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Documents Étude de marché 26 résultats

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ARTICLE EN LIGNE
L'Etat français a annoncé avoir cédé 100 millions d'actions d'Engie représentant 4,1% de son capital, soit 10 millions d'actions supplémentaires par rapport à ce qui avait été annoncé précédemment, pour 1,14 milliard d'euros au total.

Politique énergétique ; Aspect économique ; Étude de marché ; Région française administrative ; International

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Cote CLER : en ligne
ARTICLE EN LIGNE
Le chiffre d'affaires mondial de l'autopartage B2C devrait être multiplié par sept d'ici à 2021, selon une étude du Boston Consulting Group. En Europe, le tiers des titulaires d'un permis de conduire vivant dans de grandes agglomérations, seront inscrits à un service d'autopartage.

Image d'illustration : By Kevin. B (Own work) [CC BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)], via Wikimedia Commons

Autopartage ; Étude de marché ; Mobilité ; Europe ; Région française administrative ; Technologie Information Communication - TIC ; Chiffre clé ; Aspect économique ; International

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Cote CLER : En ligne
ARTICLE EN LIGNE
Plus d'une lampe sur quatre vendue en Europe est une LED. Une technologie qui est en train de s'imposer de plus en plus sur un marché plutôt concurrentiel, ainqi que l'explique la dernière étude Xerfi sur ce thème. Détails.

LED / Diode ; Éclairage ; Étude de marché

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ARTICLE EN LIGNE
Avec de nombreux chantiers de rénovation à venir, le marché des isolants devrait continuer sa croissance. Quelles sont ses sources de développement ?
Cet article synthétise les réponses de l'enquête TBC Générateur d'Innovation, société de conseil spécialisée dans l'innovation pour le bâtiment et l'éco-construction. L'enquête a été menée par téléphone en juillet 2014, auprès de 200 professionnels (fabricants d'isolants, des fournisseurs de matières premières, des distributeurs, des constructeurs, des syndicats, entreprises de pose…)

L'isolation des murs par l'extérieur disposerait d'un fort potentiel : "Près des deux tiers des distributeurs voient une hausse (dont 26% une hausse de plus de 10%), c'est plus de la moitié des entreprises interrogées qui pense que les ventes vont se développer en ITE". [-]
ARTICLE EN LIGNE
Avec de nombreux chantiers de rénovation à venir, le marché des isolants devrait continuer sa croissance. Quelles sont ses sources de développement ?
Cet article synthétise les réponses de l'enquête TBC Générateur d'Innovation, société de conseil spécialisée dans l'innovation pour le bâtiment et l'éco-construction. L'enquête a été menée par téléphone en juillet 2014, auprès de 200 professionnels (fabricants d'isolants, des ...[+]

Étude de marché ; Chiffre clé ; Marché français ; Isolation ; Toiture ; Isolant thermique

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- n° 781 - p. 64 à p. 71
ARTICLE CONSULTABLE AU CLER
Comment redonner confiance dans le solaire thermique ? La Plateforme Formation et Evaluation de l'INES (Istitut National de l'Energie Solaire) développe des prestations au service de la qualité : formation, suivi d'installations, assistance à maîtrise d'ouvrage...
Le but est :
- d'assurer les performances des installations ; le dispositif TéléSuiiWeb permet de comparer mois par mois la production solaire utile réelle avec la production solaire utile théorique
- d'accompagner les maîtres d'ouvrage et les professionnels pour assurer la solidité de la chaîne de valeur
- de permettre la montée en compétence des acteurs de la filière
- de redonner confiance aux utilsateurs par un réseau actif et un référentiel de formation pour les installateurs en solaire collectif. L'article évoque la plateforme collaborative Socol et l'association Qualit'Enr
L'article explique aussi les notions distinctes de "energie solaire utile" et "énergie solaire primaire" et détaille différents outils mis en place, notamment l'analyse économique pour les professionnels. [-]
ARTICLE CONSULTABLE AU CLER
Comment redonner confiance dans le solaire thermique ? La Plateforme Formation et Evaluation de l'INES (Istitut National de l'Energie Solaire) développe des prestations au service de la qualité : formation, suivi d'installations, assistance à maîtrise d'ouvrage...
Le but est :
- d'assurer les performances des installations ; le dispositif TéléSuiiWeb permet de comparer mois par mois la production solaire utile réelle ...[+]

Chauffage solaire ; Logement collectif ; Chauffage collectif ; Étude de marché ; Marché énergétique ; Campagne de développement ; Potentiel de développement ; Outil ; Installation collective ; Expertise ; Formation ; Technologie Information Communication - TIC

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- n° 1704 - p. 63 à p.63
Cote CLER : B2
Un projet de production d'énergie renouvelables est d'autant mieux accepté qu'il est porté par les élus et la population locale. Et le montage de projets participatifs n'est pas si compliqué.

Généralité énergie renouvelable ; Aménagement du territoire ; Population locale / Riverain ; Projet ; Montage / accompagnement de projet ; Bretagne ; Avis technique ; Étude de marché ; Entreprise ; Intégration paysagère ; Éolien

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- n° RCT35 - -
Le rôle des réseaux de chaleur dans la concrétisation des objectifs du Grenelle est indéniable.
Ils permettent d'une part de valoriser de manière optimale la biomasse, la géothermie ainsi que la chaleur de récupération (UIOM, process...) et d'autre part d'exprimer la volonté d'une collectivité de se saisir, sur son territoire, des enjeux liés à l'énergie depuis la production jusqu'à l'usager final.
Aujourd'hui, il existe environ 432 réseaux de plus de 3 MW recensés en France, pour lesquels les EnR&R constituent déjà 31% du bouquet énergétique (dont 23% pour les seules UIOM et 3% pour le bois-énergie) avec une marge de progression encore importante. Parallèlement, coexiste un grand nombre de réseaux bois-énergie de taille plus modeste.
Aussi, face à la diversité des réseaux, ce guide compile et synthétise l'ensemble des invariants à l'ensemble de ces programmations en soulignant le particularisme de chacun, sous forme d'exemples et de pistes à explorer.
Ce guide apporte aux décideurs locaux les premières informations indispensables pour mettre en oeuvre un "Eco-réseau" et de nombreuses pistes pour accompagner leurs politiques territoriales sur cette voie nécessaire et "vertueuse".

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Le rôle des réseaux de chaleur dans la concrétisation des objectifs du Grenelle est indéniable.
Ils permettent d'une part de valoriser de manière optimale la biomasse, la géothermie ainsi que la chaleur de récupération (UIOM, process...) et d'autre part d'exprimer la volonté d'une collectivité de se saisir, sur son territoire, des enjeux liés à l'énergie depuis la production jusqu'à l'usager final.
Aujourd'hui, il existe environ 432 réseaux de ...[+]

Réseau de chaleur ; Région française administrative ; Recensement / Inventaire ; Collectivité locale ; Valorisation énergétique ; Chaleur ; Bâtiment ; Logement ; Chaufferie ; Projet ; Développeur de projet ; Budget ; Aspect financier ; Montage / accompagnement de projet ; Bureau d'étude ; Étude de marché

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- n° 040310
Même si elle n'est pas fortement boisée, la Basse-Normandie se classe sixième des régions de métropole pour sa filière forêt-bois, de la production à la commercialisation du bois en passant par les différentes étapes de sa transformation. Une filière qui concentre 2,8 % des emplois de la région (14.510 personnes en 2006). Avec un chiffre d'affaires total estimé à plus de 2,1 milliards d'euros en 2007 et une valeur ajoutée estimée à 630 millions d'euros, le poids économique de cette filière se situe entre la métallurgie (540 millions de valeur ajoutée) et le secteur électronucléaire (860 millions d'euros de valeur ajoutée), ''deux poids lourds de l'industrie régionale''. Cette filière est en pleine mutation : le secteur de la construction bois connaît une forte expansion. L'emploi y est passé de 4.500 postes de travail en 1990 à 6.690 en 2006, pour atteindre 16 % de l'emploi total du secteur de la construction. Enfin, la filière est constituée d'un grand nombre d'entreprises individuelles et de petites entreprises locales, très peu tournées vers l'exportation. Le résumé de l'étude : http://www.insee.fr/fr/insee_regions/basse-normandie/themes/centpourcent/198/198.pdf[-]
Même si elle n'est pas fortement boisée, la Basse-Normandie se classe sixième des régions de métropole pour sa filière forêt-bois, de la production à la commercialisation du bois en passant par les différentes étapes de sa transformation. Une filière qui concentre 2,8 % des emplois de la région (14.510 personnes en 2006). Avec un chiffre d'affaires total estimé à plus de 2,1 milliards d'euros en 2007 et une valeur ajoutée estimée à 630 millions ...[+]

Basse Normandie ; Bois ; Bois énergie ; Chiffre d'Affaire ; Donnée économique ; Emploi ; Entreprise ; Ossature Bois ; Étude de marché ; Gisement forestier ; Réserve / Ressource energétique

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- n° 010210
Cote CLER : C5
2009 aura donc été une année de forte croissance mais aussi de transition pour le photovoltaïque en France. Après avoir entamé un cycle de croissance remarquable depuis 2007, le secteur photovoltaïque double sa capacité installée en 2009, avec une estimation par les acteurs du secteur de 250 MW en 2009 à comparer aux 105 MW installés en 2008. Le résultat d'une baisse de 30% des prix des modules ! Selon le deuxième rapport de PricewaterhouseCoopers sur l'état de la filière photovoltaïque, la France passe ainsi de la 12e à la 7e position derrière l'Italie et devant la Chine. Les changements réglementaires de ce début d'année devraient se traduire par une croissance moindre mais plus saine en 2010, avec un rééquilibrage à attendre des projets de centrale au sol entre les régions plus ou moins ensoleillées mais un déséquilibre en faveur du sud de la France sur les toitures. Du côté des installateurs et distributeurs, la consolidation risque de se polariser plus tôt que prévu autour de grands acteurs structurés et de petits acteurs locaux. En amont de la filière, les technologies continuent d'évoluer et des ruptures sont attendues, sur fond de prédominance du silicium. L'avenir de ce secteur stratégique dépend aujourd'hui de sa capacité à poursuivre le développement d'un aval structuré et à convertir ce développement en opportunités industrielles pour la France. Année 2010, année de la consolidation : Le marché devrait ainsi trouver en 2010 son rythme de croissance après un fort essor en 2009. « L'arrêté du 12 janvier 2010 devrait, selon notre rapport, améliorer l'attractivité de l'intégration au bâti sans laisser de marge à la spéculation. En 2010, le marché restera solide et ressortira probablement avec une croissance plus modérée, mais aussi plus saine. Sur les cinq prochaines années, nous anticipons une croissance à deux chiffres pour l'ensemble du secteur » commente Alain Calmé, Associé en charge du Conseil en Stratégie chez PricewaterhouseCoopers. Secteur en plein essor, la filière photovoltaïque française devrait compter 15 000 emplois directs en 2012, générés principalement par l'aval de la chaîne de valeur. Justement, dans son ensemble, l'aval risque de se concentrer autour des grands acteurs et des petits acteurs locaux. Pour de nombreux installateurs structurés du secteur, l'année 2010 devrait être celle de la consolidation. Cette consolidation sera impulsée d'une part par la forte croissance de 2009 qui provoque des difficultés de financement, et d'autre part par les ajustements tarifaires qui, couplés à leur rétroactivité à novembre 2009, vont tempérer le marché, limiter sa capacité d'accueil et impacter le chiffre d'affaires de nombreux acteurs. « La physionomie du marché pourrait changer au cours de l'année 2010. De grands groupes regardent le secteur et on devrait ainsi voir arriver de nouveaux entrants soit en accès direct soit via des acquisitions et des partenariats » précise Benjamin Cros, Senior manager, en charge de l'énergie au sein du pôle Conseil en Stratégie de PricewaterhouseCoopers. Le retard industriel : un enjeu stratégique pour la filière française : En matière de technologie, la compétition entre les constructeurs a commencé. Le défi majeur est d'atteindre le plus rapidement possible la parité réseau c'est-à-dire un coût de production du kWh photovoltaïque égal au coût d'achat de l'électricité au détail. La filière silicium et les transitions technologiques attendues devraient aller dans ce sens et soutenir la croissance du secteur amont et la baisse des coûts de production. Dans ce contexte, l'amont français a commencé à se créer une capacité de production, mais accuse un véritable retard en matière de fabrication et d'innovation. « 2009 aura vu une tendance encourageante dans l'amont, avec de nombreux projets de fabrication de modules, qui devrait continuer en 2010 : mais les producteurs français sont toujours peu nombreux, non intégrés et fragiles. On compte un projet dans les couches minces en France contre une quinzaine chez nos voisins d'Outre-Rhin et aucun projet intégré opérationnellement avancé dans le silicium cristallin », constate Benjamin Cros. Selon le 2e rapport de PricewaterhouseCoopers sur l'état de la filière photovoltaïque en France, l'avenir se joue actuellement et dépendra autant du développement de l'amont que des changements réglementaires. Méthodologie : Le « Deuxième rapport de PricewaterhouseCoopers sur l'état de la filière en France » a été publié en février 2010. Il s'agit d'une étude qualitative, basée sur une série de 80 entretiens ciblés conduits auprès d'acteurs du secteur (installateurs, exploitants, organismes financiers, organismes d'audit et de contrôle, bureaux d'études, etc.). Commander l'intégralité (500€) : http://www.pwc.fr/etat-de-la-filiere-photovoltaique-en-france-2009.html[-]
2009 aura donc été une année de forte croissance mais aussi de transition pour le photovoltaïque en France. Après avoir entamé un cycle de croissance remarquable depuis 2007, le secteur photovoltaïque double sa capacité installée en 2009, avec une estimation par les acteurs du secteur de 250 MW en 2009 à comparer aux 105 MW installés en 2008. Le résultat d'une baisse de 30% des prix des modules ! Selon le deuxième rapport de Pricewaterh...[+]

Bureau d'étude ; Diagnostiqueur ; Emploi ; Étude de marché ; Installateur ; International ; Marché français ; Prospective / Prévision ; Puissance installée ; Secteur industriel ; Société d'exploitation ; Société financière ; Solaire photovoltaïque ; Sondage ; Technologie

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- n° 210110
Le cabinet d'audit et de conseil Deloitte livre son analyse du marché de l'énergie pour les années à venir. La crise économique a eu un impact considérable sur ce secteur et l'incertitude de la reprise pose question quant à l'évolution du marché. Si les prix de l'électricité et du gaz sont déprimés en ce début d'année 2010, ils ne ''reflètent pas les tensions sur les capacités qui, à moyen et long terme, vont s'intensifier''. La disponibilité des ressources en pétrole et électricité est incertaine. Or, dans ce contexte d'incertitudes, la demande énergétique mondiale ne cesse de croître. Comment y répondre ? Les investissements nécessaires à satisfaire cette croissance demeurent ''pharaoniques'' selon une étude du cabinet Deloitte publiée le 19 janvier dernier (Energy predictions 2010) : http://www.deloitte.com/assets/Dcom-Global/Local%20Assets/Documents/Energy_Resources/Predictions_Nov09_web.pdf . Pourtant, ces investissements font face à de nombreuses autres incertitudes, notamment sur le coût de la contrainte carbone. L'échec du sommet de Copenhague, qui s'est achevé ''sans avoir posé les bases de négociation d'un cadre global contraignant de réduction d'émissions'', prive les investisseurs d'une vision claire et à long terme. Energies traditionnelles, un pari incertain : Le charbon, disponible en abondance à un coût marginal faible dans les zones de forte demande, ''a pour inconvénient de rejeter près d'une tonne de CO2 dans l'atmosphère pour tout MWh électrique produit''. Si de nombreux producteurs misent aujourd'hui sur la technologie de capture et de stockage de carbone (CSC), qui ''promet une production d'énergie décarbonée à une échelle comparable au nucléaire, à court et moyen terme, pour un investissement équivalent à celui de l'atome, avec une efficacité énergétique en baisse de 20 %, le charbon propre fait doubler le coût de l'électricité''. La production mondiale d'électricité d'origine nucléaire devrait quant à elle rester stable sur les vingt années à venir ou même décliner légèrement, ''selon les hypothèses de demande électrique, de politiques climatiques ou d'indépendance énergétique, d'arrêt ou de prolongement des tranches nucléaires en service, ou de résistance de l'opinion''. Un certain nombre de projets pourraient être retardés ''du fait de la détérioration du crédit des maîtres d'ouvrage, de l'indisponibilité des financements ou de la pénurie d'ingénieurs nucléaires''. Le retard non officiel du chantier de l'EPR de Flamanville, annoncé par le quotidien Le Figaro le 19 janvier, pourrait confirmer ces prévisions. Selon le cabinet Deloitte, le secteur du nucléaire, pour se développer, a ''besoin, non de subventions publiques, mais d'un prix long terme du carbone''. Les compagnies électriques et gazières, durement affectées par la baisse de la demande et des prix, hésitent à poursuivre leurs investissements. Les grands producteurs de pétrole sont de leur côté à la recherche de financement pour de nouvelles infrastructures. Selon Deloitte, ''les prêts chinois remboursables en pétrole pourraient faire école''. Energies renouvelables, des choix stratégiques indispensables : Les énergies renouvelables n'ont pas échappé à la crise. Les investissements ont fortement ralenti depuis quelques mois. De plus, ceux-ci sont confrontés à des incertitudes stratégiques. Par exemple, le paquet climat européen privilégie le choix de l'éolien, ''seule technologie renouvelable mûre, mais dont les limites apparaissent de plus en plus''. En revanche, des opportunités apparaissent en Afrique du Nord, Sub-saharienne et au Moyen-Orient pour le solaire photovoltaïque. ''A moyen et long terme, le rayonnement solaire constitue une ressource d'énergie primaire abondante, , qui, portée par des coûts d'investissement en baisse, pourrait assurer la fourniture à des zones de pression démographique forte aujourd'hui privées d'électricité, voire exporter vers le sud de l'Europe''. Efficacité énergétique, l'avenir ? : La demande énergétique devrait croître de 45 % d'ici à 2030. Or, ''ce scénario n'est compatible avec les objectifs de limitation de concentration de CO2 à 450ppm qu'à la faveur d'une baisse de la demande à concurrence de 40 % des efforts de réduction d'émissions. Un déploiement à grande échelle des systèmes de contrôle, mesure et automatisation, permettant aujourd'hui de réduire la consommation finale jusqu'à 30 % dans le résidentiel et 20 % dans l'industrie, est inévitable'', selon le cabinet de conseil. Le développement de réseaux intelligents pourrait accroître l'efficacité énergétique de l'industrie, aujourd'hui limitée à 33 %. Finalement, l'étude souligne l'importance d'une vision stratégique du marché de l'énergie, les choix actuels ayant des conséquences à long terme. le site Internet de Deloitte : http://www.deloitte.com[-]
Le cabinet d'audit et de conseil Deloitte livre son analyse du marché de l'énergie pour les années à venir. La crise économique a eu un impact considérable sur ce secteur et l'incertitude de la reprise pose question quant à l'évolution du marché. Si les prix de l'électricité et du gaz sont déprimés en ce début d'année 2010, ils ne ''reflètent pas les tensions sur les capacités qui, à moyen et long terme, vont s'intensifier''. La disponibilité ...[+]

Changement climatique ; Crise énergétique ; Demande en énergie ; Donnée économique ; Efficacité énergétique ; Étude de marché ; Généralité énergie renouvelable ; International ; Investissement ; Marché énergétique ; Nucléaire ; Perspective ; Prix de l'electricité ; Prospective / Prévision ; Réserve / Ressource energétique

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