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Documents Jatropha 8 résultats

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- n° 432
Cote CLER : B1
L'accord de développement conjoint (JDA) signé par les deux entreprises prévoit le partage d'une plate-forme technologique et de capacités opérationnelles pour démontrer la viabilité commerciale à grande échelle d'un procédé de fermentation à partir de micro-organismes. Cette méthode est éprouvée par Martek depuis 20 ans, et utilisée dans d'autres domaines. La canne et sucre et ses déchets seront employés comme matière première. 10 millions de dollars seront investis par BP pour la phase initiale du projet. La compagnie britannique s'intéresse en parallèle à la production d'éthanol cellulosique, et de biobuthanol à partir de déchets agricoles. En revanche, le groupe britannique a renoncé, en juillet dernier, à tirer parti du jatropha en raison de la forte consommation d'eau de la plante.[-]
L'accord de développement conjoint (JDA) signé par les deux entreprises prévoit le partage d'une plate-forme technologique et de capacités opérationnelles pour démontrer la viabilité commerciale à grande échelle d'un procédé de fermentation à partir de micro-organismes. Cette méthode est éprouvée par Martek depuis 20 ans, et utilisée dans d'autres domaines. La canne et sucre et ses déchets seront employés comme matière première. 10 millions de ...[+]

Agrocarburant ; Angleterre ; Biocarburant ; Biomasse ligno-cellulosique ; Canne à sucre ; Compagnie pétrolière ; Déchet agricole ; États Unis ; Inconvénient ; Jatropha ; Projet

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- n° 8
Cote CLER : B
"La Jatropha curcas commence à se faire connaître progressivement. La culture de cet ""or vert du désert"" qui peut produire du biocarburant, un produit pouvant révolutionner le monde du pétrole serait assurée d'avenir prometteur."

Biocarburant ; Culture énergétique ; Huile végétale ; Inconvénient ; Jatropha ; Madagascar

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- n° 180609
Cote CLER : A2
Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Alors que s'est déroulé le sommet mondial du jatropha au Swaziland, les Amis de la Terre viennent de publier un rapport montrant que la culture de cette plante contrairement au « miracle » annoncé, pourrait se faire au détriment de la production alimentaire du fait de la concurrence pour la terre et l'eau, annonce l'association dans un communiqué. De ce fait, l'association demande à l'Union européenne de prendre en compte les impacts du jatropha dans l'étude qu'elle mènera en 2010 sur les changements d'affectation des sols à cause des agrocarburants, et de réviser son objectif d'incorporation de 10% en conséquence.[-]
Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Alors que s'est déroulé le sommet mondial du jatropha au Swaziland, les Amis de la Terre viennent de publier un rapport montrant que la culture de cette plante contrairement au « miracle » annoncé, pourrait se faire au détriment de la production alimentaire du fait de la concurrence pour la terre ...[+]

Agroalimentaire ; Biocarburant ; Conférence / Colloque ; Culture énergétique ; Huile végétale ; Inconvénient ; Jatropha

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- n° 380
Cote CLER : B1
"L'étude a été menée sur un Boeing 747-400 construit par Rolls-Royce. Le vol d'essai réalisé en décembre 2008 été alimenté par un carburant composé à 50 % de carburant issu de jatropha, en complément au traditionnel JetA1. Les tests ont été conduits au sol et en vol, à différentes altitudes et dans des conditions de vol variées. Le moteur et les composants ont été étudiés. L'utilisation de ce mélange sur un vol de 12 heures réduirait de 1,2% la consommation de l'avion, soit 1,43 tonnes de carburant. Sur de plus courtes distance, l'économie de consommation serait de 1%. Du point de vue des émissions de CO2, la réduction serait de 4,5 tonnes, soit 60 à 65% de moins qu'avec un carburant conventionnel. ""Il est certain que les données de notre vol d'essai au biocarburant constitue une composante critique destinée à aider les biocarburants à devenir un carburant aérien certifié"" s'est félicité le Commandant David Morgan. ""Actuellement, notre équipe recherche différentes options de biocarburants. Nous restons fidèles à notre ambition de répondre à hauteur de 10% aux besoins de carburants en 2013 par l'usage de carburants alternatifs, mais reconnaissons qu'il existe plusieurs étapes à franchir par les experts dans d'autres domaines."" a-t-il ajouté. L'initiative était réalisée conjointement par Air New Zealand, Boeing, Rolls-Royce, et Honeywell UOP. "[-]
"L'étude a été menée sur un Boeing 747-400 construit par Rolls-Royce. Le vol d'essai réalisé en décembre 2008 été alimenté par un carburant composé à 50 % de carburant issu de jatropha, en complément au traditionnel JetA1. Les tests ont été conduits au sol et en vol, à différentes altitudes et dans des conditions de vol variées. Le moteur et les composants ont été étudiés. L'utilisation de ce mélange sur un vol de 12 heures réduirait de 1,2% la ...[+]

Biocarburant ; Expérimentation ; Jatropha ; Nouvelle-Zélande ; Réalisation ; Transport aérien

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- n° 230409
Cote CLER : A2
Plante sauvage, poussant dans les zones les plus arides, aux rendements élevés à l'hectare et produisant une huile affichant les mêmes propriétés que le diesel… Les vertus du jatropha curcas font que cette plante est régulièrement présentée comme le carburant vert de demain. Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Si le jatropha curcas peut présenter une source d'énergie alternative à l'échelle locale, les nombreuses recherches visant son industrialisation ont obtenus des résultats modestes aujourd'hui. Explications avec Gilles Vaitilingom, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). De l'état sauvage à la culture intensive : Poussant à l'état sauvage à Madagascar, en Egypte, en Amérique latine, en Inde et dans plusieurs pays du Sahel, le jatropha curcas est traditionnellement utilisé comme haie vive pour protéger cultures et habitations des animaux (ses graines sont toxiques pour les humains et les animaux) ou sous forme d'huile pour la cuisson, l'éclairage ou la production de savon. Chauffée au-delà de 110°C, cette huile affiche les mêmes propriétés que le diesel. Ce qui a suscité, dès les années 80, un fort engouement pour cette plante très résistante à la sécheresse. L'Inde et le Nicaragua, dès les années 80 - 90, ont mené des expériences pour développer une culture à grande échelle de cette plante. Les résultats s'étant montrés peu concluants, de nombreux projets ont échoué. Pourtant, aujourd'hui, avec la hausse récente du prix de pétrole et l'annonce de l'épuisement de cette ressource fossile, le jatropha curcas est revenu sur le devant de la scène, suscitant l'intérêt de nombreux groupes agro-industriels. Il y a 3 - 4 ans, dans la recherche de nouvelles sources de carburants, le jatropha curcas est sorti des oubliettes. Il y a certes un certain intérêt dans cette plante, mais pas là où on le croit, analyse Gilles Vaitilingom. Si cette plante est très répandue dans le monde tropical, car elle pousse bien et est capable de résister à de longues sécheresses, elle est cultivée à petite échelle, pour des haies… A partir du moment où l'on veut cultiver cette plante en verger, l'entretien nécessaire à la plupart des cultures s'impose aussi pour le jatropha : arrosage, engrais, protection contre les insectes ravageurs… Les coûts engendrés par la culture de masse du jatropha curcas n'ont pas été pris en compte au départ de nombreux projets, tant les propriétés « miraculeuses » de cette plante étaient vantées. Coûts d'entretiens élevés, rendements moins élevés ont été souvent constatés lors des recherches menées. Autre danger : le jatropha n'est pas comestible. L'agriculteur qui se lance dans cette culture doit donc être sûr de trouver un débouché à sa production. Dans les projets développés en Inde ou au Nicaragua dans les années 90, les agriculteurs, au bout de quelques années, ont fini par abandonner leurs cultures car elles ne leur procuraient pas les revenus promis. Les plus pauvres de ces paysans n'avaient même plus l'argent pour les faire arracher. Le risque est de créer une dépendance de l'agriculteur envers l'acheteur, entraînant des prix d'achat relativement bas. Le jatropha serait donc un mirage ? Une alternative énergétique à l'échelle locale : Les projets relancés ces dernières années autour du jatropha ont mené à ces mêmes conclusions. Pourtant, pour Gilles Vaitilingom, cette plante a un intérêt aujourd'hui, pour la production de carburants à usages locaux. A condition que la plante soit cultivée dans des zones arides, où aucune autre culture est possible, ou que la plante soit cultivée à petite échelle aux côtés d'autres cultures, pour satisfaire les besoins des agriculteurs en carburant ou pour l'électrification d'un village. Dans ces conditions là, la culture du jatropha est bénéfique, présentant un double intérêt : une production de carburant locale et la lutte contre l'érosion. Plus question de culture à grande échelle ? Il y a une petite fenêtre qui reste ouverte. De nombreux projets de recherches ont été lancés il y a quelques années avec le retour de l'engouement pour cette plante. Ils pourraient permettre de parvenir à une sélection d'espèce plus résistante, fournissant un meilleur rendement et dont les produits secondaires (tourteaux…) seraient comestibles pour les animaux. D'autres plantes suscitent également l'intérêt aujourd'hui : le pangomia, le balanite, le babassu ou encore le buriti. L'huile produite à partir de ces plantes étant comestible, leur culture apparaît moins risquée pour l'agriculteur qui a ainsi différents débouchés. Mais comme c'est le cas aujourd'hui pour la production à grande échelle d'huile de palme, une culture intensive de ces plantes pourrait entrer en concurrence avec le maintien des prairies, des forêts primaires ou même de cultures vivrières. Ces nouvelles plantes gagnent de l'intérêt, mais leur potentiel doit être exploité dans des zones ou rien d'autre ne pousse. Comme la plupart des agrocarburants, ces plantes ont intérêt à être développées à échelle locale, pour un usage local. Avec une éventuelle importation et industrialisation, ces productions perdent leur raison d'être. Il n'y a donc pas de miracle qui tienne.[-]
Plante sauvage, poussant dans les zones les plus arides, aux rendements élevés à l'hectare et produisant une huile affichant les mêmes propriétés que le diesel… Les vertus du jatropha curcas font que cette plante est régulièrement présentée comme le carburant vert de demain. Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Si le jatropha curcas ...[+]

Amérique du Sud ; Biocarburant ; Égypte ; Huile végétale ; Inde ; Jatropha ; Madagascar ; Recherche

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- n° 172
Cote CLER : A1
À l'heure des grands défis énergétiques, l'Afrique s'interroge - comme tous les autres continents - sur la place à donner aux biocarburants. Actuellement, 1% de la production mondiale de carburants végétaux est d'origine africaine. Les projets en cours sur le continent noir font principalement appel au jatropha, à l'huile de palme et à la canne à sucre, et ce, le plus souvent à des fins de consommation locale. Mais quelques investisseurs étrangers viennent frapper à la porte.[-]
À l'heure des grands défis énergétiques, l'Afrique s'interroge - comme tous les autres continents - sur la place à donner aux biocarburants. Actuellement, 1% de la production mondiale de carburants végétaux est d'origine africaine. Les projets en cours sur le continent noir font principalement appel au jatropha, à l'huile de palme et à la canne à sucre, et ce, le plus souvent à des fins de consommation locale. Mais quelques investisseurs ...[+]

Afrique ; Afrique du Sud ; Biocarburant ; Canne à sucre ; Côte d'Ivoire ; Ghana ; Huile végétale ; Jatropha ; Madagascar ; Mali ; Mozambique ; Nigéria ; Sénégal ; Tanzanie

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HUILES AU SUD | AGRAVALOR 1/03/09

Article

- n° 171
Cote CLER : A1
Olésud, tel est le nom de la nouvelle structure pour l'expérimentation des olé-protagineux dans les pays du sud que vient de créer Sofiprotéol, l'établissement financier de la filière française. Oléosud est destiné à développer les cultures alimentaires et énergétiques, et à faire émerger des filières locales. http://www.prolea.com/ http://www.prolea.com/index.php?id=1460

Afrique ; Asie ; Biocarburant ; Culture énergétique ; Huile végétale ; Jatropha ; Oléagineux ; Organisme ; Pays En Développement ; Société financière ; Tournesol

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