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Documents Madagascar 13 résultats

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y
- n° 262 - p.403 à p. 408
Cote CLER : D
ARTICLE CONSULTABLE AU CLER
La protection de la biodiversité malagache, si unique et variée, est un enjeu primordial. Pourtant, à Magadascar, la société jongle entre droit positif et droit coutumier issu de pratiques ancestrales. Il n'est pas toujours aisé de savoir quel droit appliquer. Il est alors essentiel de faire participer les acteurs locaux, notamment par l'intermédiaire des DINA.

Réglementation ; Madagascar ; Biomasse ; Milieu forestier ; Biodiversité

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- n° 8
Cote CLER : B
"La Jatropha curcas commence à se faire connaître progressivement. La culture de cet ""or vert du désert"" qui peut produire du biocarburant, un produit pouvant révolutionner le monde du pétrole serait assurée d'avenir prometteur."

Biocarburant ; Culture énergétique ; Huile végétale ; Inconvénient ; Jatropha ; Madagascar

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- n° 230409
Cote CLER : A2
Plante sauvage, poussant dans les zones les plus arides, aux rendements élevés à l'hectare et produisant une huile affichant les mêmes propriétés que le diesel… Les vertus du jatropha curcas font que cette plante est régulièrement présentée comme le carburant vert de demain. Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Si le jatropha curcas peut présenter une source d'énergie alternative à l'échelle locale, les nombreuses recherches visant son industrialisation ont obtenus des résultats modestes aujourd'hui. Explications avec Gilles Vaitilingom, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). De l'état sauvage à la culture intensive : Poussant à l'état sauvage à Madagascar, en Egypte, en Amérique latine, en Inde et dans plusieurs pays du Sahel, le jatropha curcas est traditionnellement utilisé comme haie vive pour protéger cultures et habitations des animaux (ses graines sont toxiques pour les humains et les animaux) ou sous forme d'huile pour la cuisson, l'éclairage ou la production de savon. Chauffée au-delà de 110°C, cette huile affiche les mêmes propriétés que le diesel. Ce qui a suscité, dès les années 80, un fort engouement pour cette plante très résistante à la sécheresse. L'Inde et le Nicaragua, dès les années 80 - 90, ont mené des expériences pour développer une culture à grande échelle de cette plante. Les résultats s'étant montrés peu concluants, de nombreux projets ont échoué. Pourtant, aujourd'hui, avec la hausse récente du prix de pétrole et l'annonce de l'épuisement de cette ressource fossile, le jatropha curcas est revenu sur le devant de la scène, suscitant l'intérêt de nombreux groupes agro-industriels. Il y a 3 - 4 ans, dans la recherche de nouvelles sources de carburants, le jatropha curcas est sorti des oubliettes. Il y a certes un certain intérêt dans cette plante, mais pas là où on le croit, analyse Gilles Vaitilingom. Si cette plante est très répandue dans le monde tropical, car elle pousse bien et est capable de résister à de longues sécheresses, elle est cultivée à petite échelle, pour des haies… A partir du moment où l'on veut cultiver cette plante en verger, l'entretien nécessaire à la plupart des cultures s'impose aussi pour le jatropha : arrosage, engrais, protection contre les insectes ravageurs… Les coûts engendrés par la culture de masse du jatropha curcas n'ont pas été pris en compte au départ de nombreux projets, tant les propriétés « miraculeuses » de cette plante étaient vantées. Coûts d'entretiens élevés, rendements moins élevés ont été souvent constatés lors des recherches menées. Autre danger : le jatropha n'est pas comestible. L'agriculteur qui se lance dans cette culture doit donc être sûr de trouver un débouché à sa production. Dans les projets développés en Inde ou au Nicaragua dans les années 90, les agriculteurs, au bout de quelques années, ont fini par abandonner leurs cultures car elles ne leur procuraient pas les revenus promis. Les plus pauvres de ces paysans n'avaient même plus l'argent pour les faire arracher. Le risque est de créer une dépendance de l'agriculteur envers l'acheteur, entraînant des prix d'achat relativement bas. Le jatropha serait donc un mirage ? Une alternative énergétique à l'échelle locale : Les projets relancés ces dernières années autour du jatropha ont mené à ces mêmes conclusions. Pourtant, pour Gilles Vaitilingom, cette plante a un intérêt aujourd'hui, pour la production de carburants à usages locaux. A condition que la plante soit cultivée dans des zones arides, où aucune autre culture est possible, ou que la plante soit cultivée à petite échelle aux côtés d'autres cultures, pour satisfaire les besoins des agriculteurs en carburant ou pour l'électrification d'un village. Dans ces conditions là, la culture du jatropha est bénéfique, présentant un double intérêt : une production de carburant locale et la lutte contre l'érosion. Plus question de culture à grande échelle ? Il y a une petite fenêtre qui reste ouverte. De nombreux projets de recherches ont été lancés il y a quelques années avec le retour de l'engouement pour cette plante. Ils pourraient permettre de parvenir à une sélection d'espèce plus résistante, fournissant un meilleur rendement et dont les produits secondaires (tourteaux…) seraient comestibles pour les animaux. D'autres plantes suscitent également l'intérêt aujourd'hui : le pangomia, le balanite, le babassu ou encore le buriti. L'huile produite à partir de ces plantes étant comestible, leur culture apparaît moins risquée pour l'agriculteur qui a ainsi différents débouchés. Mais comme c'est le cas aujourd'hui pour la production à grande échelle d'huile de palme, une culture intensive de ces plantes pourrait entrer en concurrence avec le maintien des prairies, des forêts primaires ou même de cultures vivrières. Ces nouvelles plantes gagnent de l'intérêt, mais leur potentiel doit être exploité dans des zones ou rien d'autre ne pousse. Comme la plupart des agrocarburants, ces plantes ont intérêt à être développées à échelle locale, pour un usage local. Avec une éventuelle importation et industrialisation, ces productions perdent leur raison d'être. Il n'y a donc pas de miracle qui tienne.[-]
Plante sauvage, poussant dans les zones les plus arides, aux rendements élevés à l'hectare et produisant une huile affichant les mêmes propriétés que le diesel… Les vertus du jatropha curcas font que cette plante est régulièrement présentée comme le carburant vert de demain. Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Si le jatropha curcas ...[+]

Amérique du Sud ; Biocarburant ; Égypte ; Huile végétale ; Inde ; Jatropha ; Madagascar ; Recherche

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- n° 172
Cote CLER : A1
À l'heure des grands défis énergétiques, l'Afrique s'interroge - comme tous les autres continents - sur la place à donner aux biocarburants. Actuellement, 1% de la production mondiale de carburants végétaux est d'origine africaine. Les projets en cours sur le continent noir font principalement appel au jatropha, à l'huile de palme et à la canne à sucre, et ce, le plus souvent à des fins de consommation locale. Mais quelques investisseurs étrangers viennent frapper à la porte.[-]
À l'heure des grands défis énergétiques, l'Afrique s'interroge - comme tous les autres continents - sur la place à donner aux biocarburants. Actuellement, 1% de la production mondiale de carburants végétaux est d'origine africaine. Les projets en cours sur le continent noir font principalement appel au jatropha, à l'huile de palme et à la canne à sucre, et ce, le plus souvent à des fins de consommation locale. Mais quelques investisseurs ...[+]

Afrique ; Afrique du Sud ; Biocarburant ; Canne à sucre ; Côte d'Ivoire ; Ghana ; Huile végétale ; Jatropha ; Madagascar ; Mali ; Mozambique ; Nigéria ; Sénégal ; Tanzanie

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- n° 2
Cote CLER : A1
Au-delà des aspects techniques et financiers, le soutien de l'ADEME à des projets d'innovation participe au développement local. Visite de la microcentrale hydraulique d'Antetezambato, à Madagascar.

Coopération ; Madagascar ; Microhydraulique ; Pays En Développement ; Petite Centrale Hydroélectrique ; Réalisation

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GAZOLE VERT A MADAGASCAR | TECHNI.CITES 26/10/06

Article

- n° 117
Cote CLER : C4
Le Jatropha, plante originaire d'Amerique du Sud, va être transformé en gazole vert

Biocarburant ; Biodiesel ; Biomasse ; Madagascar ; Production carburant

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- n° 150106
Cote CLER : B5
http://www.madagascar-tribune.com/index.php?JOURNAL=804&ART=14808# La production massive d'éthanol pour remplacer ou réduire la consommation de carburant ordinaire ou fossile deviendra une réalité à Madagascar dès le premier semestre de l'année prochaine, selon Jacquelin Rananjason, président directeur général de Jason World Energy (JWE). Deux usines seront bientôt installées à Ambilobe et Mahajanga, deux usines de capacité moyenne capables de produire 90.000 litres d'éthanol par jour extrait de la canne à sucre ou bien l'oil de jatropha. Le prix du litre pourra tourner autour de 1620 Ariary.     Bref historique des biocarburants     La biomasse est l'énergie en provenance des végétaux. Egalement appelée “ houille verte “, la biomasse inclut les biocarburants. La croissance des végétaux dépendant de l'activité du soleil, les biocarburants sont donc une énergie renouvelable et, par extension, une énergie solaire. Si le premier moteur fonctionnant à l'huile d'arachide fut conçu en 1890, le développement des biocarburants sous leur forme actuelle est récent. Il date des années 70 pour le Brésil et 90 pour l'Europe.     Avantages...      Les biocarburants participent à l'indépendance énergétique nationale.     Au niveau local : la culture pour les biocarburants permet de valoriser la jachère imposée par la politique agricole, et participe au maintient des activités rurales.      Pour l'environnement : l'utilisation d'éthanol est légèrement préférable à celle de supercarburant. L'utilisation d'ester est nettement plus favorable à la diminution de l'effet de serre que celle du gazole. Les huiles végétales pures sont, quant à elles, peu consommatrices d'énergie intermédiaire. Le CO2 rejeté lors de la combustion des biocarburants correspond à la quantité absorbée lors de la croissance des végétaux. Il n'augmente donc pas l'effet de serre. De plus, la présence d'oxygène dans les molécules de biocarburant améliore leur combustion et diminue le nombre des particules dues aux hydrocarbures imbrûlés, ainsi que le monoxyde de carbone.     Inconvénients...      Une vigilance s'impose sur les conditions de culture des jachères. En effet, une utilisation irraisonnée d'engrais entraînant une pollution des sols et des eaux peut contrebalancer le bilan écologique positif lié à la combustion des biocarburants. Le bilan de la fabrication d'éthanol est relativement complexe, car des facteurs très divers entrent en jeu : nature des produits de base, gestion de la jachère, quantité d'énergie nécessaire à sa formation. Actuellement, le rendement énergétique est tout juste positif pour l'éthanol.[-]
http://www.madagascar-tribune.com/index.php?JOURNAL=804&ART=14808# La production massive d'éthanol pour remplacer ou réduire la consommation de carburant ordinaire ou fossile deviendra une réalité à Madagascar dès le premier semestre de l'année prochaine, selon Jacquelin Rananjason, président directeur général de Jason World Energy (JWE). Deux usines seront bientôt installées à Ambilobe et Mahajanga, deux usines de capacité moyenne capables de ...[+]

Biocarburant ; Canne à sucre ; Éthanol ; Madagascar ; Projet ; Usine de fabrication/production

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L'ENERGIE A MADAGASCAR | EAF INFO 1/09/05

Article

- n° 42
Cote CLER : A4
L'électricité à Madagascar Politique énergétique et perspectives

Centrale thermique ; Consommation d'énergie ; Électricité ; Energie hydraulique ; Madagascar ; Perspective ; Pétrole ; Politique énergétique

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- n° 91204
Cote CLER : B5
"Le forum international sur les Energies renouvelables qui se tient actuellement à Madagascar est à son deuxième jour. Une quarantaine d'invités venant de 11 pays participent activement à ce forum. « La demande en énergie » a été le thème discuté hier matin, présentée par Mark Fenn, coordinateur du programme Ala Maiky, WWF, Madagascar, Jules Razafimandimby, directeur des ventes de la Jirama, Dr Solofohery Rakotoniaina, de l'Ecole supérieure Polytechnique d'Antananarivo, Olivier Nechad , DG de Vitogaz et la direction de l'énergie et des mines. « Les options des énergies renouvelables à Madagascar : les potentiels et les projets ainsi que les possibilités et les projets » ont été les sujets discutés après. L'Energie solaire a été disséquée par Eloi Rakoto Arisoa de ""Total Energie à Madagascar"", Olivier Rasoldier, gérant de ""Energie technologie de Madagascar"". L'énergie éolienne a été présentée par Nicolas Phillipe de Vergnet/Someca, Hary Razafindrabe, du ""Projet Mad'Eole"" et Fortunat Ramahatandrina, DG de l'IST Antsiranana. Youssef Arfaoui, expert en Energie renouvelable de la BAD en Tunisie, a expliqué l'expérience de l'Afrique en cette énergie éolienne qui connaît un grand succès en Afrique. C'est par une table ronde que Dieudonné Raoelijaona, conseiller technique au ministère de l'Energie et des mines à Madagascar a présenté le potentiel hydroélectrique et que Dr Iary Ravaoarimanana, conseiller économique de l'Ambassade de Madagascar en Allemagne, chargée de développement technologie environnementale a présenté la biomasse/biogaz. L'expérience de l'entreprise ""Vitasoa"" a illustré le premier cas, avec le projet ""Goaika"" à Analamihaotra, dans la région de Ranotsara Nord, Fianarantsoa où un pico-central de charge de 3 KWA a été implanté par cette entreprise de jeunes ingénieurs malgaches.  Tandis que la plantation de ""Jatropha biodiesel"" sur des terrains érodés dans le sud et qui est un potentiel à bénéfices multiples pour Madagascar a été présenté par Dr Georges Francis, de l'Université de Hohenheim, Allemagne et la « maîtrise des déchets dans l'aviculture » par Pr Daniel Ramampiherika, expert en Energie Renouvelable, ASE, de l'Université de Toliara. Des sujets qui ont tous vraiment intéressé les participants mais parmi lesquels on ne peut…nier l'intérêt particulier accordé par la table ronde à la communication du Dr. Iary Ravaoarimanana. Notons qu'à beaucoup d'égards, Iary Ravaoarimanana a largement contribué à la tenue de ce forum. "[-]
"Le forum international sur les Energies renouvelables qui se tient actuellement à Madagascar est à son deuxième jour. Une quarantaine d'invités venant de 11 pays participent activement à ce forum. « La demande en énergie » a été le thème discuté hier matin, présentée par Mark Fenn, coordinateur du programme Ala Maiky, WWF, Madagascar, Jules Razafimandimby, directeur des ventes de la Jirama, Dr Solofohery Rakotoniaina, de l'Ecole supérieure ...[+]

Conférence / Colloque ; Généralité énergie renouvelable ; International ; Madagascar

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- 80 p.
1976-2006 : 30 ans d'action au service du développement. Le GRET est une association professionnelle de solidarité et de coopération internationale travaillant en Afrique, Asie, Amérique latine, mais aussi en Europe, pour contribuer à un développement durable et solidaire et lutter contre la pauvreté et les inégalités structurelles

Afrique ; Afrique du Sud ; Aide sociale ; Amérique du Sud ; Asie ; Brésil ; Burkina Faso ; Cambodge ; Congo ; Coopération ; Électrification rurale ; Guinée ; Haiti ; International ; Madagascar ; Mauritanie ; Niger ; Organisme ; Pays En Développement ; Précarité ; Recensement / Inventaire ; Sénégal ; Vietnam

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