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Documents Prix du carburant 27 résultats

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- n° 157
Cote CLER : A1
Souvent mise en avant pour expliquer la hausse des prix mondiaux des céréales, l'augmentation de la production d'éthanol, particulièrement visible aux États-Unis, ne résiste pas à l'examen des chiffres. Car la production a suivi la hausse des besoins.

Céréale ; Chiffre clé ; Croissance / Augmentation ; Éthanol ; Prix du carburant ; Production carburant

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- n° 845
Cote CLER : B1
Montauban (82) et la communauté d'agglomération de Montauban et des Trois-Rivières ont signé un protocole pour l'expérimentation des huiles végétales pures comme carburant. Ce test concerne 37 véhicules (bennes à ordures, camions-bennes, tracteurs), soit 22% de la flotte et 50% des consommations de gasoil. La collectivité ne réalisera pas d'économie sur le prix du carburant car elle doit s'acquitter d'une TIC (Taxe Intérieure sur la Consommation) qui rend le prix du biocarburant équivalent à celui du diesel.[-]
Montauban (82) et la communauté d'agglomération de Montauban et des Trois-Rivières ont signé un protocole pour l'expérimentation des huiles végétales pures comme carburant. Ce test concerne 37 véhicules (bennes à ordures, camions-bennes, tracteurs), soit 22% de la flotte et 50% des consommations de gasoil. La collectivité ne réalisera pas d'économie sur le prix du carburant car elle doit s'acquitter d'une TIC (Taxe Intérieure sur la Con...[+]

Biocarburant ; Collectivité locale ; Expérimentation ; Huile végétale ; Midi Pyrénées ; Prix du carburant ; Réalisation ; Taux de biocarburant ; Taxe ; Tournesol ; Vehicule municipal

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- n° 81206
Cote CLER : B5
"http://www.vendee.fr/vendee/actualites/default.asp?art=1480 Avec l'aide du Conseil Général, la Coopérative d'Utilisateurs de Matériel Agricole (CUMA) Défi 85 vient d'acquérir une nouvelle presse à huile végétale brute. L'huile végétale, énergie renouvelable Elle est arrivée mi-octobre, la nouvelle presse à huile semi-automatique que la trentaine d'adhérents de la CUMA Défi 85 attendait tant. Au sein de cette coopérative, un groupe Huile Végétale Brute a été créé fin 2004 avec quelques pionniers. Celui-ci avait alors investi dans une petite presse capable d'extraire l'huile des graines de colza ou de tournesol. Une expérience qui s'avère rapidement payante puisque de nombreux agriculteurs se rallient au projet qui leur permet de faire fonctionner leurs tracteurs avec de 30% à 100% d'huile : un carburant respectueux de l'environnement et qui leur revient à un moindre coût. Une huile de meilleure qualité L'engouement des agriculteurs pour cette énergie renouvelable et le soutien du Conseil Général a donc poussé les adhérents de la CUMA défi 85 à moderniser leur équipement. Et c'est au GAEC des Trois Pierres, à Treize-Septiers, que la nouvelle presse fait ses premières armes. Sous une trémie, grand cône pouvant contenir jusqu'à trois tonnes de tournesol ou de colza, une vis sans fin broie les graines; jusqu'à 100kg/h soit trois fois plus que l'ancienne machine. Mais surtout, l'intérêt de la nouvelle presse est qu'elle permet d'obtenir une huile de bien meilleure qualité en évitant les surchauffes. Car quand la machine chauffe, des gommes et des phospholipides se créent et abîment ensuite les moteurs. Le pressage à froid, c'est ainsi qu'on le nomme, permet aujourd'hui d'extraire de chaque graine 30% d'huile. Réduction des gaz à effets de serre Cette huile, que l'on pourrait mettre dans sa salade, décante ensuite durant environ un mois en cuve. Puis elle est filtrée avant d'être stockée dans des cuves à eau potable. En huit jours environ, un agriculteur peut ainsi produire près de 5 000 litres d'huile soit la consommation annuelle de ses engins agricoles. Un litre d'huile lui coûte environ 0,45 centimes s'il a acheté ses graines et 10 de moins s'il les a cultivées lui-même. Par ailleurs, ce procédé permet de réduire les gaz à effet de serre. En effet, quand on brûle de l'huile végétale, le bilan énergétique est nul : le CO2 produit est égal au CO2 que la plante a détruit durant sa croissance. Dernier atout de la presse à huile, et non des moindres : ce qui reste de la graine après qu'elle ait été pressée est comestible par les animaux. Les tourteaux gras, riches en protéines, sont par exemple utilisés pour l'alimentation des porcs ou des bovins. «Cet aliment nous évite d'acheter du soja américain pour nos bêtes», se félicite un agriculteur, qui ajoute : «Grâce au projet du Conseil Général, de nombreux autres groupements d'agriculteurs devraient s'engager dans cette voie à la fois économique et respectueuse de l'environnement.» ------------------------------------- France : Les maires dans une mer d'huile http://www.liberation.fr/actualite/terre/221709.FR.php?utk=0006bf47   Energie. Les huiles végétales seront autorisées en janvier pour les collectivités. Le point avec un pionnier de leur utilisation, le socialiste Jérôme Cahuzac.   A titre expérimental, les ministres de l'Agriculture et de l'Industrie, Dominique Bussereau et François Loos, ont autorisé la semaine dernière l'utilisation des huiles végétales pures dans les véhicules des collectivités territoriales. Jusqu'à présent, les agriculteurs produisant ces huiles n'étaient autorisés à les utiliser qu'en autoconsommation, et la vente était passible de poursuites. A partir du 1er janvier, les collectivités pourront s'en servir pour rouler, à condition de «signer des protocoles avec l'Etat», ainsi que les agriculteurs et les marins pêcheurs. Pionnière en la matière, la communauté de communes du Villeneuvois (Lot-et-Garonne) fait déjà rouler depuis un an ses camions bennes à l'huile de tournesol. En juin, le tribunal administratif de Bordeaux lui avait donné tort, et avait annulé ses délibérations. Une demande de sursis à exécution a été introduite. Le point avec le député-maire (PS) Jérôme Cahuzac, président de la communauté de communes.   La décision du tribunal se fait attendre...    Le jugement aurait dû être publié il y a une semaine. Puis il a été reporté à la fin de celle-ci. Et finalement on ne sait pas quand il sera annoncé. Entre-temps, le gouvernement a changé de position afin de ne pas perdre la face. Je ne veux y voir qu'une coïncidence. Lors de l'audience, en octobre, le commissaire du gouvernement avait clairement indiqué que la directive européenne de 2003 autorisant les huiles végétales primait sur le droit national. Tout laisse penser que le sursis va être accordé. Mais si on nous donne raison sur le fond, tout le monde aura le droit d'utiliser ce produit. Alors que le gouvernement veut continuer à en restreindre l'accès.   Quel est votre sentiment face aux annonces des deux ministres ?    C'est un frein supplémentaire. Contrairement à ce qu'ils veulent afficher, cela limite l'utilisation des huiles végétales pures à l'agriculture, à la pêche et aux flottes captives des collectivités. Mais si c'est bon pour les uns, pourquoi ça ne le serait pas pour les autres ? Par ailleurs, ils proposent une taxation de 17 %, à laquelle s'ajoute la TVA agricole à 5,5 %. Ce n'est pas viable. Ça ne peut fonctionner que si on taxe à hauteur de 10 ou 12 %, tout confondu. Donc le combat continue, pour parvenir à une utilisation pour tous, et à une taxation non-dissuasive.   Quelle différence entre les huiles végétales et les autres biocarburants ?    Il existe deux biocarburants : le flex fuel, un substitut d'essence, à base de blé ou de betterave, dont la production est maîtrisée et contrôlée par l'industrie pétrolière, et que le gouvernement veut privilégier. L'autre ce sont les huiles végétales pures, qui remplacent le gasoil, et que le gouvernement fait tout pour stopper. Ces huiles sont produites localement, et les compagnies pétrolières n'ont aucun pouvoir dessus. Il n'y a pas de transport, pas de transformation, la valeur ajoutée reste sur le territoire. Dans le département, les gens connaissent les presses qui produisent de l'huile clandestinement. Ils les utilisent : c'est une distribution locale avec un profit local.   Après un an d'utilisation, avez-vous rencontré des difficultés techniques ?    Aucune. Quand on respecte la norme de filtrage à un micron, ça marche très bien. Nous avons déjà fait plusieurs dizaines de milliers d'euros d'économies. L'exploitation qui nous fournit a augmenté son chiffre d'affaires de 30 %. Et avec 16 000 hectares en jachère dans le département, le potentiel est énorme. Ensuite les déchets végétaux, le tourteau, servent d'alimentation pour le bétail, alors que c'est actuellement un produit qu'on importe. En fait, il n'y a que des avantages. C'est une filière économique qui permet aux territoires ruraux d'espérer.   Comment se présente l'avenir ?    Agen, Marmande, La Rochelle et Château-Thierry l'expérimentent. Plusieurs dizaines d'autres collectivités sont venues s'informer. Du jour où le tribunal nous donnera le sursis à exécution, elles suivront. Sur la taxation, le débat parlementaire va s'ouvrir dans les jours qui viennent. Mais il y a peu de chances que le gouvernement recule. Et dans ce cas, on rouvrira le débat pour la campagne présidentielle."[-]
"http://www.vendee.fr/vendee/actualites/default.asp?art=1480 Avec l'aide du Conseil Général, la Coopérative d'Utilisateurs de Matériel Agricole (CUMA) Défi 85 vient d'acquérir une nouvelle presse à huile végétale brute. L'huile végétale, énergie renouvelable Elle est arrivée mi-octobre, la nouvelle presse à huile semi-automatique que la trentaine d'adhérents de la CUMA Défi 85 attendait tant. Au sein de cette coopérative, un groupe Huile ...[+]

Agriculteur ; Biocarburant ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Collectivité locale ; Consommation de carburant ; Coopérative ; Expérimentation ; Région française administrative ; Huile végétale ; Midi Pyrénées ; Pays de la Loire ; Prix du carburant ; Production carburant ; Réalisation ; Tritureuse / presse ; Vehicule municipal

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- n° 816
Cote CLER : B1
Le cours du blé et de la betterave n'ont jamais été aussi haut. L'augmentation des coûts des matières premières des biocarburants est-elle éphémère ou assiste-t-on à une croissance durable des prix de ces carburants. Le Brésil peut facilement et rapidement exporter d'importantes quantités de biocarburants . Le coût de production des matières premières est passé de 0,4 à 0,60€/l contre 0,23€/l au Brésil et 0,24€/l aux états unis

Betterave ; Biocarburant ; Blé ; Brésil ; Coût de production ; États Unis ; Europe ; Région française administrative ; Importation ; Industrie ; Matière première ; Milieu agricole ; Prix de l'énergie ; Prix du carburant ; Secteur industriel

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- n° 811
Cote CLER : B1
Après une année d'études, la ville a installé une chaufferie fonctionnant uniquement avec un biocombustible.

Alsace ; Approvisionnement ; Chaudière à huile ; Colza ; Commune / Ville ; Huile végétale ; Prix du carburant ; Réalisation

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- n° 442
Cote CLER : B5
Utiliser l'argent du pétrole pour financer la baisse de sa consommation, une ardente obligation pour l'état. www.chercarburant.org, propose aux consommateurs d'évaluer le surcout de sa facture de carburant depuis 2003.

Calcul énergétique ; Carburant ; Croissance / Augmentation ; Dépendance énergétique ; Financement ; Généralité énergie renouvelable ; Pétrole ; Prix du carburant ; Prix du pétrole ; Site Internet ; TIPP

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- n° 144
Cote CLER : A1
"Le Ministre de l'Économie det de Fiannces a affirmé le 26/09 la volonté du gouvernement de voir se mettre en place 500 pompes au bioéthanol E85 en France en 2007. Cet éthanol devrait faire l'objet d'une ""taxation minimale"" et être vendue 0,8 euro le litre à la pompe selon Dominique de Villepin. Des mesures gouvernenmantales seront annoncées ""très prochainement"""

Biocarburant ; Éthanol ; Fiscalité ; Programme de développement ; Politique énergétique ; Prix du carburant ; Projet ; Station service

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- n° 30806
Cote CLER : B5
"http://www.lhebdojournal.com/article-27303-LEthanol-une-solution-davenir-ou-un-leurre.html Un carburant renouvelable qui réduit notre dépendance énergétique et diminue l'effet de serre ? Une bonne idée en apparence. A moins qu'il ne coûte plus cher que l'essence et ne contienne moins d'énergie qu'il n'en faut pour le produire...   De plus en plus de constructeur offrent des véhicules à carburant «flexible » pouvant fonctionner à l'essence et à l'éthanol, avec un mélange allant jusqu'à 85%. Si ce carburant est moins nocif pour l'environnement à sa sortie de l'échappement, sa production demande une grande quantité d'énergie qui annule ses bienfaits. Alors pourquoi les constructeurs offre une approche à l'éthanol. Issu de l'agriculture (maïs, bois), il réduit l'effet de serre ainsi que notre dépendance énergétique. Cerise sur le gâteau, les moteurs actuels le tolèrent très bien, moyennant quelques modifications.   L'exemple du Brésil et de la Suède   Le Brésil est le plus grand producteur mondial de canne à sucre et produit du Bioéthanol, un alcool très proche de la vodka issu de la transformation de céréales, de betteraves ou de cannes à sucre. Les Brésiliens l'ont adopté en masse voilà une trentaine d'années. La Suède, qui en avait fait son carburant de substitution pendant la pénurie des années quarante, redécouvre aujourd'hui ses vertus écologiques.   Il aura suffi que le gouvernement suédois s'engage fin 2004 à supprimer les taxes sur le bioéthanol pour que Saab se décide à investir dans ce carburant alternatif. Lancée au printemps 2005, la 9-5 BioPower fonctionne sur un mélange à 85 % d'éthanol (appelé E85) et représente déjà 80 % des ventes de ce modèle dans le pays. Par ailleurs, 22.000 Ford Focus ou C-Max Bioflex roulent déjà au bioéthanol. Elles représentent déjà près de 10 % des voitures neuves vendues en Suède.   Zéro taxe sur le E85 : les Suédois disent oui !   Sans rien changer à leurs habitudes de conduite, ces citoyens vertueux ont la satisfaction de rouler plus propre tout en réalisant de substantielles économies. Près de 4.000 euros par an à en croire les gens de chez Saab si on cumule les économies à la pompe (E85 quasiment exempté de taxes), la taxe de vente ajoutée à taux réduit pour les véhicules propres (-20 à -30 %) et le stationnement gratuit dans la majorité des grandes villes du pays. De quoi donner à réfléchir pour d'autres pays industrialisés   De fait, s'il bénéficiait des mêmes incitations fiscales, le bioéthanol pourrait connaître un engouement similaire au canada.   Energivore et encore cher à produire   Si le litre de E85 s'affiche en Suède à 87 centimes contre 1,25 euro pour le SP 95, c'est bien grâce à son régime fiscal particulier. ""Sans ce coup de pouce, reconnaît Nicholas Källsäter, responsable de réseau chez le distributeur de carburants Statoil, le bioéthanol coûterait plus cher à la pompe que le super. S'il était soumis aux mêmes taxes que les autres carburants, le E85 n'aurait jamais percé comme il l'a fait en Suède.""   La raison de ce coût élevé ? Un processus de distillation qui n'exploite que le maïs ou la céréale, et laisse de côté la tige. A ce jour, les chiffres les plus optimistes font état de rendements de 370 litres d'éthanol à la tonne de maïs, de 340 litres à la tonne de blé et de 100 litres à la tonne de betterave. A l'étude depuis plus de dix ans, un nouveau processus de biomasse utilisant l'intégralité de la plante promet des gains de productivité énormes. Impératif si l'on ne veut pas, à terme, empiéter sur les surfaces cultivables consacrées à l'alimentation.   Reste la question épineuse du bilan énergétique global du bioéthanol : combien d'énergie faut-il dépenser pour produire un litre de ce biocarburant qui permet d'aller moins loin qu'avec de l'essence (- 25 % environ avec le E85 ) ? Là encore, les conclusions divergent.   Bilan énergétique : il n'y a pas de miracle   Si l'on en croit les travaux menés par PriceWaterhouseCoopers à la demande de l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'éngergie) de la DIREM (Direction des Ressouces Energétiques et Minérales), ""la filière bioéthanol restitue actuellement deux fois plus d'énergie qu'elle ne consomme d'énergie non renouvelable. Comparativement, l'essence restitue moins d'énergie qu'elle n'en consomme.""   L'EPA américaine (Environmental Protection Agency) se veut un peu moins optimiste. Selon son rapport, ""pour 1,3 unité d'énergie de bioéthanol produite, il faudrait brûler 1 unité d'énergie fossile non-renouvelable"" dans les moteurs des tracteurs et dans les usines de distillation. Selon d'autres études américaines citées par les magazines Business Week et Car and Driver, ce bilan deviendrait même carrément négatif en cas de mauvais rendement à l'hectare.   Les écologistes ont cependant la parade absolue. Selon eux la substitution d'une tonne de bioéthanol à une tonne d'essence réduirait de 75 % les émissions de gaz à effet de serre. D'une part parce que sa combustion est naturellement plus propre, mais aussi parce que ""le CO2 dégagé est le même que celui que la plante avait puisé précédemment dans l'atmosphère pour sa croissance.""   Ainsi, le bioéthanol ne participerait pas à l'augmentation de l'effet de serre. Tout au plus à l'entretien de ce cycle naturel.   L'éthanol n'est pas LA solution. Il est UNE des solutions   Dans cette bataille de chiffres, une certitude émerge : pas plus que les autres biocarburants, le bioéthanol ne pourra remplacer le super sans plomb et le Diesel. L'avenir des transports passera par la cohabitation entre une multitude de carburants. "[-]
"http://www.lhebdojournal.com/article-27303-LEthanol-une-solution-davenir-ou-un-leurre.html Un carburant renouvelable qui réduit notre dépendance énergétique et diminue l'effet de serre ? Une bonne idée en apparence. A moins qu'il ne coûte plus cher que l'essence et ne contienne moins d'énergie qu'il n'en faut pour le produire...   De plus en plus de constructeur offrent des véhicules à carburant «flexible » pouvant fonctionner à l'essence et à ...[+]

Brésil ; Canada ; Coût de production ; Éthanol ; Prix du carburant ; Suède ; Taxe

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- n° 151205
Cote CLER : B5
"http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/31124.htm C'est une premiere en Allemagne : depuis le 2 decembre 2005, un point de vente public distribue du bio- ethanol a Bad Homburg, banlieue de Francfort-sur-le-Main. L'originalite est que cette pompe, representant un investissement de 30.000 euros, a ete installee dans l'enceinte d'un concessionnaire Ford, ou sont egalement disponibles des versions ""Flex fuel"" essence/ethanol du modele Focus. Le prix a la pompe est de 0,92 euros le litre. Sources : http://www.autosieger.de  - 02/12/2005 "[-]
"http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/31124.htm C'est une premiere en Allemagne : depuis le 2 decembre 2005, un point de vente public distribue du bio- ethanol a Bad Homburg, banlieue de Francfort-sur-le-Main. L'originalite est que cette pompe, representant un investissement de 30.000 euros, a ete installee dans l'enceinte d'un concessionnaire Ford, ou sont egalement disponibles des versions ""Flex fuel"" essence/ethanol du modele ...[+]

Allemagne ; Coût d'investissement ; Éthanol ; Prix du carburant ; Station service

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- n° 134
Cote CLER : A1
"Biocarburants : combler l'écart avec l'Amérique Biodiesel : Diester Industrie s'allie avec Bunge Biocarburants l'autre modèle suèdois Ethanol : des microorganismes qui carburent Ethanol : Quand le prox du baril boulevsere le marché du sucre Des chaudières ""made in India"" pour la France Bioproduits : les huiles végétales investissent le bitume"

Biocarburant ; Biomasse ; Chaudière bois ; Diester ; Éthanol ; Huile végétale ; Objectif européen ; Prix du carburant ; Sucrerie ; Suède

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