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Documents Amérique du Sud 36 résultats

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Cote CLER : EN LIGNE
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«Alerte rouge» en Amazonie: 26% de l'écosystème du poumon vert de la planète est irréversiblement détruit à cause de la déforestation, du narcotrafic et de la contamination, ont averti mardi des dirigeants indigènes réunis à Lima, au Pérou. «C'est très alarmant», a souligné auprès de l'AFP le Vénézuélien Gregorio Mirabal, à la tête de la Coordination des organisations autochtones du bassin amazonien (Coica), qui représente 3,5 millions d'indigènes habitant cette région.[-]
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«Alerte rouge» en Amazonie: 26% de l'écosystème du poumon vert de la planète est irréversiblement détruit à cause de la déforestation, du narcotrafic et de la contamination, ont averti mardi des dirigeants indigènes réunis à Lima, au Pérou. «C'est très alarmant», a souligné auprès de l'AFP le Vénézuélien Gregorio Mirabal, à la tête de la Coordination des organisations autochtones du bassin amazonien (Coica), qui représente 3,5 millions ...[+]

Amazonie ; Pérou ; Changement climatique ; Amérique du Sud ; Déforestation

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- n° 20 - p.46
Cote CLER : J
ARTICLE CONSULTABLE AU CLER
Cette centrale s'appelle El Romero Solar, sa mise en service a été annoncée par la multinationale espagnole Acciona.

Solaire photovoltaïque ; Amérique du Sud ; Chili ; Centrale solaire ; Énergie solaire

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Cote CLER : en ligne
ARTICLE EN LIGNE
Une mode venue d'Amérique Latine souffle sur l'Europe : les appels d'offres énergétiques « technologiquement neutres ». Il s'agit d'une nouvelle manière pour les gouvernements nationaux d'augmenter la capacité du parc électrique au meilleur coût. Quitte à laisser tomber leur politique énergétique ?

Politique ; Politique énergétique ; Appel d'offre ; Europe ; Amérique du Sud ; Espagne ; Généralité énergie renouvelable ; Énergie solaire ; Éolien ; Biomasse ; Chaleur renouvelable ; Électricité renouvelable

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ARTICLE EN LIGNE
Le président Nicolas Maduro a reconnu que l'importante sécheresse provoquée par le phénomène climatique El Nino a engendré "une situation extrême", avec la baisse du niveau d'eau des 18 barrages du pays. Il cherche des solutions permettant d'éviter "un rationnement douloureux pour le pays", ainsi qu'une hausse des tarifs de l'énergie.

Vénézuela ; Eau ; Changement climatique ; Économie d'énergie ; Politique énergétique ; Facture énergétique ; Maitrise De l'Énergie - MDE ; Amérique du Sud ; International

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- n° 230409
Cote CLER : A2
Plante sauvage, poussant dans les zones les plus arides, aux rendements élevés à l'hectare et produisant une huile affichant les mêmes propriétés que le diesel… Les vertus du jatropha curcas font que cette plante est régulièrement présentée comme le carburant vert de demain. Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Si le jatropha curcas peut présenter une source d'énergie alternative à l'échelle locale, les nombreuses recherches visant son industrialisation ont obtenus des résultats modestes aujourd'hui. Explications avec Gilles Vaitilingom, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). De l'état sauvage à la culture intensive : Poussant à l'état sauvage à Madagascar, en Egypte, en Amérique latine, en Inde et dans plusieurs pays du Sahel, le jatropha curcas est traditionnellement utilisé comme haie vive pour protéger cultures et habitations des animaux (ses graines sont toxiques pour les humains et les animaux) ou sous forme d'huile pour la cuisson, l'éclairage ou la production de savon. Chauffée au-delà de 110°C, cette huile affiche les mêmes propriétés que le diesel. Ce qui a suscité, dès les années 80, un fort engouement pour cette plante très résistante à la sécheresse. L'Inde et le Nicaragua, dès les années 80 - 90, ont mené des expériences pour développer une culture à grande échelle de cette plante. Les résultats s'étant montrés peu concluants, de nombreux projets ont échoué. Pourtant, aujourd'hui, avec la hausse récente du prix de pétrole et l'annonce de l'épuisement de cette ressource fossile, le jatropha curcas est revenu sur le devant de la scène, suscitant l'intérêt de nombreux groupes agro-industriels. Il y a 3 - 4 ans, dans la recherche de nouvelles sources de carburants, le jatropha curcas est sorti des oubliettes. Il y a certes un certain intérêt dans cette plante, mais pas là où on le croit, analyse Gilles Vaitilingom. Si cette plante est très répandue dans le monde tropical, car elle pousse bien et est capable de résister à de longues sécheresses, elle est cultivée à petite échelle, pour des haies… A partir du moment où l'on veut cultiver cette plante en verger, l'entretien nécessaire à la plupart des cultures s'impose aussi pour le jatropha : arrosage, engrais, protection contre les insectes ravageurs… Les coûts engendrés par la culture de masse du jatropha curcas n'ont pas été pris en compte au départ de nombreux projets, tant les propriétés « miraculeuses » de cette plante étaient vantées. Coûts d'entretiens élevés, rendements moins élevés ont été souvent constatés lors des recherches menées. Autre danger : le jatropha n'est pas comestible. L'agriculteur qui se lance dans cette culture doit donc être sûr de trouver un débouché à sa production. Dans les projets développés en Inde ou au Nicaragua dans les années 90, les agriculteurs, au bout de quelques années, ont fini par abandonner leurs cultures car elles ne leur procuraient pas les revenus promis. Les plus pauvres de ces paysans n'avaient même plus l'argent pour les faire arracher. Le risque est de créer une dépendance de l'agriculteur envers l'acheteur, entraînant des prix d'achat relativement bas. Le jatropha serait donc un mirage ? Une alternative énergétique à l'échelle locale : Les projets relancés ces dernières années autour du jatropha ont mené à ces mêmes conclusions. Pourtant, pour Gilles Vaitilingom, cette plante a un intérêt aujourd'hui, pour la production de carburants à usages locaux. A condition que la plante soit cultivée dans des zones arides, où aucune autre culture est possible, ou que la plante soit cultivée à petite échelle aux côtés d'autres cultures, pour satisfaire les besoins des agriculteurs en carburant ou pour l'électrification d'un village. Dans ces conditions là, la culture du jatropha est bénéfique, présentant un double intérêt : une production de carburant locale et la lutte contre l'érosion. Plus question de culture à grande échelle ? Il y a une petite fenêtre qui reste ouverte. De nombreux projets de recherches ont été lancés il y a quelques années avec le retour de l'engouement pour cette plante. Ils pourraient permettre de parvenir à une sélection d'espèce plus résistante, fournissant un meilleur rendement et dont les produits secondaires (tourteaux…) seraient comestibles pour les animaux. D'autres plantes suscitent également l'intérêt aujourd'hui : le pangomia, le balanite, le babassu ou encore le buriti. L'huile produite à partir de ces plantes étant comestible, leur culture apparaît moins risquée pour l'agriculteur qui a ainsi différents débouchés. Mais comme c'est le cas aujourd'hui pour la production à grande échelle d'huile de palme, une culture intensive de ces plantes pourrait entrer en concurrence avec le maintien des prairies, des forêts primaires ou même de cultures vivrières. Ces nouvelles plantes gagnent de l'intérêt, mais leur potentiel doit être exploité dans des zones ou rien d'autre ne pousse. Comme la plupart des agrocarburants, ces plantes ont intérêt à être développées à échelle locale, pour un usage local. Avec une éventuelle importation et industrialisation, ces productions perdent leur raison d'être. Il n'y a donc pas de miracle qui tienne.[-]
Plante sauvage, poussant dans les zones les plus arides, aux rendements élevés à l'hectare et produisant une huile affichant les mêmes propriétés que le diesel… Les vertus du jatropha curcas font que cette plante est régulièrement présentée comme le carburant vert de demain. Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Si le jatropha curcas ...[+]

Amérique du Sud ; Biocarburant ; Égypte ; Huile végétale ; Inde ; Jatropha ; Madagascar ; Recherche

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- n° 16
Cote CLER : A2
L'asemblée générale 2007, les Andes (Bolivie) en 2007, en direct du Pérou et du Chili.

Afrique ; Amérique du Sud ; Autoconstruction ; Bilan ; Bolivie ; Burkina Faso ; Chili ; Cuiseur solaire ; Formation ; Four solaire ; Mali ; Pays En Développement ; Pérou ; Réalisation ; Stage

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- n° 16
Cote CLER : B1
En mai 2006, une conférence avait été organisée en allemagne par BTZ, l'organisme public allemand de développement international, sur le potentiel mondial des biocarburants pour le transport.

Afrique ; Allemagne ; Amérique du Sud ; Asie ; Australie ; Biocarburant ; Biodiesel ; Brésil ; Céréale ; Chine ; Conférence / Colloque ; Éthanol ; Huile végétale ; Inde ; International ; Oléagineux ; Pays En Développement ; Tanzanie

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PUITS DE CARBONE | SCIENCE & VIE 1/06/05

Article

- n° 1053
Cote CLER : C2

Amérique du Sud ; Brésil

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- n° 191104
Cote CLER : B5
Des producteurs de café du Costa Rica récoltent les bénéfices de la technologie solaire canadienne Au moyen d'une technologie solaire de pointe, un partenariat dirigé par des Canadiens aide des producteurs de café du Costa Rica a économiser de l'énergie et à ménager l'environnement. Aujourd'hui, Mme Sylvy Gariepy, conseillère commerciale à l'Ambassade du Canada au Costa Rica, a inauguré, à Tilaran, un site-test d'avant-garde pour le séchage du café par énergie solaire - le plus grand en son genre en Amérique centrale. «C'est vraiement une journée formidable pour l'avenir de l'énergie solaire dans les applications agricoles, a déclaré Mme Gariepy. Cette installation est un excellent exemple du potentiel illimité et des avantages de cette source d'énergie renouvelable.» Le site a été mis en exploitation par Ressources naturelles Canada (RNCan), le programme TEAM (Mesures d'action précoce en matière de technologie) du gouvernement du Canada, Conserval Engineering Inc. de Toronto et Coopeldos R.L., une coopérative de production de café du Costa Rica. «Ce projet est un autre exemple de leadership canadien en matière d'élaboration d'initiatives novatrices visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) qui auront des retombées favorables durables au pays et partout dans le monde, a déclaré l'honorable R. John Efford, ministre des Ressources naturelles du Canada. Accroître l'efficacité énergétique et utiliser des sources d'énergie propres et renouvelables est essentiel pour aborder le défi que présentent les changements climatiques.» À l'installation de Tilaran, 850 mètres carrés de capteurs Solarwall® de Conserval ont été installés sur le toit. Des ventilateurs attirent l'air chauffé des capteurs perforés pour sécher les grains de café. La technologie de Solarwall a été mise au point avec l'aide de RNCan. Elle s'avère 40 % plus efficace que celle des produits solaires conventionnels et son coût est moindre de 25 % . «Coopeldos a fait preuve de leadership dans l'industrie du café en adoptant l'énergie solaire, et ses clients, dont Starbucks, profitent de la qualité et du goût des grains de café séchés par énergie solaire», de dire John Hollick, président de Conserval Engineering Inc. «Pour Coopeldos R.L., il s'agit d'une occasion en or, car celle-ci nous permet de réaliser deux des objectifs de notre organisation : la qualité et l'innovation. L'utilisation de technologies qui protègent l'environnement est un autre élément dont nos clients pourront tenir compte lorsqu'ils choisiront notre café. Celui-ci est non seulement de culture biologique et de la plus haute qualité, il est aussi produit grâce à une technologie qui évite le déboisement, tandis que notre ancien système fonctionnait au bois », a expliqué Juan Carlos Álvares, le directeur général de Coopeldos R.L. Ce projet a été suscité par une étude, dirigée par le Canada, du programme de chauffage et de refroidissement solaire de l'Agence internationale de l'énergie. L'étude a permis de constater que les systèmes de séchage de récolte par énergie solaire entraînaient d'importantes économies d'énergie, une réduction de l'utilisation des combustibles fossiles et une diminution des émissions de GES. L'installation de Tilaran fait partie de six sites-tests, les autres se trouvant au Panama, en Chine et en Inde. Ces sites devraient réduire les émissions de dioxyde de carbone de 1 000 tonnes par année. Cet objectif est possible à réaliser principalement grâce au remplacement des combustibles fossiles. En outre, les projets du Costa Rica et du Panama aident à empêcher la déforestation en réduisant la quantité de bois brûlé. Le programme TEAM a fourni 582 750 $ pour ce projet d'un million et demi de dollars, qui durera trois ans. La contribution de RNCan s'élève à 175 000 $. Ce projet renforce le rôle de chef de file que joue le Canada à l'échelle internationale dans les secteurs des ressources naturelles, qui sont un élément clé de l'économie et de la société canadiennes. Il soutient également l'engagement du gouvernement du Canada déterminé à faire fond sur la vigueur de notre pays et de sa population. On trouvera d'autres renseignements sur la technologie de Solarwall sur le site  http://www.solarwall.com[-]
Des producteurs de café du Costa Rica récoltent les bénéfices de la technologie solaire canadienne Au moyen d'une technologie solaire de pointe, un partenariat dirigé par des Canadiens aide des producteurs de café du Costa Rica a économiser de l'énergie et à ménager l'environnement. Aujourd'hui, Mme Sylvy Gariepy, conseillère commerciale à l'Ambassade du Canada au Costa Rica, a inauguré, à Tilaran, un site-test d'avant-garde pour le séchage du ...[+]

Amérique du Sud ; Séchage solaire

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- n° 130704
Cote CLER : B5
L´entreprise ALL (América Latina Logística), qui utilise 15.000 km de voies ferrées dans des zones stratégiques du sud du Brésil et de l´Argentine, va remplacer un quart de son carburant dérivé du pétrole par du biocarburant à base d´huile de soja. Ses 580 locomotives devraient ainsi utiliser 35 millions de litres de biocarburant par an. Il est prévu d´utiliser le mélange B20, composé de 20% de biocarburant et de 80% de gazole, qui a montré un rendement équivalent à celui du gazole pur.[-]
L´entreprise ALL (América Latina Logística), qui utilise 15.000 km de voies ferrées dans des zones stratégiques du sud du Brésil et de l´Argentine, va remplacer un quart de son carburant dérivé du pétrole par du biocarburant à base d´huile de soja. Ses 580 locomotives devraient ainsi utiliser 35 millions de litres de biocarburant par an. Il est prévu d´utiliser le mélange B20, composé de 20% de biocarburant et de 80% de gazole, qui a montré un ...[+]

Amérique du Sud ; Biocarburant ; Ferroutage ; Soja ; Taux de biocarburant

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