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Documents Résultat / Conséquence 58 résultats

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- p.32 à p.35
Pour la première fois en France, un contrat de performance énergétique (loi MOP) dans le logement social a été signé entre le bailleur social LogiRep et le groupe Bouygues Construction. Cerise sur le gâteau, ce CPE inclut un engagement avec garantie de résultats...

Contrat Performance Énergétique - CPE ; Logement social ; Rénovation ; Isolant thermique ; Grenelle de l'environnement ; Consommation d'énergie ; Généralité énergie renouvelable ; Secteur résidentiel ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Construction ; Résultat / Conséquence ; Logement ; Société immobilière ; Maître d'oeuvre ; Maître d'ouvrage

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- n° 462 - p. 16 à p. 16
Le club Biogaz de l'ATEE vient de rendre publics les résultats de soon enquête lancée fin décembre 2010 sur les emplois dans la filière. De 2005 à 2010, les emplois y ont plus que doublé.

Emploi ; Résultat / Conséquence ; Biogaz ; Région française administrative ; Chiffre clé ; Méthanisation

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- n° 251109
24 000 habitants et plus de 1.000 entreprises peuvent désormais se faire une idée sur la déperdition de chaleur de leur bâtiment. ''La température des toits est signalée par des couleurs. Plus un toit est rouge, plus il est chaud. Toute la chaleur s'échappant par le haut, cela veut dire que le bâtiment perd beaucoup d'énergie. C'est le signe qu'il faut intervenir soit en isolant mieux, soit en baissant le chauffage'', explique la communauté de communes. Deux présentations publiques de la thermographie aérienne et de la campagne de sensibilisation à la maîtrise de l'énergie sont prévues et des animations dans les écoles et des actions d'information auprès des habitants auront lieu dans chaque commune de la Saône Vallée durant l'hiver et le printemps 2010 avec l'appui de l'Espace Info Energie de l'Ain. Voir les résultats : http://www.thermographie.saone-vallee.fr/[-]
24 000 habitants et plus de 1.000 entreprises peuvent désormais se faire une idée sur la déperdition de chaleur de leur bâtiment. ''La température des toits est signalée par des couleurs. Plus un toit est rouge, plus il est chaud. Toute la chaleur s'échappant par le haut, cela veut dire que le bâtiment perd beaucoup d'énergie. C'est le signe qu'il faut intervenir soit en isolant mieux, soit en baissant le chauffage'', explique la communauté de ...[+]

Collectivité locale ; Déperdition thermique ; Réalisation ; Résultat / Conséquence ; Rhône Alpes ; Sensibilisation ; Site Internet ; Thermographie

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- n° 8
Cote CLER : C5
Dans une précédente tribune, j'appelais les responsables politiques à baisser très rapidement les aides au solaire photovoltaïque (PV), celles-ci risquant de provoquer une « bulle » incontrôlable comme ce fut le cas en Espagne l'an passé. Avec les aides actuelles, les flux financiers correspondant risquent en effet de se chiffrer en dizaines de milliards d'euros pour les seuls engagements des 3 prochaines années. Un rapport du très sérieux Rheinisch-Westfälisches Institut fûr Wirtschaftsforchung (RWI) sur les conséquences réelles du soutien massif apporté au solaire PV (et à l'éolien) en Allemagne depuis quelques années vient compléter et conforter cette analyse. Après avoir rassemblé les données sur les coûts engagés et sur la réduction des émissions de CO2 dus au développement du solaire, l'étude analyse les impacts de la politique allemande (telle que définie par la loi dite EEG [1]) dans cinq domaines : * La protection du climat ; * Le prix de l'électricité ; * Les emplois ; * La sécurité énergétique ; * La promotion de technologies innovantes. Aucune des vertus supposées du système allemand n'échappe à sa critique. Nous en résumons ci-après les points essentiels : 1. La protection du climat Le paradoxe allemand : alors que les ENR remplacent effectivement des énergies fossiles pour la production d'électricité, le « bilan carbone » est quasi nul. Ceci est dû à la coexistence du système d'aides et du European Trading System (ETS) [2] : les producteurs d'électricité renouvelable peuvent vendre leurs permis d'émissions à d'autres « pollueurs », avec comme résultat un transfert des émissions vers ceux-ci [3]. Pire, selon l'étude, l'abondance des permis fait chuter les cours et incite les industriels européens à acheter des permis plutôt qu'à réduire leurs émissions. 2. Le prix de líélectricité L'étude RWI calcule le coût sur 20 ans de la promotion du solaire photovoltaïque (PV) pour les engagements 2000/2010 (en €, 2007) : 53 milliards d'euros (et de 11 à 18 milliards d'euros pour l'éolien). Elle en déduit un surcoût de l'électricité vendue aux consommateurs de 3 % [4]. 3. Les emplois L'étude souligne le nombre élevé d'emplois créés par le développement massif des ENR : 280.000 en 2008, 400.000 prévus d'ici 2020 selon le ministère de l'industrie allemand (BMU). Mais elle note que ces bilans omettent systématiquement les pertes d'emploi liées à la baisse de pouvoir d'achat des ménages et des profits des industriels. Elle cite un certain nombre d'études qui laissent penser que le bilan net ne pourrait être légèrement positif, que si l'industrie allemande arrivait à exporter massivement ses produits [5], ce qui est loin d'être le cas du fait de la très vive concurrence des pays asiatiques, au premier rang desquels la Chine. Elle critique particulièrement la politique de promotion du PV, qui reviendrait, pour la seule année 2008, à créer 48.000 emplois subventionnés à hauteur de 175.000 € chacun. 4. La sécurité énergétique Les ENR devraient normalement réduire les besoins d'énergies fossiles. L'étude conteste cet atout, du fait du caractère intermittent du vent et du soleil. Les centrales thermiques nécessaires en « back up » entraînent des surcoûts de maintenance non négligeables (évalués à 590 millions d'euros en 2006) et, paradoxalement, une augmentation des importations de gaz naturel [6] (dont 36 % provient de Russie, « qui n'a pas convaincu au cours des dernières années qu'elle était un partenaire fiable »). 5. La promotion des technologies innovantes Le soutien aux ENR est censé favoriser les progrès technologiques. L'étude est extrêmement sévère sur ce chapitre, considérant que les tarifs d'achat très élevés, particulièrement pour le solaire PV, favorisent des effets d'aubaine pour les « gros » industriels, et pas du tout pour les « start ups ». Elle note également que la dégressivité des tarifs d'achat, définie dans la loi EEG et destinée à inciter à l'innovation, a l'effet contraire et encourage le développement massif à court terme des technologies éprouvées. Ceci « permet aux industriels de s'assurer pendant 20 ans des revenus aux tarifs favorables actuels, sans avoir à rechercher de nouvelles technologies ». Conclusions de l'étude Après avoir montré les graves défauts du système allemand, l'étude conclut sur trois recommandations : * Eviter la coexistence de deux systèmes, tels que l'ETS et le système EEG. * Privilégier le système ETS, car celui-ci crée une situation permettant aux différents acteurs de rechercher l'optimum économique [7], ce qui n'est pas le cas du système allemand actuel. * Investir dans la recherche et développement : « dans les phases de démarrage de technologies non compétitives, il est plus efficace d'investir dans la R&D que de promouvoir la production de masse ». De toute évidence, les mêmes recommandations sont valables pour la France. Les avatars espagnol et allemand doivent nous permettre d'éviter de commettre les mêmes erreurs. Il est urgent que nos responsables politiques en prennent conscience. [1] Cette loi régissant le développement des énergies renouvelables a été révisée en octobre 2008 par des amendements, notamment pour l'éolien et le PV, d'application au 1er janvier 2009. [2] Rappelons que les rejets de CO2 par les industries les plus polluantes font l'objet de « permis de rejets » négociables sur un « marché carbone » européen, líETS. [3] Paradoxe déjà relevé dans un article de Der Spiegel dans son numéro du 10 février 2009. [4] Selon nos recoupements, environ 5 €/MWh [5] Les auteurs citent une étude commanditée par le BMU qui conclut que le bilan net pourrait être de 56.000 emplois créés d'ici 2020, à condition que l'exportation joue à plein. [6] Cet argument n'est pas expliqué : peut-être est-ce dû au fait que les centrales au charbon se prêtent mal à la reprise en secours rapide nécessaire pour faire face aux caprices de l'éolien ? [7] L'étude cite le rapport 2007 de l'Agence Internationale de l'Energie (OCDE), qui recommande à l'Allemagne de chercher d'autres moyens que les tarifs d'achat élevés pour promouvoir le solaire PV, et rappelle « que le gouvernement devrait toujours rechercher les moyens les plus efficaces... » Pierre Bacher, ancien élève de polytechnique, est l'auteur de « L'énergie en 21 questions » - édition Odile Jacob (2007), membre du conseil scientifique de Sauvons le Climat et éditorialiste à l'Espace Veille de Techniques de l'ingénieur."[-]
Dans une précédente tribune, j'appelais les responsables politiques à baisser très rapidement les aides au solaire photovoltaïque (PV), celles-ci risquant de provoquer une « bulle » incontrôlable comme ce fut le cas en Espagne l'an passé. Avec les aides actuelles, les flux financiers correspondant risquent en effet de se chiffrer en dizaines de milliards d'euros pour les seuls engagements des 3 prochaines années. Un rapport du très sérieux ...[+]

Aide financière ; Allemagne ; Approvisionnement ; Bilan carbone ; Changement climatique ; Emploi ; Éolien ; Espagne ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Innovation ; Permis d'émission - Droit à polluer ; Politique énergétique ; Prix de l'electricité ; Rapport ; Résultat / Conséquence ; Sécurité ; Solaire photovoltaïque ; Tarif d'achat ; Technologie

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- n° 7
Cote CLER : A2
"Depuis 2004, la région s'est engagée dans une démarche développement durable : Agenda 21, Plan Climat, Bilan Carbone. Dans ce cadre elle met particulièrement l'accent sur les filières ""énergies renouvelables"" et ""habitat durable"". Résultat, le Languedoc-Roussillon est aujourd'hui l'une des régions leaders en France pour les investissements dans la MDE et les EnR. Elle est la première région de France métropolitaine pour le photovoltaïque raccordé au réseau; la cinquième région pour l'éolien et une région phare pour le développement du solaire thermique dans le logement social. Elle présente également un fort potentiel dans le domaine du bois-énergie. Plus de 10 500 entreprises sont concernées par ces filières et pas moins de 38 000 personnes travaillent dans la seule filière EnR (ce chiffre devrait augmenter de 8 000 d'ici 2010). Les soutiens de la région aux filières depuis 2006 : - Solaire thermique : 9,8 M€ dont 5,1 pour l'individuel et 4,7 pour le collectif, soit 8 000 chauffe-eau solaires et 214 installations collectives financés. - Solaire photovoltaïque : 22,1 M€ engagés dont 12,5 pour les particuliers et 9,6 pour le collectif, soit 3 400 particuliers aidés et 158 installations PV collectives soutenues. - Bois énergie : 7,8 M€ consacrés au financement de 103 chaufferies bois - Petit éolien : 1,8 M€ consacré à 51 projets d'éoliennes domestiques."[-]
"Depuis 2004, la région s'est engagée dans une démarche développement durable : Agenda 21, Plan Climat, Bilan Carbone. Dans ce cadre elle met particulièrement l'accent sur les filières ""énergies renouvelables"" et ""habitat durable"". Résultat, le Languedoc-Roussillon est aujourd'hui l'une des régions leaders en France pour les investissements dans la MDE et les EnR. Elle est la première région de France métropolitaine pour le photovoltaïque ...[+]

Agenda 21 local ; Agrocarburant ; Aide financière ; Appel à projet ; Bâtiment Basse Consommation - BBC ; Bilan ; Bilan carbone ; Bilan énergétique ; Bois énergie ; Budget ; Chauffe eau solaire ; Chaufferie bois ; Chiffre clé ; Développement durable ; Économie d'énergie ; Électricité renouvelable ; Emploi ; Entreprise ; Éolien ; Financement ; Généralité énergie renouvelable ; Gisement forestier ; Installation collective ; Languedoc Roussillon ; Maitrise De l'Énergie - MDE ; Programme de développement ; Plan Climat Air Energie - PCAET ; Pôle de compétences / pôle de compétitivité ; Politique énergétique ; Politique environnementale ; Potentiel de développement ; Production d'électricité ; Production d'énergie ; Programme d'action ; Réalisation ; Recensement / Inventaire ; Résultat / Conséquence ; Solaire photovoltaïque ; Solaire thermique ; Petit éolien

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- n° 659
Cote CLER : B4
Vingt-huit écoquartiers, 13 intercommunalités engagées dans une démarche d'écocité, hier le secrétaire d'Etat au logement a présenté les résultats de l'appel à projets lancé par le ministère du développement durable pour « mettre en avant le travail des collectivités territoriales et l'excellence des acteurs français de l'aménagement pour créer une ville plus respectueuse de l'environnement ». Cet appel, avait été lancé dans le cadre du plan ville durable figurant parmi les engagements du Grenelle. 13 écocités en contrat avec l'Etat : Le label d'écocité concerne des agglomérations de plus de 100 000 habitants, prévoyant une croissance démographique d‘environ 50 000 habitants sur une génération, organisées en intercommunalité et travaillant sur une stratégie de développement urbain durable, avec notamment une « vision du territoire qui présente des enjeux environnementaux, paysagers, économiques, sociaux, institutionnels » et un projet décliné suivant les trois piliers du développement durable. 19 collectivités s'étaient portées candidates, 13 ont été retenues au final(1). Après une phase d'expertise et d'élaboration des projets, les collectivités retenues vont désormais engager une négociation avec l'Etat qui débouchera sur une contractualisation début 2011 portant « sur le projet et ses modalités d'accompagnement ». 28 écoquartiers accompagnés : Par ailleurs, le ministère avait lancé un appel à projets pour la création d'écoquartiers, dans l'intention d'inciter les collectivités locales à engager des développements urbains durable à l'échelle des quartiers. Un quartier durable se caractérise par une gestion durable de l'eau, des déchets, par l'usage de modes de transports doux ou alternatifs à la voiture, par une production locale d'énergies renouvelables, par une mixité des fonctions urbaines et des populations, ainsi que par la densité du bâti et l'utilisation d'éco-matériaux. Pas moins de 28 quartiers ont ainsi été retenus. Le Grand prix national a été attribué à la zone d'aménagement concertée Bonne, à Grenoble. La ville par ailleurs retenue comme écocité, aménage sur le terrain d'une ancienne caserne de 8,5 hectares plus de 850 logements, dont 35 % de logements sociaux, 16 000 m©˜ de commerces et bureaux, une école élémentaire, un établissement pour personnes âgées dépendantes, un pôle sportif et un nouveau parc urbain de 3, 5 hectares. Là encore, les projets sélectionnés bénéficieront d'un accompagnement de l'Etat 1 : Bordeaux (Plaine de Garonne), Rennes (Quadrant Nord-Est), Strasbourg (Métropole des Deux-Rives), Plaine Commune (communauté d'agglomération du de Seine-Saint-Denis), Montpellier )De Montpellier à la mer), Nantes - St Nazaire (Eco.Métropole), Metz Métropole (EcoCité 128), Clermont-Ferrand (EcoCité Clermont Métropole) Grenoble (Grenoble EcoCité), Marseille (Marseille Euroméditerranée), Nice (EcoCité Nice Côte d'Azur), le Territoire de la Côte Ouest (La Réunion) et la communauté de communes Pays Haut Val d'Alzette en Moselle (EcoCité Alzette Belval).[-]
Vingt-huit écoquartiers, 13 intercommunalités engagées dans une démarche d'écocité, hier le secrétaire d'Etat au logement a présenté les résultats de l'appel à projets lancé par le ministère du développement durable pour « mettre en avant le travail des collectivités territoriales et l'excellence des acteurs français de l'aménagement pour créer une ville plus respectueuse de l'environnement ». Cet appel, avait été lancé dans le cadre du plan ...[+]

Appel à projet ; Collectivité locale ; Ecoquartier ; Région française administrative ; Recensement / Inventaire ; Résultat / Conséquence

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- n° 53
Cote CLER : B4
"Mue par la force des vents, la petite éolienne a, plus que tout autre source d'énergie, un pouvoir de fascination immense. Et pourtant en France, deux types d'hommes lui compliquent diablement la vie. D'un côté, des députés de tout poil ne cessent de lui mettre des bâtons dans les pales. De l'autre côté, des ""éco-entrepeneurs"" improvisés qui sont prêts à vendre de l'éolien à tout prix, jurant monts et merveilles à leurs clients, et semant des contre-exemples. Entre les deux, il y a des passionnés, qui s'échinent à vouloir donner une juste place à ces machines, aux meilleures d'entre elles, dans nos campagnes. Qu'est-ce qu'une bonne éolienne ? Qu'est-ce qu'une bonne installation ? "[-]
"Mue par la force des vents, la petite éolienne a, plus que tout autre source d'énergie, un pouvoir de fascination immense. Et pourtant en France, deux types d'hommes lui compliquent diablement la vie. D'un côté, des députés de tout poil ne cessent de lui mettre des bâtons dans les pales. De l'autre côté, des ""éco-entrepeneurs"" improvisés qui sont prêts à vendre de l'éolien à tout prix, jurant monts et merveilles à leurs clients, et semant des ...[+]

Bretagne ; Caractéristique technique ; Code de l'Urbanisme ; Coût d'investissement ; Déclaration ; Démarche administrative ; Éolienne ; Étude de vent ; Expérimentation ; Expertise ; FACÉ ; Région française administrative ; Garantie / Assurance ; Ile ; Installateur ; Investissement collectif ; Languedoc Roussillon ; Réglementation ; Maintenance / Entretien ; Midi Pyrénées ; Permis de construire ; Petite puissance ; Production d'électricité ; Professionnel ; Raccordé réseau ; Réalisation ; Recensement / Inventaire ; Régulation ; Résultat / Conséquence ; Rotor ; Site Internet ; Suivi ; Système autonome ; Tarif d'achat ; ZDE - Zone de Développement de l'Éolien ; Petit éolien

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- n° 53
Cote CLER : B4
Avec la ruée sur le solaire, beaucoup d'électriciens se sont convertis en installateurs de photovoltaïque. Une étude du Consuel (Comité national pour la sécurité des usagers de l'électricité) révélait en février dernier que, sur les 630 installations contrôlées, 45% n'étaient pas conforme du point de vue de la sécurité électrique ! Les contrôles relèvent par exemple des défauts de mise à la terre et des appareilages inadéquats (connecteurs, parafoudre, ect...). Pour faire vérifier la conformité de votre installation par le Consuel, il en coûte 149,50€. Plus que la certification Quali'PV délivrée aux installateurs, un gage important de qualité sera que votre installateur ait bien lu le guide UTEC C 15-712, disponible auprès de l'UTE (Union technique de l'électricité) : http://www.consuel.com http://www.ute-fr.com[-]
Avec la ruée sur le solaire, beaucoup d'électriciens se sont convertis en installateurs de photovoltaïque. Une étude du Consuel (Comité national pour la sécurité des usagers de l'électricité) révélait en février dernier que, sur les 630 installations contrôlées, 45% n'étaient pas conforme du point de vue de la sécurité électrique ! Les contrôles relèvent par exemple des défauts de mise à la terre et des appareilages inadéquats (connecteurs, ...[+]

Audit ; Certification ; Électricité ; Expertise ; Installateur ; Installation ; Norme ; Production d'électricité ; Qualit'EnR ; Résultat / Conséquence ; Risque ; Sécurité ; Solaire photovoltaïque

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- n° 180909
Cote CLER : A1
L'ALE est missionnée par l'ADEME pour proposer aux habitants du Grand Lyon de participer à une opération visant à les aider à réduire d'au moins 30% leurs émissions de gaz à effet de serre. Grâce à un outil calculateur d'émissions de gaz à effet de serre en ligne sur Internet (Le climat entre nos mains - édité par « La Revue Durable »), les volontaires peuvent mesurer l'impact de leurs actes quotidiens avant d'obtenir des conseils personnalisés de la part de l'ALE : L'Agence Locale de l'Energie de l'agglomération lyonnaise (ALE) est missionnée par l'ADEME pour proposer aux habitants du Grand Lyon de participer à une opération visant à les aider à réduire d'au moins 30% leurs émissions de gaz à effet de serre. Un outil calculateur d'émissions de gaz à effet de serre en ligne sur Internet : http://www.leclimatentrenosmains.org/ (Le climat entre nos mains - édité par « La Revue Durable »), permet dans un premier temps de mesurer l'impact des actes quotidiens et obtenir ainsi les informations nécessaires à l'élaboration d'un « plan climat familial », notamment en classant les différents postes de dépenses du ménage : logement, mobilité, alimentation, consommation courante. Dans un second temps, l'ALE de l'agglomération lyonnaise analysera les résultats et proposera des solutions individuelles, soit par échanges de mails, soit lors de rendez-vous convenus ensemble. Des outils seront alors mis à votre disposition pour découvrir entre autres les « bons plans éco-consommation » à proximité. Possibilité également de participer à des réunions d'échanges avec un groupe pour partager les différentes expériences.[-]
L'ALE est missionnée par l'ADEME pour proposer aux habitants du Grand Lyon de participer à une opération visant à les aider à réduire d'au moins 30% leurs émissions de gaz à effet de serre. Grâce à un outil calculateur d'émissions de gaz à effet de serre en ligne sur Internet (Le climat entre nos mains - édité par « La Revue Durable »), les volontaires peuvent mesurer l'impact de leurs actes quotidiens avant d'obtenir des conseils personnalisés ...[+]

Agroalimentaire ; Bilan ; Bilan carbone ; Déplacement ; Économie d'énergie ; Effet de serre ; Empreinte écologique ; Gaz à Effet de Serre / GES ; Logement ; Objectif ; Particulier / Ménage ; Produit de consommation ; Programme d'action ; Résultat / Conséquence ; Rhône Alpes ; Sensibilisation ; Site Internet

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- n° 28
Cote CLER : A1
Pour la première période du dispositif des Certificats d'économies d'énergie (CEE), qui s'achevait le 30 juin 2009. L'État avait fixé un objectif global d'économiées de 54 TWh cumac. Grâce à la mobilisation des acteurs, ce niveau est atteint et même dépassé : le ministère du développement duarble évalue à plus de 65 TWh cumac le montant des CEE attribués depuis juillet 2006, soit une économie représentant 0,25% de la consommation d'énergie finale en France. À l'issue de cette phase de lancement réussie, la loi Grenelle 2 doit amplifier le dispositif.[-]
Pour la première période du dispositif des Certificats d'économies d'énergie (CEE), qui s'achevait le 30 juin 2009. L'État avait fixé un objectif global d'économiées de 54 TWh cumac. Grâce à la mobilisation des acteurs, ce niveau est atteint et même dépassé : le ministère du développement duarble évalue à plus de 65 TWh cumac le montant des CEE attribués depuis juillet 2006, soit une économie représentant 0,25% de la consommation d'énergie ...[+]

Bilan ; Certificat d'économie d'énergie ; Chiffre clé ; Fournisseur d'énergie ; Grenelle de l'environnement ; Objectif ; Ordonnance/Obligation ; Perspective ; Politique énergétique ; Résultat / Conséquence ; Secteur résidentiel ; Secteur tertiaire

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