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Après avoir plus que doublé entre 2010 et 2014, les investissements dans l'exploration ont chuté de 20 % en 2015.

Gaz ; Industrie ; Pétrole ; Brésil ; Égypte ; Energie fossile ; Chiffre clé ; Investissement ; Changement climatique ; Aspect économique ; Financement ; Aspect financier

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La semaine dernière, l'un des gouverneurs régionaux de l'Ukraine a lancé un projet pilote dans l'éolien (57,5 MW), prélude à d'autres solutions énergétiques vertes dans le pays.

Ukraine ; Éolien ; Éolienne ; Région ; Turbine / Génératrice ; Production d'électricité ; Gaz naturel ; Réserve / Ressource energétique ; Système autonome ; Inde ; Brésil ; Mexique ; Égypte ; Maroc ; Tunisie

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- n° 230409
Cote CLER : A2
Plante sauvage, poussant dans les zones les plus arides, aux rendements élevés à l'hectare et produisant une huile affichant les mêmes propriétés que le diesel… Les vertus du jatropha curcas font que cette plante est régulièrement présentée comme le carburant vert de demain. Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Si le jatropha curcas peut présenter une source d'énergie alternative à l'échelle locale, les nombreuses recherches visant son industrialisation ont obtenus des résultats modestes aujourd'hui. Explications avec Gilles Vaitilingom, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). De l'état sauvage à la culture intensive : Poussant à l'état sauvage à Madagascar, en Egypte, en Amérique latine, en Inde et dans plusieurs pays du Sahel, le jatropha curcas est traditionnellement utilisé comme haie vive pour protéger cultures et habitations des animaux (ses graines sont toxiques pour les humains et les animaux) ou sous forme d'huile pour la cuisson, l'éclairage ou la production de savon. Chauffée au-delà de 110°C, cette huile affiche les mêmes propriétés que le diesel. Ce qui a suscité, dès les années 80, un fort engouement pour cette plante très résistante à la sécheresse. L'Inde et le Nicaragua, dès les années 80 - 90, ont mené des expériences pour développer une culture à grande échelle de cette plante. Les résultats s'étant montrés peu concluants, de nombreux projets ont échoué. Pourtant, aujourd'hui, avec la hausse récente du prix de pétrole et l'annonce de l'épuisement de cette ressource fossile, le jatropha curcas est revenu sur le devant de la scène, suscitant l'intérêt de nombreux groupes agro-industriels. Il y a 3 - 4 ans, dans la recherche de nouvelles sources de carburants, le jatropha curcas est sorti des oubliettes. Il y a certes un certain intérêt dans cette plante, mais pas là où on le croit, analyse Gilles Vaitilingom. Si cette plante est très répandue dans le monde tropical, car elle pousse bien et est capable de résister à de longues sécheresses, elle est cultivée à petite échelle, pour des haies… A partir du moment où l'on veut cultiver cette plante en verger, l'entretien nécessaire à la plupart des cultures s'impose aussi pour le jatropha : arrosage, engrais, protection contre les insectes ravageurs… Les coûts engendrés par la culture de masse du jatropha curcas n'ont pas été pris en compte au départ de nombreux projets, tant les propriétés « miraculeuses » de cette plante étaient vantées. Coûts d'entretiens élevés, rendements moins élevés ont été souvent constatés lors des recherches menées. Autre danger : le jatropha n'est pas comestible. L'agriculteur qui se lance dans cette culture doit donc être sûr de trouver un débouché à sa production. Dans les projets développés en Inde ou au Nicaragua dans les années 90, les agriculteurs, au bout de quelques années, ont fini par abandonner leurs cultures car elles ne leur procuraient pas les revenus promis. Les plus pauvres de ces paysans n'avaient même plus l'argent pour les faire arracher. Le risque est de créer une dépendance de l'agriculteur envers l'acheteur, entraînant des prix d'achat relativement bas. Le jatropha serait donc un mirage ? Une alternative énergétique à l'échelle locale : Les projets relancés ces dernières années autour du jatropha ont mené à ces mêmes conclusions. Pourtant, pour Gilles Vaitilingom, cette plante a un intérêt aujourd'hui, pour la production de carburants à usages locaux. A condition que la plante soit cultivée dans des zones arides, où aucune autre culture est possible, ou que la plante soit cultivée à petite échelle aux côtés d'autres cultures, pour satisfaire les besoins des agriculteurs en carburant ou pour l'électrification d'un village. Dans ces conditions là, la culture du jatropha est bénéfique, présentant un double intérêt : une production de carburant locale et la lutte contre l'érosion. Plus question de culture à grande échelle ? Il y a une petite fenêtre qui reste ouverte. De nombreux projets de recherches ont été lancés il y a quelques années avec le retour de l'engouement pour cette plante. Ils pourraient permettre de parvenir à une sélection d'espèce plus résistante, fournissant un meilleur rendement et dont les produits secondaires (tourteaux…) seraient comestibles pour les animaux. D'autres plantes suscitent également l'intérêt aujourd'hui : le pangomia, le balanite, le babassu ou encore le buriti. L'huile produite à partir de ces plantes étant comestible, leur culture apparaît moins risquée pour l'agriculteur qui a ainsi différents débouchés. Mais comme c'est le cas aujourd'hui pour la production à grande échelle d'huile de palme, une culture intensive de ces plantes pourrait entrer en concurrence avec le maintien des prairies, des forêts primaires ou même de cultures vivrières. Ces nouvelles plantes gagnent de l'intérêt, mais leur potentiel doit être exploité dans des zones ou rien d'autre ne pousse. Comme la plupart des agrocarburants, ces plantes ont intérêt à être développées à échelle locale, pour un usage local. Avec une éventuelle importation et industrialisation, ces productions perdent leur raison d'être. Il n'y a donc pas de miracle qui tienne.[-]
Plante sauvage, poussant dans les zones les plus arides, aux rendements élevés à l'hectare et produisant une huile affichant les mêmes propriétés que le diesel… Les vertus du jatropha curcas font que cette plante est régulièrement présentée comme le carburant vert de demain. Pourtant, de nombreuses expériences menées à grande échelle ont démontré que la culture de cette plante « miraculeuse » n'était pas si facile que ça. Si le jatropha curcas ...[+]

Amérique du Sud ; Biocarburant ; Égypte ; Huile végétale ; Inde ; Jatropha ; Madagascar ; Recherche

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- n° 182
Cote CLER : C4
La filière héliothermodynamique – celle qui produit de l'électricité grâce aux hautes températures obtenues par la concentration des rayons du soleil - est en pleine effervescence. Aux États-Unis, la centrale de 64 MW Nevada Solar One vient d'être raccordée au réseau. En France, une unité de 20 MW est annoncée pour 2010. Des milliers de mégawatts sont annoncés pour les années à venir.

Afrique du Sud ; Algérie ; Australie ; Californie ; Centrale solaire ; Concentrateur solaire ; Égypte ; Électricité renouvelable ; Espagne ; États Unis ; Région française administrative ; Haute température ; Inde ; International ; Iran ; Israel ; Italie ; Maroc ; Portugal ; Production d'électricité ; Réalisation ; Recensement / Inventaire ; Solaire thermodynamique ; Tour solaire

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- n° 190105
Cote CLER : B5
"Autriche L'Institut pour les constructions hydrauliques d'Innsbruck (IWI) remporte deux appels d'offre en Afrique L'Institut pour les constructions hydrauliques d'Innsbruck a remporte cette annee deux appels d'offre en Afrique pour deux projets de construction de barrages hydrauliques, l'un en Egypte et l'autre au Soudan. Il devient ainsi l'un des leaders mondiaux pour la realisation de maquettes de construction nautique. Son projet n'est pourtant pas le meilleur marche mais il s'appuie sur de nouvelles techniques de fabrication qui ont seduit les commanditaires. Ainsi, la piece maitresse du barrage sera realisee par un robot autonome. Celui-ci va mettre en forme de maniere tres precise de la mousse extremement dure utilisee pour la construction de la maquette. Ce robot est guide par des capteurs electroniques qui mesurent en continu les dimensions ainsi que la courbure du barrage. Pour chacun des appels d'offre, une maquette au 1/40eme et au 1/ 25eme ont ete realisees. La plus grande des maquettes a deja une hauteur d'eau de trois metres et doit supporter une pression enorme. Le barrage, dont les travaux devraient commencer en 2007, mesurera 67 metres de haut pour une longueur de 9,2 kilometres ! Un consortium chinois devrait realiser cet ouvrage. Le beton et l'acier remplaceront la mousse de la maquette. La retenue d'eau devrait s'etendre sur 200 kilometres. La production electrique sera equivalente a celle d'une centrale nucleaire, aux alentours de 1250 Mega Watts. Cet ouvrage doit permettre au Soudan de doubler sa production electrique. Pour le Professeur Peter Rutschmann de l'Institut pour la construction hydraulique, ""ce barrage devrait ameliorer les infrastructures des campagnes qui sont en grande partie tres pauvres"". Contacts : Peter Rutschmann - tel : +43 512 507 6943, fax : +43 512 507 2912 - courriel : peter.rutschmann@uibk.ac.at adresse sur la toile : http://water2.uibk.ac.at/de/index.html Sources : APA , 13/12/2004 "[-]
"Autriche L'Institut pour les constructions hydrauliques d'Innsbruck (IWI) remporte deux appels d'offre en Afrique L'Institut pour les constructions hydrauliques d'Innsbruck a remporte cette annee deux appels d'offre en Afrique pour deux projets de construction de barrages hydrauliques, l'un en Egypte et l'autre au Soudan. Il devient ainsi l'un des leaders mondiaux pour la realisation de maquettes de construction nautique. Son projet n'est ...[+]

Appel d'offre ; Barrage hydraulique ; Égypte ; Soudan

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- n° 9/2010
Cote CLER : C3
L'énorme potentiel de l'utilisation des énergies renouvelables dans le nord de l'Afrique est devenu évident depuis que le concept Desertec a été conçu. Maintenant les états eux-mêmes ont perçu les applications possibles.

Afrique ; Algérie ; Biogaz ; Égypte ; Généralité énergie renouvelable ; Maroc ; Solaire photovoltaïque ; Solaire thermique ; Tunisie

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- n° 161
Cote CLER : C3
- Depuis 15 ans, aucun nouveau projet de centrale solaire thermodynamique n'a vu le jour, mais il semblerait que l'annonce de la construction d'une centrale solaire nouvelle génération au névada, et le renouveau des politiques publiques en faveur des éner

Afrique ; Algérie ; Centrale solaire ; Concentrateur solaire ; Égypte ; Espagne ; États Unis ; Inde ; Iran ; Israel ; Italie ; Maroc ; Mexique ; Midi Pyrénées ; Production d'électricité ; Production de chaleur ; Solaire thermodynamique

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