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Documents Centre Recherche Étude Observation Conditions de Vie - Crédoc 8 résultats

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- n° 265 - 4 p.
La transition énergétique est au du gué. La France à organisé un débat national qui s'est clos par une synthèse dans l'attente d'une loi-cadre. Au niveau européen, le sommet de Varsovie a révélé la difficulté d'une vision commune sur la politique énergétique. La montée en puissance des énergies renouvelables et l'amélioration des performances thermiques de l'habitat étant des processus de long terme, les pouvoirs publics misent sur les comportements des Français. Après les écogestes, le nouvel impératif s'appelle la sobriété énergétique. Celle-ci veut faire advenir un mode de vie moins consommateur d'énergie, mais suscite des réticences au nom de la liberté individuelle. En réalité, la sobriété ne peut se limiter à une injonction comportementale : elle doit être incorporée dès la conception de l'habitat, des équipements, de l'automobile, etc. La progression du confort est, en effet, une dynamique collective qui continue de faire progresser la demande d'électricité dans un pays où le parc de bâtiments est de moins bonne efficacité énergétique que celui des pays du Nord. La sensibilité écocitoyenne, qui s'est fortement accrue dans l'opinion, ne renverse pas la tendance. Le système institutionnel français a une faible capacité à stimuler des changements collectifs propres à mobiliser les citoyens en faveur de pratiques plus durables. Pour passer un cap, la France doit prendre le tournant du "bottom-up", comme le font les Pays-Bas et l'Allemagne, c'est-à-dire stimuler l'innovation sociale en favorisant les initiatives collectives au niveau local, notamment par des opérations d'habitat participatif.[-]
La transition énergétique est au du gué. La France à organisé un débat national qui s'est clos par une synthèse dans l'attente d'une loi-cadre. Au niveau européen, le sommet de Varsovie a révélé la difficulté d'une vision commune sur la politique énergétique. La montée en puissance des énergies renouvelables et l'amélioration des performances thermiques de l'habitat étant des processus de long terme, les pouvoirs publics misent sur les ...[+]

Efficacité énergétique ; Consommation d'électricité ; Consommation d'énergie ; Transition énergétique ; Performance énergétique ; Généralité énergie renouvelable ; Bâtiment ; Particulier / Ménage ; Projet citoyen

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- 16 p.
Cote CLER : EN LIGNE
EN LIGNE
65% des ménages ont opéré des changements de comportements pour faire face à la hausse des prix qui touche le pays depuis l'automne 2021. En particulier, les déplacements ont été réduits, le thermostat a été baissé, la diversité alimentaire amoindrie pour 44% de la population. Effectués sous la contrainte, face à la crise énergétique, et pour réussir à tenir un équilibre financier sur le fil, ces changements se traduisent par une forme de mal-être, et un sentiment de frustration, peu propices à installer des changements de société durables. La crise énergétique n'a pas été l'occasion d'une découverte de pratiques alternatives comme la location d'objet ou des pratiques collaboratives. De manière plus minoritaire (21%), quelques reports vers des mobilités douces ont été mis en œuvre par des publics plus aisés, avec des possibilités de perdurer. Les changements observés pour l'instant, surtout subis et mus par la contrainte, semblent donc peu propices à une société organisée autour du paradigme de la sobriété. Accessibilité des infrastructures, information simple et accessible (choix éclairé), valorisation des bénéfices pour les individus (santé, qualité de vie), et équité des efforts sont des leviers plus favorables aux bifurcations.

Parmi les conclusions, ce cahier de recherche met en exergue les éléments suivants :
"La crise énergétique, seule, ne semble pas de nature à opérer des changements de mode de vie durables et compatibles avec les enjeux de changement climatique. Opérés à court terme par les ménages dans l'urgence, suite à la hausse des prix de l'énergie, les arbitrages sont surtout contraints et générateurs de mal-être. Pour enclencher des changements de mode de vie pérennes des ménages, de nature à répondre aux enjeux climatiques et énergétiques, les sciences sociales ont mis en évidence différentes dimensions:
- La présence d'infrastructures exerce un effet entraînant sur les usages.
- Pour que des bifurcations de modes de vie s'opèrent, il faut également que les ménages soient convaincus des bénéfices associés
- Les ménages ont également besoin de connaître de manière simple et accessible, l'impact concret des bonnes pratiques pour eux-mêmes, leurs proches, sur l'environnement, ainsi que sur leur budget, pour décider de leurs pratiques (choix éclairé).
- Un certain niveau d'espoir constructif, à un niveau plus sociétal, a aussi des effets positifs sur la mise en place de comportements plus durables.
- Enfin, l'enjeu de l'équité et de la participation de tous à ces changements est un pré-requis incontournable."[-]
EN LIGNE
65% des ménages ont opéré des changements de comportements pour faire face à la hausse des prix qui touche le pays depuis l'automne 2021. En particulier, les déplacements ont été réduits, le thermostat a été baissé, la diversité alimentaire amoindrie pour 44% de la population. Effectués sous la contrainte, face à la crise énergétique, et pour réussir à tenir un équilibre financier sur le fil, ces changements se traduisent par une forme ...[+]

Crise énergétique ; Collectivité locale ; Psychologie du changement ; Sobriété ; Chiffre clé

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Cote CLER : EN LIGNE
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Cette note de synthèse présente les résultats des questions insérées par l'ADEME dans le dispositif d'enquête « Conditions de vie et aspirations » du CREDOC. Deux vagues ont été menées en 2020. La première, comme chaque année, entre décembre et janvier, et une deuxième vague exceptionnelle, pendant le confinement et la crise sanitaire, entre fin avril et début mai 2020.
Les questions portaient notamment sur :
- la mobilisation nécessaire pour lutter contre le réchauffement climatique
- l'orientation à donner à la relance économique selon les Français
- les conditions d'une fiscalité plus juste et efficace
- lles frustrations des Français pendant le confinement et les aspirations post crise sanitaire.

Il en ressort que les préoccupations pour l'environnement restent au niveau le plus haut jamais enregistré, et le désir que les pouvoirs publics s'engagent dans la voie d'une relance écologique et sociale est largement partagé. Parallèlement, le consentement à des mesures fiscales en faveur de l'environnement se renforce. Les résultats laissent par ailleurs entrevoir un frémissement vers la sobriété qui reste à confirmer.[-]
EN LIGNE
Cette note de synthèse présente les résultats des questions insérées par l'ADEME dans le dispositif d'enquête « Conditions de vie et aspirations » du CREDOC. Deux vagues ont été menées en 2020. La première, comme chaque année, entre décembre et janvier, et une deuxième vague exceptionnelle, pendant le confinement et la crise sanitaire, entre fin avril et début mai 2020.
Les questions portaient notamment sur :
- la mobilisation ...[+]

Changement climatique ; Psychologie du changement ; Aspect social ; Éducation à l'environnement ; Éducation à l'énergie ; Covid-19 ; Politique énergétique

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Cote CLER : en ligne
ETUDE EN LIGNE
Les termes de « vulnérabilité » et de « fragilité » ont peu à peu pris une place grandissante dans les discours des pouvoirs publics et des médias pour désigner une multitude de situations : du handicap à la pauvreté, de la précarité professionnelle à la relégation territoriale, etc. La liste est longue et contingente des travaux qui analysent ces phénomènes A l'heure où une réflexion est entamée au niveau institutionnel sur une possible fusion et simplification de différents minimas sociaux, et alors que différents mouvements sociaux (Gilets Jaunes, grèves relatives à la réforme des retraites) pointent les projecteurs sur différents types de difficultés, il nous a paru intéressant de tenter de dresser un état des lieux de la mesure de différentes vulnérabilités. [-]
ETUDE EN LIGNE
Les termes de « vulnérabilité » et de « fragilité » ont peu à peu pris une place grandissante dans les discours des pouvoirs publics et des médias pour désigner une multitude de situations : du handicap à la pauvreté, de la précarité professionnelle à la relégation territoriale, etc. La liste est longue et contingente des travaux qui analysent ces phénomènes A l'heure où une réflexion est entamée au niveau institutionnel sur une ...[+]

Aspect social ; Précarité énergétique

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- n° 258 - 4 p.
La vulnérabilité des Français à la hausse des prix de l'énergie est aujourd'hui au coeur du débat public et un nombre important de foyers, entre deux et trois millions, serait concerné par la précarité énergétique. Deux tendances lourdes l'expliquent: la mauvaise qualité énergétique d'une part importante du parc immobilier français et l'augmentation des dépenses contraintes liées au logement. Le renchérissement du coût de l'énergie domestique (chauffage et carburants) devrait accentuer le phénomène. Les Français ne sont pas égaux face à la dépense énergétique, pour des raisons qui ne tiennent pas uniquement au niveau de revenu. Si se loger dans les grands centres urbains coûte plus cher, la contrainte du recours à la voiture individuelle y est nettement moindre. À l'opposé, résider dans les zones périurbaines éloignées des centres oblige à rajouter au prix du logement un budget véhicules et carburants élevé.
Les Français les plus vulnérables au renchérissement du coût des énergies sont ceux qui cumulent un habitat à mauvaise efficacité thermique et un éloignement des commerces et services. C'est donc la notion de « coût résidentiel », consistant à cumuler le coût du logement, charges comprises, et le coût de la mobilité en fonction du type de commune de résidence, qui est aujourd'hui pertinente pour analyser des inégalités sociales et territoriales croissantes, dont la montée de la précarité énergétique est le symptôme.[-]
La vulnérabilité des Français à la hausse des prix de l'énergie est aujourd'hui au coeur du débat public et un nombre important de foyers, entre deux et trois millions, serait concerné par la précarité énergétique. Deux tendances lourdes l'expliquent: la mauvaise qualité énergétique d'une part importante du parc immobilier français et l'augmentation des dépenses contraintes liées au logement. Le renchérissement du coût de l'énergie domestique ...[+]

Précarité ; Précarité énergétique ; Logement ; Particulier / Ménage ; Milieu urbain ; Milieu rural ; Mobilité ; Bilan énergétique ; Acceptabilité sociale ; Étude sociologique

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- 95 p.
Cote CLER : MDE0705
"L'évolution de la demande d'énergie : - Un détour par la consommation de l'eau potable; - Le domaine de la consommation d'énergie (l'évolution de la consommation d'énergie depuis 1973, l'intensité énergétique, mesure du processus d'économies d'énergie); - La consommation d'énergie par type d'utilisateurs et les comportements en matière de maîtrise de l'énergie (les tendances dans l'industrie, dans le résidentiel-tertiaire, les consommations unitaires dans l'habitat) ; - L'exemple de la région Ile de France (la tertiarisation de l'économie a contribué à réduire les consommations d'énergie et d'eau, la baisse de l'intensité énergétique dans le résidentiel n'est pas imputable aux ménages); - Le point aveugle sur les comportements individuels de consommation (l'impact du vieillissement de la population sur la consommation d'énergie, le modèle de prévision de la consommation d'eau du CREDOC, les limites des approches par les consommations unitaires d'au ou d'énergie). Le difficile positionnement des politiques publiques à l'égard de la maîtrise de la demande d'énergie : - Le choix des instruments de politique publique et leur combinaison (différents types de mesure correspondant à différentes approches du comportement des usagers, la combinaison des instruments, entre stratification des différentes mesures, changements d'approche et logiques d'efficacité); - Différents « paquets de mesures » pour différents usagers (l'industrie : une approche incitative qui se traduit par des accords volontaires et le développement des instruments de marché, le tertiaire : une priorité donnée à l'efficacité énergétique des bâtiments, les ménages : une approche essentiellement orientée vers la transformation des comportements individuels, via l'information et la sensibilisation des consommateurs). Les politiques publiques de maîtrise de la demande d'énergie à l'épreuve de la rationalité économique des ménages : - La « boîte noire » du comportement des ménages, pierre d'achoppement des politiques publiques de maîtrise de la demande d'énergie (l'avènement de la sensibilité écologique des ménages : une réalité qui ne se traduit pas nécessairement dans les comportements de consommation, des comportements de consommation marqués par une forte inertie ; - Sensibilité écologique et choix de consommation : quelle formalisation économique ? (la remise en questions des hypothèses du choix rationnel, l'utilisation de la formalisation économique des comportements de consommation pour la conduite des politiques publiques); - Comportements individuels et cadre collectif, une dialectique essentielle à saisir (le cas du tri des déchets ménagers). "[-]
"L'évolution de la demande d'énergie : - Un détour par la consommation de l'eau potable; - Le domaine de la consommation d'énergie (l'évolution de la consommation d'énergie depuis 1973, l'intensité énergétique, mesure du processus d'économies d'énergie); - La consommation d'énergie par type d'utilisateurs et les comportements en matière de maîtrise de l'énergie (les tendances dans l'industrie, dans le résidentiel-tertiaire, les consommations ...[+]

Appareil de cuisson ; Bâtiment ; Bilan ; Bureautique ; Chauffage ; Chiffre clé ; Choc pétrolier ; Client / Usager ; Consommation d'eau ; Consommation d'électricité ; Consommation d'énergie ; Croissance / Augmentation ; Déchet ; Donnée économique ; Eau chaude sanitaire - ECS ; Eau potable ; Éclairage ; Économie d'énergie ; Efficacité énergétique ; Électricité ; Énergie finale ; Étude sociologique ; Région française administrative ; Geste écologique ; Logement ; Aspect historique ; Ile-de-France ; Intensité énergétique ; Lave linge ; Maitrise De l'Énergie - MDE ; Milieu urbain ; Particulier / Ménage ; Politique énergétique ; Programme d'action ; Prospective / Prévision ; Réfrigérateur / Congélateur ; Secteur industriel ; Secteur résidentiel ; Secteur tertiaire ; Sensibilisation ; Télévision / Hifi

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- 242 p.
Cote CLER : GPFR8900
Conditions de vie et aspirations des français quant à leur représentation de l'énergie : - Le choix de l'énergie: énergie utilisée, énergie choisie: chauffage, système de production d'eau chaude, équipements de cuisson - Opinion sur l'évolution des prix de l'énergie - Le niveau d'information des français sur l'énergie et la politique énergétique - Les économies d'énergie - Le nucléaire

Appareil de cuisson ; Chauffage ; Eau chaude sanitaire - ECS ; Économie d'énergie ; Région française administrative ; Généralité énergie ; Nucléaire ; Politique énergétique ; Prix de l'énergie ; Sondage

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