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Documents Coproduit / Sous-produit 8 résultats

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- n° 170909
Cote CLER : A2
Le 10 septembre dernier, ont commencé les travaux de construction d'une usine de méthanisation sur le territoire de la communauté de communes du Mené dans les Côtes d'Armor. Baptisé Geotexia, le projet a été initié par des habitants regroupés au sein de l'association Mené Initiatives Rurales. Il a très vite reçu l'appui des 32 agriculteurs de la coopérative CUMA Mené Energie en manque de place pour l'épandage de leurs effluents. Ces derniers, épaulés par l'Association d'Initiatives Locales pour l'Energie et l'Environnement et l'Ademe, ont à leur tour réussi à convaincre les industries agroalimentaires de la région de traiter ensemble leurs effluents et co-produits. Après 10 ans de montage technique et administratif, de réunions publiques et de discussions avec les associations de protection de l'environnement et les riverains, la réflexion aboutit aujourd'hui à la construction d'une usine de méthanisation capable d'accueillir à la fois des déchets organiques d'origines agricoles, municipales et industrielles. Au total, l'usine Géotexia accueillera 75.000 tonnes de déchets dont 35.000 tonnes de lisiers et 40.000 tonnes de matières d'agro-industries et de collectivités. Ces déchets seront mélangés dans un méthaniseur. L'unité de traitement permettra de valoriser les déchets sous forme de biogaz qui alimentera deux turbines de production d'électricité de 1,3 MW. Cette électricité sera revendue à EDF et injectée sur le réseau. Le résidu de la méthanisation (digestat) sera ensuite centrifugé. La partie solide sera valorisée sous forme de compost. Au final, l'unité de traitement devrait en produire 7.000 tonnes par an. La partie liquide (3.000 tonnes par an) sera quant à elle épurée sur place. Avec une teneur en nitrates inférieure à 10 mg/l, cette eau devrait servir à irriguer 14 hectares de cultures énergétiques pérennes, principalement des taillis à très courte rotation de saule. Ces plantations serviront à l'alimentation de chaufferies bois industrielles locales. Le projet Geotexia est porté par trois actionnaires regroupés au sein d'une société du même nom Geotexia Mené : la Cuma Mené Energie (34%), le groupe IDEX (32%) qui sera également l'exploitant de l'usine et la Caisse des dépôts et consignations (34%). 14,6 millions d'euros sont nécessaires à la réalisation de l'usine. L'Ademe, l'Agence de l'eau et le Feder subventionnent le projet à hauteur de 29% des investissements. Le reste sera financé par l'emprunt (Crédit agricole, Crédit Mutuel de Bretagne, OSEO et le Crédit Coopératif). Le Conseil Régional de Bretagne et le Conseil Général des Côtes d'Armor ont garanti les emprunts à hauteur de 1 million d'euros et la communauté de communes du Mené a cédé le terrain de construction à Géotexia. L'exploitation du site débutera en mai 2011 pour un chiffre d'affaires prévisionnel de 4 millions d'euros avec 4 salariés au démarrage. La méthanisation collective encore rare en France : L'usine Geotexia sera l'une des premières en France à mettre en application le principe de la « méthanisation collective » ou « centralisée ». Outre les avantages intrinsèques à la méthanisation que sont la production d'énergie renouvelable, la limitation des émissions de gaz à effet de serre et notamment du méthane et le retour au sol de la matière organique, la méthanisation collective est particulièrement intéressante pour les élevages et entreprises de petite et moyenne taille, pour lesquelles une solution individuelle performante est hors de portée financière. Les économies d'échelle qu'elle permet améliorent la rentabilité économique des projets, l'un des principaux freins au développement de la méthanisation en France. Toutefois, il ne faut pas perdre de vue que ces installations sont des équipements industriels qui peuvent avoir des impacts sur leur environnement au même titre qu'une usine de traitement classique. La mutualisation des déchets va souvent de pair avec des installations de grandes tailles qui nécessitent les autorisations adéquates et par conséquent des montages administratifs plus longs. Une taille conséquente peut également inquiéter les riverains. Un projet similaire prévu en 2004 à Lannilis dans le Finistère a d'ailleurs été avorté face à la colère des habitants. Cette usine aurait traité plus du double de lisier et de déchets que ce qui est prévu pour Géotexia. Près d'une soixantaine d'agriculteurs y étaient associés.[-]
Le 10 septembre dernier, ont commencé les travaux de construction d'une usine de méthanisation sur le territoire de la communauté de communes du Mené dans les Côtes d'Armor. Baptisé Geotexia, le projet a été initié par des habitants regroupés au sein de l'association Mené Initiatives Rurales. Il a très vite reçu l'appui des 32 agriculteurs de la coopérative CUMA Mené Energie en manque de place pour l'épandage de leurs effluents. Ces derniers, ...[+]

Actionnaire / Action ; Agriculteur ; Agroalimentaire ; Biogaz ; Bretagne ; Chaufferie bois ; Collectivité locale ; Commune / Ville ; Concertation sociale ; Coopérative ; Coproduit / Sous-produit ; Coût d'investissement ; Déchet ; Déchet agricole ; Déchet industriel ; Déchet ménager ; Déchet organique ; Effluent ; Exploitation ; Industrie ; Installation collective ; Lisier / Excrément animal ; Production d'électricité ; Réalisation ; Société d'exploitation ; Tailli Courte Rotation - TCR / TTCR ; Turbine à gaz ; Usine de méthanisation

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- n° 425
Cote CLER : B1
"La CRE dispose désormais d'un délai maximal de 6 mois pour instruire les dossiers et transmettre au ministre chargé de l'énergie une fiche d'instruction sur chaque offre, faisant notamment apparaître une note chiffrée, ainsi qu'un rapport de synthèse. Le ministre désignera ensuite le ou les candidats retenus, pour une construction des centrales à l'horizon 2012. La CRE distingue deux tranches : les projets concernant les régions Alsace, Lorraine, Champagne-Ardenne, Nord-Pas-de-Calais, Picardie, Bretagne, ainsi que le département de Seine-et-Marne. Une puissance cumulée de 150 MWe y est recherchée. La seconde tranche comprend l'ensemble de la France métropolitaine, Corse comprise, pour une puissance souhaitée de 100 MWe. Les candidats à la tranche 1 sont de facto candidats à la tranche 2. Les 936 MW de projets reçus se répartissent comme suit : - tranche 1 : 53 projets pour une puissance cumulée égale à 428 MW ; - tranche 2 (hors tranche 1): 53 projets pour une puissance cumulée égale à 508 MW. Si la puissance moyenne unitaire des installations est égale à 8,8 MW, la puissance médiane est de 5,7 MW. Les projets présentés présentent donc, en majorité, une puissance comprise entre 3 et 6 MW. En première approche, la CRE observe que les gisements de combustibles envisagés par plus de 90% des projets sont constitués majoritairement de produits, sous-produits et déchets de la sylviculture ou de l'industrie de transformation du bois (plaquettes forestières, rémanents forestiers, broyats, écorces, liqueurs noires, connexes de scieries, sous-produits de l'industrie papetière, etc.). Pour les 10% restants, il s'agit d'exploiter les sous-produits et déchets de l'agriculture ou de l'industrie agroalimentaire (paille et résidus de l'industrie céréalière, divers sous-produits et résidus de l'industrie agroalimentaire, etc.)."[-]
"La CRE dispose désormais d'un délai maximal de 6 mois pour instruire les dossiers et transmettre au ministre chargé de l'énergie une fiche d'instruction sur chaque offre, faisant notamment apparaître une note chiffrée, ainsi qu'un rapport de synthèse. Le ministre désignera ensuite le ou les candidats retenus, pour une construction des centrales à l'horizon 2012. La CRE distingue deux tranches : les projets concernant les régions Alsace, ...[+]

Agroalimentaire ; Appel d'offre ; Centrale biomasse ; Coproduit / Sous-produit ; Région française administrative ; Milieu agricole ; Production d'électricité ; Projet ; Puissance installée ; Recensement / Inventaire ; Région

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- n° 429
Cote CLER : A4
La station thermale de Cransac (12) a inauguré une chaudière biomasse de 500 kW thermique. Elle sera alimentée par des noyaux de fruits, sous-produits provenant d'une usine locale. Cette chaudière fournira près de 709 MWh/an à un réseau de chaleur long de 1 300 m.

Centre thermal ; Chaudière bois ; Coproduit / Sous-produit ; Fruit ; Midi Pyrénées ; Noyau ; Production de chaleur ; Réalisation ; Réseau de chaleur

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- n° 26
Cote CLER : A1
- UPM Kymmene (76), la valorisation énergétique dans ses petits papiers : cette usine de recyclage de papier a engagé, tant pour sa production que pour son fonctionnement, une démarche globale de valorisation énergétique. À la clé, une diminution des reje

Cogénération biomasse ; Coproduit / Sous-produit ; Économie d'énergie ; Entreprise ; Haute Normandie ; Midi Pyrénées ; Réalisation ; Trigénération ; Valorisation des déchets

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- n° 7
Cote CLER : B
- La société Alcal (66) est spécialisée dans la fabrication et la distribution de produit lié aux granulés de bois. - VDM Energie Verte, entreprise locale (54) dont l'activité est la fabrication et la commercialisation de granulés agricoles.

Capacité de production ; Coproduit / Sous-produit ; Entreprise ; Fournisseur / Distributeur ; Granulé bois ; Lorraine ; Midi Pyrénées ; Milieu agricole ; Sciure de bois ; Société / Compagnie ; Usine de fabrication/production

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- n° 3141
Cote CLER : C4
La coopérative spécialisée dans la collecte, le stockage et le conditionnement des céréales, basée à Etampes (91) va installer une unité de granulation de produits agrocombustibles, qui devrait lui permettre de valoriser à nouveau ses coproduits (paille, petits grains, poussières...).

Céréale ; Coopérative ; Coproduit / Sous-produit ; Coût d'investissement ; Granulé bois ; Ile-de-France ; Usine de fabrication/production ; Valorisation des déchets

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- n° 250110
32 projets d'unités de cogénération alimentées à partir de biomasse ont été retenus par le Ministère du Développement durable à l'issue de l'appel d'offres ''Biomasse 3'', a-t-il annoncé le 22 janvier dans un communiqué. Rappelons que 106 dossiers avaient été déposés pour la construction, d'ici 2012 des centrales. Les projets retenus représentent une puissance totale de plus de 250 MW, ''soit l'équivalent du quart de la puissance d'un réacteur nucléaire'', a souligné le Ministère. Une majorité des projets (164 MW sur 266 MW) concerne des zones géographiques considérées comme ''prioritaires'' par le Gouvernement d'un point de vue de l'aménagement du territoire : la zone du Nord-Est de la France particulièrement concernée par les restructurations de Défense (régions Alsace, Lorraine, Champagne-Ardenne, Nord-Pas-de-Calais, Picardie, département de Seine-et-Marne), les massifs (Massif Central, Vosges, Alpes, Pyrénées), et la Bretagne compte tenu des difficultés d'approvisionnement électrique. Dans les régions Auvergne et Lorraine, la sélection définitive des projets est subordonnée à la vérification, sous l'égide des préfets concernés, de la disponibilité de la ressource biomasse et de l'absence de conflits d'usage, a indiqué le Ministère. La biomasse (hors biocarburants) représente plus du tiers du potentiel de développement des énergies renouvelables en France à l'horizon 2020 (7.5 sur 20 Mtep). Les projets retenus pourront bénéficier d'un tarif préférentiel d'achat de l'électricité (145 €/MWh en moyenne), a ajouté le Ministère. Ils représentent un investissement d'environ 750 M€, et un soutien public de 150 M€ par an pendant 20 ans. Un nouvel appel d'offres portant sur 800 MW : Afin d'atteindre les objectifs du Grenelle Environnement, le Ministre du Développement durable Jean-Louis Borloo a d'ores et déjà annoncé le lancement dans les prochaines semaines d'un nouvel appel d'offres pluriannuel portant sur 800 MW. Cet appel d'offres concernera des unités de cogénération de puissance supérieure à 12 MW. Selon le Syndicat des Energies renouvelables (SER), la production d'électricité à partir de biomasse comptait 700 MW installés fin 2009 contre 350 MW en 2005. L'objectif fixé est de 2.300 MW en 2020. - La carte des projets retenus : http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Carte_cle21c3c7.pdf[-]
32 projets d'unités de cogénération alimentées à partir de biomasse ont été retenus par le Ministère du Développement durable à l'issue de l'appel d'offres ''Biomasse 3'', a-t-il annoncé le 22 janvier dans un communiqué. Rappelons que 106 dossiers avaient été déposés pour la construction, d'ici 2012 des centrales. Les projets retenus représentent une puissance totale de plus de 250 MW, ''soit l'équivalent du quart de la puissance d'un réacteur ...[+]

Appel d'offre ; Bois déchiqueté / Plaquette ; Bois énergie ; Cartographie / Atlas ; Centrale biomasse ; Cogénération biomasse ; Combustible ; Coproduit / Sous-produit ; Déchet ; Région française administrative ; Grenelle de l'environnement ; Objectif ; Puissance installée ; Région ; Tarif d'achat

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- n° 070110
Le SER et sa commission biomasse France Biomasse Energie (FBE) saluent la hausse tarifaire. L'électricité produite à partir de biomasse bénéficiait jusqu'à présent d'un tarif d'achat de 4,9 cts €/kWh auxquels s'ajoutait une prime à l'efficacité énergétique de l'installation plafonnée à 1,2 cts €/kWh, soit un total de 6,1 cts €/kWh. Le nouvel arrêté permet au minimum de doubler ce tarif global, se réjouit le SER. Trois éléments s'additionnent : un tarif de base à 4,5 centimes €/kWh, une prime de 8 cts/kWh liée à l'utilisation d'un certain type de biomasse (déchets agro-alimentaires, produits, déchets et résidus provenant de l'agriculture, certains produits et sous-produits de la sylviculture et des industries du bois...) et enfin une prime à l'efficacité énergétique de l'installation, explique le Syndicat. Au total, le tarif d'achat par EDF de l'électricité produite devrait être compris entre 12,5 cts et 15 cts le kWh, selon les projets réalisés sur le terrain. Toutefois seules les installations d'une puissance minimale de 5 MW électriques bénéficient de ce nouveau dispositif tarifaire. Les professionnels avaient proposé que ce seuil soit fixé à un niveau inférieur. Le texte de loi : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000021560800[-]
Le SER et sa commission biomasse France Biomasse Energie (FBE) saluent la hausse tarifaire. L'électricité produite à partir de biomasse bénéficiait jusqu'à présent d'un tarif d'achat de 4,9 cts €/kWh auxquels s'ajoutait une prime à l'efficacité énergétique de l'installation plafonnée à 1,2 cts €/kWh, soit un total de 6,1 cts €/kWh. Le nouvel arrêté permet au minimum de doubler ce tarif global, se réjouit le SER. Trois éléments s'additionnent : ...[+]

Agroalimentaire ; Biomasse ; Bois ; Centrale biomasse ; Coproduit / Sous-produit ; Déchet ; Déchet agricole ; Efficacité énergétique ; Production d'électricité ; Seuil de puissance ; Tarif d'achat ; Texte législatif

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