Documents Basse tension 6 résultats

L'offre en photovoltaïque s'est démultipliée ces derniers mois et les projets portés par les agriculteurs et leurs coopératives sont nombreux. Coop de France et la FNCUMA souhaitent donner à leurs réseaux les clés de lecture de ce nouveau marché et affirmer la pertinence des organisations coopératives dans le développement des initiatives. Partageant les mêmes convictions, le Crédit Coopératif a soutenu le projet dès son origine, apportant son expertise et sa volonté d'accompagner les démarches collectives de développement durable. L'ADEME, le Ministère de l'Agriculture et Sofiprotéol sont également partenaires du projet. Le guide est issu du travail commun des experts du photovoltaïque, des coopératives et des Cuma. Il répond aux questions que ces organisations rencontrent tout au long de leur projet : choix techniques, montages juridiques, intégration des contraintes agricoles... Une méthode de construction partenariale est également proposée. Ce guide est destiné aux conseillers agricoles, aux services de développement des coopératives et à leurs fédérations. Il constitue un outil d'aide à la décision, pour un développement raisonné et durable du photovoltaïque en agriculture. Il est disponible sur les sites internet de Coop de France et de la FNCUMA pour leurs adhérents, et sur commande auprès de Coop de France.[-]

Par lettre du 27 avril 2009, le direteur de cabinet du ministre de l'2cologie, de l'Energie, du Développement Durable et de l'Aménagemnt du Territoire sollicitait une mission d'inspection relative à la limitation de l'impact des événements climatiques majeurs sur le onctionnement des réseaux de distribution d'électricité. Cettedemande faisiat suite à trois événements climatiques survenus à la fin de l'année 2008 et pendant l'hiver 2009 et ayant causé des dégâts majeurs sur les réseaux électriques. Cette mission fait suite à une précédente mission du Conseil Général des Mines, réalisée en 2000 sur le même sujet à la suite des tempêtes de 1999. et qui a donné lieu à un rapport. Ce rapport prend en compte les conséquences de la tempête Xynthia du 28 février 2010. Il est structuré en cinq parties. En premier lieu, sont décrites brièvement les principales caractéristiques du réseau de distribution dont la connaissance est nécessaire pour aborder la question de la sécurisation. Dans une deuxième partie, sont présentés les principaux retours d'expérience des différents évènements climatiques survenus en 1999, 2008, 2009, 2010. Dans une troisième partie démontre quant à elle que les technologies à mettre en oeuvre pour sécuriser le réseau sont clairement définies. La quatrième démontre cependant que le contexte institutionnel actuel se prête mal à un optimisation des choix d'investissement en matière de sécurisation. Enfin, dans la dernière partie aborde la question du dimensionnement du plan de sécurisation, qui passe par une meilleure évaluation des risques liés aux tempêtes.[-]