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Documents Déchet ménager 177 résultats

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- n° 458 supplément - p.36 à 36
Le centre de traitement d'ordures ménagères Isséane a inauguré un espace d'information et un parcours de visite ouvert au grand public. Outre sa sensibilisation aux enjeux du traitment des déchets, cette démarche permet de mieux connaître les caractéristiques techniques et les actions réalisées depuis fin 2007 sur ce site.

Déchet ; Ile-de-France ; Région française administrative ; Déchet ménager ; Grand public

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- n° 727
Cote CLER : A3
"L'heure du biogaz a-t-elle enfin sonné ? Confortée par le Grenelle, cette énergie renouvelable a son rôle à jouer dans la production de chaleur destinée aux bâtiments. Si le monde agricole suscite quelques espoirs de développement à moyen terme, la possible injection de biogaz épuré dans le réseau pourrait également permettre à la production nationale de franchir un cap. La production de biogaz devrait bientôt avoir un droit de cité dans la nomenclature des installations classées pour la protection de l'environnement. De nouvelles rubriques sont en cours de finalisation, notamment pour la méthanisation agricole. Exemple d'un projet pour chauffer un hameau au biogaz agricole : portée par deux frères agriculteurs, l'unité de méthanisation du Gaec ""Les Châtelet"" implantée sur la commune de Gruffy (74) traitera 3 200 t de déchets organiques par an, fera fonctionner un moteur de cogénération et alimentera un petit réseau de chaleur du hameau."[-]
"L'heure du biogaz a-t-elle enfin sonné ? Confortée par le Grenelle, cette énergie renouvelable a son rôle à jouer dans la production de chaleur destinée aux bâtiments. Si le monde agricole suscite quelques espoirs de développement à moyen terme, la possible injection de biogaz épuré dans le réseau pourrait également permettre à la production nationale de franchir un cap. La production de biogaz devrait bientôt avoir un droit de cité dans la ...[+]

Agriculteur ; Biogaz ; CET - Centre d'Enfouissement Technique ; Chaudière biogaz ; Cogénération biogaz ; Déchet ménager ; Déclaration ; Effluent ; Grenelle de l'environnement ; ICPE - Installation Classée Protection Environnement ; Injection réseau ; Installation classée ; Milieu agricole ; Milieu rural ; Moteur biogaz ; Principe de fonctionnement ; Production d'électricité ; Production de chaleur ; Protection de l'environnement ; Réalisation ; Réglementation ; Réseau de chaleur ; Réseau de gaz ; Rhône Alpes ; Schéma de principe ; Station d'épuration ; Tarif d'achat ; Usine de méthanisation

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- n° 290909
Cote CLER : B4
«Les déchets peu ou pas valorisés en France, c'est une réserve de 28 millions de barils de pétrole!», a déclaré Luc Valaize, président du SVDU, vendredi 25 septembre, à l'occasion d'une conférence de presse pour présenter l'enquête du cabinet Localconsult. Celle-ci a permis de collecter des données de 2004 à 2006 auprès de 70 collectivités et 75 usines d'incinération d'ordures ménagères (UIOM) -sur un total de 130 interrogées- correspondant à 67% des tonnages incinérés en France (7,5 millions sur un total de 13 millions). Elle s'est également appuyée sur les données de 2006 de la base SINOE (4) de l'Ademe. «Nous avons dû batailler pour obtenir certaines informations pourtant censées être publiques, mais retenues en violation des principes de la convention d'Aarhus», déplore François Delaunay du cabinet Localconsult. Cette étude révèle que les incinérateurs produisent en moyenne 1,819 mégawattheure (MWh) d'énergie primaire par tonne de déchets, soit 0,156 tonne équivalent pétrole (tep). Mais la part d'énergie vendue, après transformation en chaleur ou électricité, est plus réduite, en raison de l'autoconsommation ou de l'absence de valorisation sur certains sites. 85% des déchets incinérés en France (11 millions de tonnes) permettraient de vendre de l'énergie. Le rendement énergétique moyen du panel d'UIOM de l'enquête a été évalué à 0,064 tep par tonne. Cela signifie qu'une tonne de déchets -ce que produit en moyenne un foyer français chaque année- permet de fournir autant d'énergie que 64 kg de pétrole. A l'échelle nationale, les déchets incinérés fourniraient donc 704.000 tep sous forme thermique (76%) et électrique (24%). Autre révélation, la valorisation énergétique d'une tonne de déchets rapporterait en moyenne 18 euros aux collectivités, soit un total de 198 millions € par an en France. Le rendement énergétique des UIOM du panel est toutefois très hétérogène. Près d'un tiers fournit moins de 0,03 tep/t, un tiers fournit entre 0,03 et 0,064 tep/t et le dernier fournit plus de 0,064 tep/t. Le rendement moyen des 10 meilleures usines s'élève à 0,118 tep/t. A partir de ces résultats, la SVDU a réalisé une étude prospective afin d'évaluer différents scénarios de progrès en vue d'accroître la quantité d'énergie fournie par les déchets. La mise à niveau des usines les moins performantes permettrait ainsi une amélioration de rendement de 30% (210.000 tep de plus par an), voire de 80% (550.000 tep de plus), en visant respectivement le rendement moyen (0,064 tep/t) ou élevé (0,118 tep/t). Cette seconde option apparaît néanmoins très hypothétique, car elle supposerait une transformation radicale du parc industriel ou la construction de centaines d'incinérateurs. Luc Valaize se prend ensuite à rêver que la totalité des déchets français soient incinérés. Le SVDU estime que 28,5 millions de déchets municipaux, aujourd'hui peu ou pas valorisés (incinération sans valorisation, enfouissement, refus de tri et de compostage), constituent une réserve énergétique d'1,8 million de tep (rendement de 0,064 tep/t), voire de 3,4 millions de tep (rendement de 0,118 tep/t). En y ajoutant les hypothétiques 550.000 tep/an issues de la mise à niveau de l'ensemble des UIOM à hauteur des 10 meilleures, le SVDU obtient une réserve de 4 millions de tep, soit 2 millions de tep d'énergie renouvelable, conformément à la définition européenne. C'est-à-dire «10% des énergies renouvelables supplémentaires que la France s'est engagée à produire d'ici 2020», conclut le SVDU. Cette enquête sera remise cette semaine au ministère de l'environnement. Elle devrait être rééditée tous les 2 ans. D'ici fin 2009, à la suite d'un audit site par site, un groupe de travail du SVDU présentera des pistes d'action pour augmenter le rendement énergétique des incinérateurs français et une estimation des coûts nécessaires. Le SVDU a enfin annoncé qu'il militerait en faveur de la suppression de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) pour les usines valorisatrices, d'ici le projet de loi de finances pour 2011 en décembre 2010, à l'échéance pour la transposition de la directive Déchets en France. «La Suède a décidé de supprimer au 1er janvier 2010 une taxe équivalente instaurée en 2006, suite à un bilan démontrant l'inefficacité du dispositif pour augmenter la part du recyclage», souligne Luc Valaize.[-]
«Les déchets peu ou pas valorisés en France, c'est une réserve de 28 millions de barils de pétrole!», a déclaré Luc Valaize, président du SVDU, vendredi 25 septembre, à l'occasion d'une conférence de presse pour présenter l'enquête du cabinet Localconsult. Celle-ci a permis de collecter des données de 2004 à 2006 auprès de 70 collectivités et 75 usines d'incinération d'ordures ménagères (UIOM) -sur un total de 130 interrogées- correspondant à ...[+]

Chiffre clé ; Déchet ; Déchet ménager ; Directive européenne ; Généralité énergie renouvelable ; Incinération ; Potentiel de développement ; Production d'électricité ; Production de chaleur ; Recyclage ; Rendement ; TGAP ; Valorisation des déchets ; Valorisation énergétique

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- n° 464
Cote CLER : B1
"Le centre de recherche, qui est créé conjointement par Enerkem, la ville d'Edmonton et le Alberta Energy Research Institute (AERI), se concentrera sur le développement et la démonstration de nouveaux procédés de conversion catalytique pour la production de biocarburants et de produits chimiques verts à partir de déchets industriels et de déchets solides municipaux. Ce centre sera adjacent à l'usine commerciale de transformation de déchets en biocarburants qui est prête à être construite et qui produira, à terme, 36 millions de litres d'éthanol par année. Le centre de recherche fait partie d'une initiative d'envergure qui comprend aussi une usine commerciale de production de biocarburants à partir de déchets qui sera construite par Enerkem GreenField Alberta Biofuels, ainsi qu'une usine de traitement de déchets, actuellement construite par la Ville d'Edmonton. ""Enerkem est fière d'être un partenaire dans ce projet innovateur qui permettra la réduction de l'enfouissement des déchets et des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que la production de carburants de transport verts,"" dit Vincent Chornet, président et chef de la direction d'Enerkem. Enerkem réalisera une partie de ses travaux de recherche dans ce centre. Les travaux seront dirigés par M. Esteban Chornet, co-fondateur d'Enerkem et chercheur dans le domaine de la catalyse thermique pour le développement de carburants alternatifs à partir de déchets. La construction du centre devrait être achevée au premier trimestre de l'année 2010. "[-]
"Le centre de recherche, qui est créé conjointement par Enerkem, la ville d'Edmonton et le Alberta Energy Research Institute (AERI), se concentrera sur le développement et la démonstration de nouveaux procédés de conversion catalytique pour la production de biocarburants et de produits chimiques verts à partir de déchets industriels et de déchets solides municipaux. Ce centre sera adjacent à l'usine commerciale de transformation de déchets en ...[+]

Biocarburant ; Canada ; Construction ; Coût d'investissement ; Déchet ; Déchet industriel ; Déchet ménager ; Éthanol ; Laboratoire ; Organisme ; Recherche ; Usine de fabrication/production

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- n° 170909
Cote CLER : A2
Le 10 septembre dernier, ont commencé les travaux de construction d'une usine de méthanisation sur le territoire de la communauté de communes du Mené dans les Côtes d'Armor. Baptisé Geotexia, le projet a été initié par des habitants regroupés au sein de l'association Mené Initiatives Rurales. Il a très vite reçu l'appui des 32 agriculteurs de la coopérative CUMA Mené Energie en manque de place pour l'épandage de leurs effluents. Ces derniers, épaulés par l'Association d'Initiatives Locales pour l'Energie et l'Environnement et l'Ademe, ont à leur tour réussi à convaincre les industries agroalimentaires de la région de traiter ensemble leurs effluents et co-produits. Après 10 ans de montage technique et administratif, de réunions publiques et de discussions avec les associations de protection de l'environnement et les riverains, la réflexion aboutit aujourd'hui à la construction d'une usine de méthanisation capable d'accueillir à la fois des déchets organiques d'origines agricoles, municipales et industrielles. Au total, l'usine Géotexia accueillera 75.000 tonnes de déchets dont 35.000 tonnes de lisiers et 40.000 tonnes de matières d'agro-industries et de collectivités. Ces déchets seront mélangés dans un méthaniseur. L'unité de traitement permettra de valoriser les déchets sous forme de biogaz qui alimentera deux turbines de production d'électricité de 1,3 MW. Cette électricité sera revendue à EDF et injectée sur le réseau. Le résidu de la méthanisation (digestat) sera ensuite centrifugé. La partie solide sera valorisée sous forme de compost. Au final, l'unité de traitement devrait en produire 7.000 tonnes par an. La partie liquide (3.000 tonnes par an) sera quant à elle épurée sur place. Avec une teneur en nitrates inférieure à 10 mg/l, cette eau devrait servir à irriguer 14 hectares de cultures énergétiques pérennes, principalement des taillis à très courte rotation de saule. Ces plantations serviront à l'alimentation de chaufferies bois industrielles locales. Le projet Geotexia est porté par trois actionnaires regroupés au sein d'une société du même nom Geotexia Mené : la Cuma Mené Energie (34%), le groupe IDEX (32%) qui sera également l'exploitant de l'usine et la Caisse des dépôts et consignations (34%). 14,6 millions d'euros sont nécessaires à la réalisation de l'usine. L'Ademe, l'Agence de l'eau et le Feder subventionnent le projet à hauteur de 29% des investissements. Le reste sera financé par l'emprunt (Crédit agricole, Crédit Mutuel de Bretagne, OSEO et le Crédit Coopératif). Le Conseil Régional de Bretagne et le Conseil Général des Côtes d'Armor ont garanti les emprunts à hauteur de 1 million d'euros et la communauté de communes du Mené a cédé le terrain de construction à Géotexia. L'exploitation du site débutera en mai 2011 pour un chiffre d'affaires prévisionnel de 4 millions d'euros avec 4 salariés au démarrage. La méthanisation collective encore rare en France : L'usine Geotexia sera l'une des premières en France à mettre en application le principe de la « méthanisation collective » ou « centralisée ». Outre les avantages intrinsèques à la méthanisation que sont la production d'énergie renouvelable, la limitation des émissions de gaz à effet de serre et notamment du méthane et le retour au sol de la matière organique, la méthanisation collective est particulièrement intéressante pour les élevages et entreprises de petite et moyenne taille, pour lesquelles une solution individuelle performante est hors de portée financière. Les économies d'échelle qu'elle permet améliorent la rentabilité économique des projets, l'un des principaux freins au développement de la méthanisation en France. Toutefois, il ne faut pas perdre de vue que ces installations sont des équipements industriels qui peuvent avoir des impacts sur leur environnement au même titre qu'une usine de traitement classique. La mutualisation des déchets va souvent de pair avec des installations de grandes tailles qui nécessitent les autorisations adéquates et par conséquent des montages administratifs plus longs. Une taille conséquente peut également inquiéter les riverains. Un projet similaire prévu en 2004 à Lannilis dans le Finistère a d'ailleurs été avorté face à la colère des habitants. Cette usine aurait traité plus du double de lisier et de déchets que ce qui est prévu pour Géotexia. Près d'une soixantaine d'agriculteurs y étaient associés.[-]
Le 10 septembre dernier, ont commencé les travaux de construction d'une usine de méthanisation sur le territoire de la communauté de communes du Mené dans les Côtes d'Armor. Baptisé Geotexia, le projet a été initié par des habitants regroupés au sein de l'association Mené Initiatives Rurales. Il a très vite reçu l'appui des 32 agriculteurs de la coopérative CUMA Mené Energie en manque de place pour l'épandage de leurs effluents. Ces derniers, ...[+]

Actionnaire / Action ; Agriculteur ; Agroalimentaire ; Biogaz ; Bretagne ; Chaufferie bois ; Collectivité locale ; Commune / Ville ; Concertation sociale ; Coopérative ; Coproduit / Sous-produit ; Coût d'investissement ; Déchet ; Déchet agricole ; Déchet industriel ; Déchet ménager ; Déchet organique ; Effluent ; Exploitation ; Industrie ; Installation collective ; Lisier / Excrément animal ; Production d'électricité ; Réalisation ; Société d'exploitation ; Tailli Courte Rotation - TCR / TTCR ; Turbine à gaz ; Usine de méthanisation

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- n° 70909
Cote CLER : A2
Deux appels à projets régionaux "méthanisation" lancés par la REGION POITOU-CHARENTES associée à l'ADEME. Ils seront aussi disponibles sur le site internet de la région. Les 2 extrémités d'échelle de taille sont représentées puisque l'un concerne le développement de projets territoriaux collectifs multi-biomasse/déchets de grande taille, l'autre concerne la conception de mini-modèles de méthaniseurs agricoles individuels destinés à répondre à des exploitations agricoles de taille moyenne et isolées. Pour ce dernier, un compromis "fiabilité technique" et "rentabilité" doit être trouvé.[-]
Deux appels à projets régionaux "méthanisation" lancés par la REGION POITOU-CHARENTES associée à l'ADEME. Ils seront aussi disponibles sur le site internet de la région. Les 2 extrémités d'échelle de taille sont représentées puisque l'un concerne le développement de projets territoriaux collectifs multi-biomasse/déchets de grande taille, l'autre concerne la conception de mini-modèles de méthaniseurs agricoles individuels destinés à répondre à ...[+]

Appel à projet ; Déchet ménager ; Exploitation agricole ; Méthanisation ; Poitou Charentes

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- n° 130509
Cote CLER : B4
"En inaugurant lundi 27 avril un forage géothermique dans le nord-est de Paris près de la porte d'Aubervilliers -le premier depuis les années 1980-, la délégation d'Ile-de-France de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) entendait marquer le début d'une série de projets de géothermie profonde (1.800 mètres) dans la région. Exploitée par la Compagnie parisienne de chauffage urbaine (CPCU), filiale à 75% de GDF-Suez, l'installation de 31 millions d'euros permettra d'alimenter en chaleur, à l'automne 2009, plus d'un million de mètres carrés d'habitations, de commerces et de bureaux à venir dans ce secteur. Soit 10 000 à 15 000 équivalent-logements. Elle devrait générer 52.000 mégawattheures par an d'origine géothermique et éviter l'émission de 14.000 tonnes de CO2 par an en alimentant ce secteur grâce à une chaleur dite renouvelable à 75% –la valorisation thermique des déchets ménagers constituant la moitié de cette part. L'eau pompée dans la nappe du Dogger est à 57° C. Une fois ses calories utilisées, elle est réinjectée à 20° C dans la nappe. La CPCU planche avec l'Agence nationale de la recherche (ANR) sur un projet baptisé Géostocal, pour stocker l'excédent d'énergie en été afin de «recharger» la nappe, selon Jean-Christophe Allué, directeur général adjoint de la compagnie. Le rendement serait supérieur à 80%. La CPCU dispose actuellement de 3 usines de valorisation énergétique des déchets ménagers, et de 7 chaufferies, ce qui lui permet de couvrir 25% des demandes en chaleur urbaine de la capitale, dont le tiers du chauffage collectif; et 2 centrales de cogénération génèrent 1.000 gigawattheures d'électricité par an. Le forage fait partie d'une stratégie de la compagnie pour augmenter la part d'énergie renouvelable –incinération des déchets ménagers incluse– dans son bouquet énergétique. La valorisation thermique des déchets assure 46% du bouquet énergétique, et devrait passer à environ 40% en 2012. La part renouvelable au sens strict du terme devrait couvrir 12% de l'énergie primaire à cette date. Pour le moment, le prix de revient du mégawattheure de la chaleur géothermale se situe entre 45 et 50 €, contre 40 pour le MWh du mix «classique». En augmentant cette part «renouvelable» à 60%, la CPCU pourra bénéficier d'une TVA réduite à 5,5% (contre 19,6%) sur la chaleur distribuée, et réduire le prix de revient. D'ailleurs, la part nécessaire d'ENR pour bénéficier d'une TVA réduite pourrait être ramenée à 50% avec le projet de loi Grenelle II. Selon le délégué régional de l'Ademe Guy Simmonot, la production de 400.000 tonnes équivalent-pétrole (200 à 250.000 équivalent-logements) devrait être assurée par la géothermie en Ile-de-France d'ici 2012, grâce à 3 à 5 forages par an d'ici cette date. Et le fonds Chaleur, dont n'a pas bénéficié le forage en question puisque antérieur, doté de 1 milliard € sur 3 ans et géré par l'Ademe, devrait entretenir le mouvement. (CF. Energie Plus n°433 - Supplémént 15 octobre 2009 - p36)"[-]
"En inaugurant lundi 27 avril un forage géothermique dans le nord-est de Paris près de la porte d'Aubervilliers -le premier depuis les années 1980-, la délégation d'Ile-de-France de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) entendait marquer le début d'une série de projets de géothermie profonde (1.800 mètres) dans la région. Exploitée par la Compagnie parisienne de chauffage urbaine (CPCU), filiale à 75% de GDF-Suez, ...[+]

Chauffage ; Chauffage urbain ; Déchet ménager ; Fonds chaleur ; Forage ; Géothermie ; Géothermie profonde ; Ile-de-France ; Incinération ; Programme de développement ; Potentiel géothermique ; Production de chaleur ; Réalisation ; Réseau de chaleur ; TVA

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- n° 200509
Cote CLER : A2
D'après Thierry Meunier, responsable scientifique du groupe Séché, les algues sont élevées dans des bassins d'eau de 10 m sur 3 m, profond de 50 cm. Elles se nourrissent pendant cinq jours du CO2 dégagé par les déchets ménagers et le liquide ainsi obtenu est alors transformé en éco-carburant, a-t-il précisé. La construction du site, d'une superficie de 200 m2, devrait bientôt passer à un hectare. La région Poitou-Charentes a apporté 50.000 euros de financement à ce projet d'un coût de 200 000 euros.[-]
D'après Thierry Meunier, responsable scientifique du groupe Séché, les algues sont élevées dans des bassins d'eau de 10 m sur 3 m, profond de 50 cm. Elles se nourrissent pendant cinq jours du CO2 dégagé par les déchets ménagers et le liquide ainsi obtenu est alors transformé en éco-carburant, a-t-il précisé. La construction du site, d'une superficie de 200 m2, devrait bientôt passer à un hectare. La région Poitou-Charentes a apporté 50.000 euros ...[+]

Agrocarburant ; Algue ; Déchet ménager ; Poitou Charentes ; Usine de fabrication/production

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- n° 423
Cote CLER : A4
Déjà dynamisée par le tarif d'achat de l'électricité de 2006, la filière biogaz voit se développer de nombreux projets, que ce soit dans le milieu agricole, au sein des collectivités, dans l'industrie ou sur des sites de stockage des déchets. Les acteurs proposent aussi de nouvelles solutions spécifiques, par exemple pour le traitement du biogaz ou dans le cadre de travaux de recherche. Mais certaines contraintes restent à lever, comme pour le biogaz carburant. - 2009, l'année du biométhane ? : Bien que ce soit un procédé éprouvé depuis longtemps, la méthanisation peine à se développer en France. Les impulsions tarifaires données en 2006 et les objectifs du Grenelle Environnement font naître des projets mais l'hexagone reste loin derrière les leaders européens. - Méthanisation agricole, des obstacles demeurent : en France, la méthanisation agricole démarre doucement. Nombre d'agriculteurs commencent à trouver un intérêt économique et environnemental à développer une unité de méthanisation sur leur exploitation. - Collectivités locales, une bonne filière complémentaire : la méthanisation des déchets a le vent en poupe auprès des collectivités locales. Actuellement, 19 usines sont en fonctionnement ou verront le jour prochainement en France. Tour d'horizon de 3 projets: Amétyst à Montpellier (34), Ovade à Bourg-en-Bresse (01) et l'usine de méthanisation de Blanc-Mesnil (93) dont l'appel d'offres est en cours. - Petit-lait, mais costaud : récompensé par un trophée des Technologies économes et propres de l'ADEME, la fromagerie Verdier traite son lactosérum par méthanisation et par digestion aérobie. Un bon exemple d'analyse globale d'un projet pour la filière biogaz utilisant les déchets et effluents industriels. - Cogénération dans la papeterie Otor à Rouen (76). - Une cogénération durable, de 130 kWe à 2 MWe : Eneria, leader de la cogénération française (100 000 moteurs vendus dans le monde). - Déchets sous terre, biogaz dans l'air : le traitement des ordures ménagères est en France au coeur de la problématique d'un très grand nombre de régions. Les installations de stockage des déchets non dangereux disposent d'un capital de biogaz valorisable considérable. - De l'innovation dans l'épuration : le traitement amont du biogaz coûte de l'argent mais ce n'est pas forcément un luxe. En effet, les impuretés contenues dans le biogaz peuvent abîmer les moteurs ou les turbines, réduire leurs performances et augmenter les coûts de maintenance. Même si certains traitements existent depuis un long moment, ils sont actuellement rejoints par des technologies innovantes ayant parfois déjà fait leurs preuves dans d'autres pays. - Biogaz carburant, un potentiel à développer : s'il est traité en amont, le biogaz peut aisément se transformer en biométhane carburant. Le potentiel existe, le coût n'est pas insurmontable, mais la filière GNV peine à démarrer en France. Une condition pourtant essentielle pour favoriser le débouché carburant par rapport à la valorisation électrique qui bénéficie du tarif d'achat.[-]
Déjà dynamisée par le tarif d'achat de l'électricité de 2006, la filière biogaz voit se développer de nombreux projets, que ce soit dans le milieu agricole, au sein des collectivités, dans l'industrie ou sur des sites de stockage des déchets. Les acteurs proposent aussi de nouvelles solutions spécifiques, par exemple pour le traitement du biogaz ou dans le cadre de travaux de recherche. Mais certaines contraintes restent à lever, comme pour le ...[+]

Aide financière ; Appel d'offre ; Biogaz ; Boue d'épuration ; Carburant ; Chiffre clé ; Cogénération biogaz ; Collectivité locale ; Concours / Trophée ; Coût d'investissement ; Déchet ménager ; Entreprise ; Exploitation agricole ; Financement ; Fournisseur / Distributeur ; Région française administrative ; Fromagerie ; GNL / GNV ; Grenelle de l'environnement ; Haute Normandie ; Ile-de-France ; Industrie ; Injection réseau ; Innovation ; Languedoc Roussillon ; Maintenance / Entretien ; Midi Pyrénées ; Milieu agricole ; Moteur biogaz ; Papier ; Programme de développement ; Potentiel de développement ; Production de chaleur ; Puissance installée ; Réalisation ; Recensement / Inventaire ; Rentabilité ; Réseau de gaz ; Rhône Alpes ; Tarif d'achat ; Traitement/épuration ; Usine de méthanisation

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- n° 3140
Cote CLER : C4
Alors que le projet d'incinération de Marseille est finalement relancé, la filière d'incinération des ordures ménagères marque, en France, un coup d'arrêt. Les ONG demandent un moratoire sur les nouvelles capacités et aucune collectivité ne semble prête à les affronter. Si, depuis la mise aux normes, les incinérateurs ne devraient plus être à l'index à cause des risques pour la santé, les directives européennes et le Grenelle incitent à accélérer les programmes de prévention et de tri. Une fois ces efforts fournis et les plans départementaux révisés, la gestion des déchets ultimes reviendra à l'odre du jour. - Quels sont les risques pour la santé ? - Faut-il des capacités supplémentaires en France ? - Pourquoi les associations environnementales veulent-elles un moratoire ? - La réglementation encourage-t-elle ce choix ?[-]
Alors que le projet d'incinération de Marseille est finalement relancé, la filière d'incinération des ordures ménagères marque, en France, un coup d'arrêt. Les ONG demandent un moratoire sur les nouvelles capacités et aucune collectivité ne semble prête à les affronter. Si, depuis la mise aux normes, les incinérateurs ne devraient plus être à l'index à cause des risques pour la santé, les directives européennes et le Grenelle incitent à ...[+]

Déchet ; Déchet ménager ; Directive européenne ; Impact santé ; Incinération ; Norme ; Polluant

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