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Documents Haute température 26 résultats

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- n° 436
Cote CLER : A
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Réchauffement climatique : une trajectoire nationale officiellement à 4 °C. Le monde est ainsi loin de l'objectif de l'accord de Paris, qui est de limiter le réchauffement de la planète bien en dessous de 2°C et de préférence à 1,5°C. La France prépare son troisième Plan national d'adaptation au changement climatique (PNACC). La mouture précédente (2018-2022) se fondait sur des hypothèses moins pessimistes d'une hausse moyenne des températures de deux degrés par rapport à l'ère préindustrielle.[-]
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Réchauffement climatique : une trajectoire nationale officiellement à 4 °C. Le monde est ainsi loin de l'objectif de l'accord de Paris, qui est de limiter le réchauffement de la planète bien en dessous de 2°C et de préférence à 1,5°C. La France prépare son troisième Plan national d'adaptation au changement climatique (PNACC). La mouture précédente (2018-2022) se fondait sur des hypothèses moins pessimistes d'une hausse ...[+]

Réchauffement climatique ; Haute température ; Environnement ; Loi énergie-climat ; Bâtiment ; Mobilité ; Canicule / Sécheresse ; Conférence environnementale ; Adaptation ; Plan national d'adaptation au changement climatique - PNACC

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- n° 193
Cote CLER : C4
Les pompes à chaleur suscitent un engouement sans précédent. Un ouvrage récemment édité par Observ'ER, Les pompes à chaleur pour la maison individuelle, donne les clefs permettant de bien choisir sa PAC mais aussi les autres éléments du système. Il aborde notamment un aspect trop souvent négligé : quels émetteurs de chaleur adopter en rénovation, plancher chauffant ou radiateurs ?

Caractéristique technique ; Chauffage ; Haute température ; Mur chauffant ; Plancher chauffant ; Pompe à chaleur ; Principe de fonctionnement ; Rénovation

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- n° 465
Cote CLER : B1
"Abandonnée pour cause de pétrole pas cher dans les années quatre-vingt, qui aurait misé un centime sur Thémis il y a seulement cinq ans ? La centrale solaire de Targasonne (66) unique en son genre, va pourtant renaître. Le projet « Production d'électricité par turbine à gaz et énergie solaire » (Pégase), piloté par le laboratoire « Procédés, matériaux et énergie solaire » (Promes) du CNRS à Odeillo, démarre cet hiver et ouvre de nouvelles perspectives au solaire thermique en France. Plus de 200 miroirs plans mobiles, ou héliostats, braqués vers le sommet d'une tour en béton de 101 mètres de haut qui se détache sur le ciel d'un bleu très pur… Thémis est immanquable au détour de la route qui mène, quelques kilomètres plus loin, à Font-Romeu et au célèbre four solaire d'Odeillo. Dans les années soixante-dix, après le choc pétrolier, on tente d'utiliser le solaire pour produire de l'énergie. Le CNRS conçoit Thémis, l'EDF la construit : les miroirs concentrent les rayons du soleil vers une tour où circule un fluide caloporteur (des sels fondus). Chauffé par les rayons, celui-ci transfère son énergie à un circuit d'eau. La vapeur alors produite actionne une turbine, comme dans une centrale nucléaire. Mais après le démarrage en 1983, de nombreuses interruptions, une production faible et un pétrole à nouveau bon marché auront vite raison de la centrale. L'EDF arrête les frais en 1986. Des astrophysiciens prennent alors le relais et installent, à la place des héliostats, des détecteurs de rayons cosmiques. Leurs observations dureront jusqu'en 2004. Cette fois, le site est abandonné, mais pas pour longtemps. « Le réchauffement climatique et la hausse du prix du pétrole sont passés par là », explique Alain Ferrière, chercheur au Promes et responsable du projet. L'énergie propre redevient une priorité, le solaire retrouve la cote. Mais tout est à recommencer… même si l'installation est globalement en bon état. Sur les 201 héliostats, la moitié, selon la volonté du conseil général des Pyrénées-Orientales, propriétaire du site, recevra des cellules photovoltaïques pour la production d'électricité. L'autre moitié sera consacrée à Pégase. « Pas question de refaire Thémis. On a choisi quelque chose de tout nouveau, orienté vers la recherche : un cycle à beaucoup plus haute température, avec de très hauts rendements », souligne Alain Ferrière. Le futur récepteur solaire placé sur la tour aux environs de 2010 et qui recevra les rayons réfléchis par les miroirs devrait monter à 1 000 °C, contre 500 °C auparavant. Mais comment faire passer cette énergie dans le circuit de la turbine ? Quels matériaux utiliser ? Concevoir le récepteur solaire, connaître et maîtriser les transferts à très haute température entre la paroi du récepteur et l'air comprimé figurent parmi les nombreux problèmes à résoudre. « Pégase, ce n'est pas que de la technologie, il y a beaucoup de vrais défis de recherche, en particulier sur la mécanique des fluides et les matériaux », insiste Gilles Flamant, directeur du laboratoire Promes. Si l'objectif est une centrale qui ne fonctionne qu'avec l'énergie du soleil, le système sera dans un premier temps mixte, et brûlera du fuel afin d'augmenter la température et d'assurer la production d'électricité pendant les périodes de moindre ensoleillement. Mais avant d'en arriver là, les héliostats seront d'abord remis en état, et un projet, financé par l'Agence nationale de la recherche sur trois ans, visera à développer des prototypes de récepteurs. Ensuite, la turbine à gaz, d'une puissance de 1,6 MW (l'équivalent d'une éolienne moderne) et le récepteur final seront installés, aux alentours de 2009-2010. Au total, le budget consolidé se monte à environ 6 millions d'euros sur sept ans, une somme relativement modeste pour un projet porteur d'espoir au sein d'une filière et d'un laboratoire en plein renouveau. « Nous avions une compétence dans le domaine de la conversion de l'énergie solaire, et elle était en sommeil depuis près de vingt ans ! Désormais, elle est redevenue un thème porteur, et Pégase un projet structurant du laboratoire », conclut Gilles Flamant. Pour preuve, le laboratoire Promes s'est ouvert à l'Europe en initiant Sollab et Solface. Son directeur rêve désormais d'un « campus solaire », qui regrouperait Thémis-Pégase et Odeillo et accueillerait des étudiants de cursus internationaux ainsi que des micro-entreprises. Vu la hausse du prix du pétrole, ses espoirs ne sont pas vains. Selon Alain Ferrière, ""A la fin de l'année, les 107 héliostats du site dédiés à Pégase seront opérationnels, avec un nouveau système de contrôle-commande, et nous commencerons à travailler sur la concentration"". Le projet Pégase restera un prototype et devrait être achevé en 2013 avec l'installation du système de production électrique de 2 MW."[-]
"Abandonnée pour cause de pétrole pas cher dans les années quatre-vingt, qui aurait misé un centime sur Thémis il y a seulement cinq ans ? La centrale solaire de Targasonne (66) unique en son genre, va pourtant renaître. Le projet « Production d'électricité par turbine à gaz et énergie solaire » (Pégase), piloté par le laboratoire « Procédés, matériaux et énergie solaire » (Promes) du CNRS à Odeillo, démarre cet hiver et ouvre de nouvelles ...[+]

Centrale solaire ; Concentrateur solaire ; Expérimentation ; Financement ; Fioul ; Haute température ; Languedoc Roussillon ; Production d'électricité ; Recherche ; Rénovation ; Solaire photovoltaïque ; Turbine à gaz

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- n° 858
Cote CLER : A3
De 2006 à 2008, le nombre de pompes à chaleur installées sur le marché français (152 510 unités en 2008) a été multiplié par 3 (tous systèmes confondus). - Le marché français, - Rénovation : atout des PAC haute température - Le CO2 pour réfrigérant - Pac sur aquifère : outils d'aide à la décision - Les bonnes pratiques et précautions de mise en oeuvre - Performance énergétique et écologique au centre aquatique de Moulins (03).

Aide financière ; Auvergne ; Caractéristique technique ; Charte qualité ; Chauffage ; Chiffre clé ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Consommation d'énergie ; Eau chaude sanitaire - ECS ; Fluide frigorigène ; Grenelle de l'environnement ; Haute température ; Installation ; Marché français ; Nappe aquifère / phréatique ; Objectif ; Piscine ; Pompe à chaleur ; Prêt à Taux Zéro - PTZ ; Réalisation ; Réglementation ; Rénovation

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- n° 182
Cote CLER : C4
La filière héliothermodynamique – celle qui produit de l'électricité grâce aux hautes températures obtenues par la concentration des rayons du soleil - est en pleine effervescence. Aux États-Unis, la centrale de 64 MW Nevada Solar One vient d'être raccordée au réseau. En France, une unité de 20 MW est annoncée pour 2010. Des milliers de mégawatts sont annoncés pour les années à venir.

Afrique du Sud ; Algérie ; Australie ; Californie ; Centrale solaire ; Concentrateur solaire ; Égypte ; Électricité renouvelable ; Espagne ; États Unis ; Région française administrative ; Haute température ; Inde ; International ; Iran ; Israel ; Italie ; Maroc ; Portugal ; Production d'électricité ; Réalisation ; Recensement / Inventaire ; Solaire thermodynamique ; Tour solaire

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- n° 700
Cote CLER : A3
Devant la forte demande des pompes à chaleur dans l'existant, soit en remplacement, soit en relève de chaudière, il faut déjà s'assurer que cette opération est économiquement possible adaptée à l'installation concernée... Un exercice indispensable pour éviter les contre-références.

Appareil de chauffage ; Besoin énergétique ; Chaudière fioul ; Chaudière gaz naturel ; Chauffage ; Chauffage électrique ; Choix de l'énergie ; CO2 / Dioxyde de carbone ; Coefficient d'isolation ; Consommation d'énergie ; Dimensionnement ; Gaz naturel ; Haute température ; Isolant thermique ; Pompe à chaleur ; Prix de l'énergie ; Prix du fioul ; Prix du gaz

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- n° 700
Cote CLER : A3
La société allemande PSE développe de nouvelles techniques pour l'utilisation de l'énergie solaire. L'entreprise a notamment mis au point des collecteurs solaires thermiques à miroirs de Fresnel pour des applications haute température aux environs de 200°C, comme la climatisation solaire. Une première installation a été montée près de Bergame en Italie, sur le toit de l'usine ROBUR, le grand spécialiste européen des machines à absorption de petite puissance.[-]
La société allemande PSE développe de nouvelles techniques pour l'utilisation de l'énergie solaire. L'entreprise a notamment mis au point des collecteurs solaires thermiques à miroirs de Fresnel pour des applications haute température aux environs de 200°C, comme la climatisation solaire. Une première installation a été montée près de Bergame en Italie, sur le toit de l'usine ROBUR, le grand spécialiste européen des machines à absorption de ...[+]

Allemagne ; Climatisation solaire ; Concentrateur solaire ; Entreprise ; Fabrication ; Haute température ; Italie ; Machine à absorption ; Réalisation ; Société / Compagnie

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- n° 261105
Cote CLER : B5
http://www.actu-environnement.com/ae/news/1393.php4 La géothermie consiste à utiliser la chaleur de l'intérieur de la Terre pour le chauffage ou la production d'électricité. Selon les régions, l'augmentation de la température avec la profondeur est plus ou moins forte, et varie de 3 °C par 100 m en moyenne. En France, le Bassin rhénan en Alsace, présente par exemple un gradient géothermal de 10°C par 100 mètres. A 5 km sous le continent, la température atteint les 250°C. Cette chaleur provient pour l'essentiel de la radioactivité naturelle des roches constitutives de la croûte terrestre mais son utilisation n'est possible que lorsque les formations géologiques constituant le sous-sol sont poreuses ou perméables et contiennent des nappes d'eau chaude liquide ou vaporisée. Il existe quatre types de géothermie classés en fonction de la température et qui détermine les utilisations possibles. La géothermie de haute énergie, concernant des températures supérieures à 150 °C, et de moyenne énergie, pour des températures comprises entre 100 °C et 150°C, est valorisée principalement pour la fabrication d'électricité. Alors que la géothermie basse énergie (températures comprises entre 30 °C et 100 °C) permet de couvrir une large gamme d'usage comme le chauffage urbain, le chauffage de serres, l'utilisation de chaleur dans les process industriels, le thermalisme, etc. La géothermie très basse énergie, quant à elle, concerne les aquifères peu profonds d'une température inférieure à 30°C. Vu sa faible température, elle nécessite la mise en œuvre de pompes à chaleur qui prélèvent cette énergie à basse température pour l'augmenter à une température suffisante pour le chauffage et la climatisation d'habitations individuelles. Ces cinq dernières années, la production d'énergie issue de la géothermie a progressé de 4 % par an dans le monde. Les Etat-Unis sont les premiers producteurs d'électricité et de chaleur à partir de la géothermie (30% de la production mondiale). Partout sur le globe, des projets se développent et les Philippines produisent d'ores et déjà 21 % de leur électricité grâce à cette technique. Plusieurs pays en développement, notamment en Amérique Centrale et en Afrique Orientale, pourraient satisfaire, à moyen terme, une part importante de leurs besoins en électricité par géothermie. Ainsi le Kenya prévoit en 2017 une contribution de 25 % de cette ressource dans son bilan énergétique. En Europe, la filière basse énergie et les pompes à chaleur sont plus développées que la filière électrique. L'Italie est le principal utilisateur de la géothermie basse énergie avec 43% de la puissance installée devant la France (29%) et l'Allemagne (6,2%). La filière des pompes à chaleur est développée principalement en Suède qui concentre 48,7% des installations devant l'Allemagne (18,3%) et la France (10,4%). Pour la filière électrique l'Italie est également le premier producteur (96% de la puissance installée) devant le Portugal (1,9%) et la France (1,7%). Cependant la technique permettant de transformer de l'eau profonde en électricité réclame des investissements importants ce qui a poussé l'Italie a fermé un certain nombre de puits ces dernières années. En fait, seuls le Portugal et la France, grâce aux départements d'outre-mer, peuvent explorer cette piste de manière intensive car la géomorphologie volcanique et insulaire facilite l'accès à la ressource. D'après le Bureau de Recherche Géologique et Minière (BRGM) la France recèle dans son sous-sol un potentiel géothermique important dont une infime partie est aujourd'hui exploitée. Le bassin rhénan, le massif central et les DOM sont des régions favorables à la géothermie haute et moyenne énergie. La première référence française en matière de géothermie haute température se situe à Bouillante, non loin du volcan guadeloupéen de la Soufrière. Mise en service en 1986, la centrale devrait voir prochainement sa capacité multipliée par deux. Lancés en 2003, d'importants travaux d'extension lui permettront en effet d'atteindre une puissance installée totale de l'ordre de 20 MW à la fin de cette année permettant de couvrir environ 10% des besoins annuels en électricité de l'île. En termes de basse énergie, le bassin parisien constitue un réservoir important utilisé pour le chauffage collectif. Comportant cinq grands aquifères dont le Dogger qui s'étend sur plus de 15 000 km2 avec des températures variant de 56 à 85°C, ce réservoir assure aujourd'hui le fonctionnement de 34 installations géothermales. L'exploitation de ces ressources très basse température a commencé très tôt en France, dès 1963, à la Maison de la Radio à Paris, avec la mise en œuvre d'un système de chauffage et de climatisation qui puise l'eau à 600 m de profondeur à une température de 27°C. Depuis quelques années, le marché des pompes à chaleur géothermiques pour le chauffage des maisons individuelles connaît en France un réel développement à l'instar d'autres pays européens. En 2004, le nombre d'unités vendues pour équiper des maisons individuelles était de l'ordre de 11 700 à comparer aux 700 installations vendues en 1997. Malgré toutes ces initiatives, la géothermie ne représentait, en France, en 2004, que 2,3% de l'énergie issue de ressources renouvelables. La filière a pourtant atteint un niveau de maturité technique et commerciale qui lui permet de rivaliser sans complexe avec les autres énergies renouvelables mais souffre encore d'un déficit de notoriété. Un programme d'inventaire des ressources géothermiques mené par l'ADEME et le BRGM a été engagé sur une dizaine de régions pour actualiser les données. Ces informations sont nécessaires pour relancer la filière même si les avantages de cette ressource sont bien connus. Sur le plan environnemental, une exploitation géothermique produit peu de rejets. Par exemple, en ce qui concerne le CO2, une centrale géothermo-électrique émet 10 fois moins qu'une centrale au gaz naturel. Sur le plan technique, la géothermie fait appel à une ressource régulière, dépendante uniquement des caractéristiques intrinsèques du sol et non des éléments extérieurs. En revanche les coûts de recherche et d'installation sont les principaux freins à son développement : selon la nature du sol, les coûts de forage peuvent être très élevés mais une fois la mise en place de l'installation, le coût d'exploitation est quasiment nul. Néanmoins il est important de préciser que l'énergie géothermique est une énergie renouvelable paradoxale dans la mesure où une utilisation trop intensive des ressources peut entraîner l'épuisement des nappes chaudes. Une utilisation raisonnée de cette forme d'énergie s'impose nécessairement. Actuellement, les perspectives de développement sont principalement orientées vers la géothermie de grandes profondeurs. Le principal enjeu de la filière consiste donc à conduire des recherches pour améliorer, en innovant, les méthodologies d'exploration et d'évaluation des champs géothermiques afin de diminuer les coûts. C'est dans ce but qu'est mené sur le site de Soultz-sous-Forêts le plus grand projet de géothermie profonde conduit actuellement dans le monde. Initié depuis 1987, ce programme consiste à démonter la faisabilité de l'utilisation de la chaleur des roches sèches fracturées. De l'eau peut être injectée au milieu de ces roches à 5000 m de profondeur et par échange thermique elle ressort en surface à 200°C à un débit de 100L /s. Les résultats sont encourageants et plusieurs nouveaux projets internationaux, notamment en Suisse et en Australie ont été lancés en s'appuyant fortement sur les acquis de Soultz mais l'industrialisation du procédé n'est pas prévue avant 2010. F.LABY[-]
http://www.actu-environnement.com/ae/news/1393.php4 La géothermie consiste à utiliser la chaleur de l'intérieur de la Terre pour le chauffage ou la production d'électricité. Selon les régions, l'augmentation de la température avec la profondeur est plus ou moins forte, et varie de 3 °C par 100 m en moyenne. En France, le Bassin rhénan en Alsace, présente par exemple un gradient géothermal de 10°C par 100 mètres. A 5 km sous le continent, la ...[+]

Basse énergie ; Dom Tom ; Europe ; Région française administrative ; Géothermie ; Guadeloupe ; Haute température ; International ; Moyenne température ; Pompe à chaleur ; Potentiel de développement ; Potentiel géothermique

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- n° 62
Cote CLER : A1
- Opération : suivi des performances de pompe à chaleur à capteurs verticaux enterrés - La pompe à chaleur : multiplicateurt de calories - les fluides frigorigènes - La pompe à cahleur sur air oui s'il ne fait pas froid - Pompe à chaleur géothermales ou g

Basse énergie ; Capteur géothermique ; Fluide frigorigène ; Géothermie ; Géothermie basse profondeur ; Géothermie profonde ; Haute température ; Pompe à chaleur ; Schéma de principe

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- n° 211004
Cote CLER : B5
Des laboratoires français et européens s'associent pour la recherche sur les applications haute température de l'énergie solaire . Pour plus d'information, veuillez contacter : Martine Hasler - CNRS - martine.hasler@cnrs-dir.fr - 01 44 96 46 35 http://www2.cnrs.fr/presse http://www2.cnrs.fr/presse/communique/569.htm Le CNRS, en association avec des équipes espagnole, allemande et suisse(1) , vient de créer SolLab, Alliance de laboratoires européens pour la recherche et les technologies des systèmes solaires à concentration(2). Cette création, annoncée au cours du forum Eurosol 2004 organisé le 20 et 21 octobre par le CNRS à Odeillo (Pyrénées orientales), a pour objectif de coordonner les efforts de recherche des principaux centres européens impliqués dans ce domaine. Il s'agit d'un enjeu stratégique important au plan européen et international qui s'inscrit dans une perspective de développement durable. La production d'énergie et de vecteurs énergétiques sans émission de gaz à effet de serre et sans pollution représente un enjeu majeur des prochaines décennies. La concentration du rayonnement solaire permet la production de chaleur à haute température, puis sa conversion en électricité ou en hydrogène. Le potentiel de développement de ces technologies est important, en particulier dans le pourtour méditerranéen. L'alliance SolLab va permettre de renforcer la coopération nécessaire des acteurs de la recherche afin d'accroître l'efficacité de leurs travaux et de réaliser, en particulier, les progrès technologiques améliorant les performances des centrales solaires. Les systèmes de ce type installés aux Etats-Unis produisent actuellement de l'électricité dont le coût est inférieur à celui des photopiles. Plusieurs projets de centrales solaires sont en phase de réalisation industrielle en Espagne. SolLab regroupe 175 chercheurs, ingénieurs et techniciens. Ses objectifs scientifiques sont les recherches de base et les nouveaux concepts pour la conversion et le stockage de l'énergie solaire concentrée (centrales solaires du futur), la chimie solaire et la production de vecteurs d'énergie comme l'hydrogène, les matériaux résistants à haute température et l'évaluation des sous-systèmes (composants, systèmes de contrôle-commande…), les méthodes de mesure des flux et des températures et l'évaluation des ressources solaires (ensoleillement direct et diffus). (1) Laboratoires impliqués : France : Laboratoire Procédés, Matériaux et Energie Solaire (PROMES, CNRS) Espagne : Plataforma Solar de Almeria du CIEMAT (Centro de Investigaciones Energéticas, Medioambientales y Tecnologicas) Allemagne : Solar Research Division du DLR (Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt e.V) Suisse : Renewable Energy Carriers Laboratory de l'ETHZ (Eidgenössische Technische Hochschule Zürich) (2) La concentration solaire est l'un des moyens pour obtenir les hautes températures nécessaires à la production d'énergie. Contact chercheur : Gilles Flamant, directeur du laboratoire Procédés, Matériaux et Energie Solaire (CNRS – Font-Romeu) Tél : 04 68 30 77 58 - Mél: flamant@promes.cnrs.fr Contact département des Sciences pour l'Ingénieur Helena Devillers Tél : 01 44 96 42 32 - Mél : Helena.Devillers@cnrs-dir.fr Contacts presse CNRS – Paris : Martine Hasler Tél : 01 44 96 46 35 – Mél : martine.hasler@cnrs-dir.fr CNRS – Languedoc-Roussillon : Alain Lesquer Tél : 04 67 61 35 10 – Mél : lesquer@dr13.cnrs.fr[-]
Des laboratoires français et européens s'associent pour la recherche sur les applications haute température de l'énergie solaire . Pour plus d'information, veuillez contacter : Martine Hasler - CNRS - martine.hasler@cnrs-dir.fr - 01 44 96 46 35 http://www2.cnrs.fr/presse http://www2.cnrs.fr/presse/communique/569.htm Le CNRS, en association avec des équipes espagnole, allemande et suisse(1) , vient de créer SolLab, Alliance de laboratoires ...[+]

Allemagne ; Concentrateur solaire ; Énergie solaire ; Espagne ; Région française administrative ; Haute température ; Laboratoire ; Recherche ; Suisse

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