d'outre-Manche, a en effet fait de nombreux adeptes en France. Il faut dire que les émissions toxiques des anciens incinérateurs, qui auraient, pour certains, provoqué des cancers ou des malformations de foetus dans les régions concernées, incitent à la méfiance. Mais depuis 1998 les rejets de dioxine ont été divisés par cinq et la chute devrait se poursuivre. En attendant, l'incinération n'est pas le seul mode de valorisation énergétique de nos déchets. Depuis quelques années, on récupère le gaz méthane que dégagent les déchets fermentescibles mis en décharges et les boues des stations d'épuration. Ce biogaz peut être utilisé pour produire de la chaleur et de l'électricité. Par exemple, Onyx, la filiale propreté de Veolia, exploite de cette manière le centre de stockage de Bouqueval/Plessis-Gassot à 20 kilomètres de Paris. Ce site traite en moyenne 800 000 tonnes de déchets par an, soit les déchets de 2 millions de personnes. La production totale de biogaz s'élève à 13 000 m3 par heure dont 10 000 sont valorisés pour produire 10 MW/heure d'électricité, soit la consommation moyenne d'une ville de 30 000 habitants. Du coup, grâce à ce procédé, les émissions de méthane, un gaz à effet de serre, ont baissé de 17% entre 1998 et 2000. Reste qu'il ne faut pas se faire d'illusion. Comme l'a rappelé l'inspecteur général des mines Henri Prévot, en 2000 : «La récupération de l'énergie des déchets ne représente pas un enjeu significatif pour l'indépendance énergétique du pays.» _ _ _ _ _ Les cimenteries se chauffent aux pneus E. B. [18 août 2004] Que faire avec les vieux pneus, déchets encombrants s'il en est ? Confectionner des balançoires artisanales ou amortir l'amarrage des bateaux le long des quais ne suffit pas. Parmi les réponses apportées par l'industrie (revêtements de route, trottoirs roulants, murs antibruit...) figure aussi la valorisation énergétique. L'application la plus développée est l'utilisation du pneu comme combustible dans les fours de cimenterie, selon Aliapur, l'association mondiale des fabricants de pneumatiques. En effet, le pneu brûle bien. Son pouvoir calorifique (compris entre 24 et 287 mégaJoules par kilo) est proche de celui du charbon. Une tonne de pneus apporte une énergie équivalente à celle produite par 0,7 tonne de pétrole, rapporte Michelin. Les émissions atmosphériques sont réduites, puisque les matières sont portées à plus de 1 450 degrés. Un bémol tout de même, la directive sur l'incinération prévoit que les cimenteries anciennes ne pourront plus brûler de pneus après 2008. Mais Aliapur a prévu de livrer 40 000 tonnes de pneus usagés par an à cinq cimenteries françaises situées au Maroc. Sachant que cette expédition est contrôlée par les services de l'Etat. Les pneus sont aussi utilisés dans des centrales thermiques, avec production d'électricité, en substitution de tout ou partie du combustible. Ils peuvent être brûlés dans des chaudières industrielles ou dans des unités d'incinération en étant utilisés comme combustible d'appoint mélangé à d'autres déchets. En brûlant les pneus dans les centrales et en roulant dans des voitures électriques peut-être finira-t-on par se passer du pétrole...[-]
Feryel Gadhoum [18 août 2004] Chaque année, les ménages français produisent quelque 26 millions de tonnes de déchets et la tendance est toujours à la hausse. D'où des inquiétudes profondes sur le devenir de ces ordures. On sait d'ores et déjà que si rien n'est fait, plus de 75 départements seront submergés par leurs poubelles d'ici à 2010. Du coup, l'incinération semble pour certains l'un des moyens les plus efficaces pour réduire la masse des ...[+]

Biogaz ; Déchet ; Déchet ménager ; Industrie ; Valorisation énergétique

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 1692
Cote CLER : B2
Présentée comme alternative à l'incinération, la méthanisation des déchets ménagers fait face à ses premiers déboires, sur le front des odeurs. Les élus s'en inquiètent et bétonnent leurs projets.

Déchet ; Déchet ménager ; Élu local ; Région française administrative ; Méthanisation ; Nord Pas de Calais

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 23
Incinérés, transformés en carburants, en gaz, les déchets peuvent créer de l'énergie de bien des façons. ils constituent à la fois une contrainte et une ressource de plus en plus prises en comte dans les politiques de développement durable.

Bilan carbone ; Biogaz ; Déchet ; Déchet industriel ; Déchet ménager ; Déchet organique ; Valorisation des déchets

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 126
Le centre de tri et de transfert de Romainville doit être modernisé et devenir un centre multifilière avec méthanisation. Dominique Coutart, directeur général des services techniques du Syctom de l'agglomération parisienne, fait le point sur ce projet.

Biogaz ; Déchet ; Déchet ménager ; Europe ; Méthanisation ; Recyclage ; Réglementation

Sélection